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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «vous sentez encore plus fatigué » (Français → Néerlandais) :
Le bouton snooze, l'une des plus grandes inventions de l'homme... jusqu'à neuf minutes plus tard lorsque la terrible alarme frappe à nouveau. Sauf que maintenant vous vous sentez encore plus fatigué... Alors, est-ce que vous appuyez encore dessus ? Ces minutes supplémentaires sont elles réellement bénéfiques ? Ou est-ce le début d'un cycle sans fin qui aboutit à vous mettre en retard et toujours autant fatigué?
De snooze-knop, één van de beste uitvindingen van de mens... tot negen minuten later, als het gevreesde alarm weer toeslaat. Alleen ben je nu nog meer moe, dus druk je weer op de knop? Helpen die extra minuten echt? Of is het het begin van een nooit eindigende cyclus die zorgt dat je te laat komt en nog steeds doodmoe bent?
Est-ce une chose dans laquelle vous vous sentez encore impliqué ? Croyez-vous encore à la notion d'investissement ?
Is dat iets waar je nog waarde aan hecht? Geloof je in het idee van investeren?
Et j'ai découvert que la plupart du temps les pauvres ne reçoivent pas de traitment pour la dépression. La depression est le résultat d'une vulnerabilité génétique, qui est, probablement, répartie uniformément dans la population, et des facteurs déclenchants, qui sont
susceptibles d'être plus sévères chez les pauvres. Pourtant, il s'avère que si vous menez une belle vie mais vous êtes toujours au plus bas, vous pensez : « Pourquoi est-ce que je me sens ainsi ? Je dois faire une dépression. » Et vous enterprenez de trouver un traitement. Mais si vous menez une vie vraiment ter
rible, et vous vous sentez ...[+++] toujours malheureux, la façon dont vous vous sentez correspond à votre vie, et l'idée ne vous effleure même pas : « Et si ceci peut être traité ? » Et donc, dans ce pays il existe une épidemie de dépression parmi les appauvris dont personne se rend compte, qui ne se fait pas traitée qui ne se fait pas abordée, et c'est vraiment la grande tragédie.
I
k ontdekte dat arme mensen meestal niet werden behandeld voor depressie. Depressie is het resultaat van genetische kwetsbaarheid die vermoedelijk gelijkmatig verdeeld is onder de bevolking, en van uitlokkende omstandigheden die waarschijnlijk ernstiger zijn voor armere mensen. Als je een mooi leven hebt, maar je je toch de hele tijd ellendig voelt, denk je: Waarom voel ik me zo? Ik moet depressief zijn. En je gaat op zoek naar een behandeling. Maar als je leven erbarmelijk is en je je de hele tijd ellendig voelt, dan denk je dat dat nu eenmaal jouw leven is. Het komt niet bij je op om te denken dat het misschien te behandelen is. Daarom
...[+++] hebben we in dit land een epidemie van depressies bij arme mensen die niet wordt onderkend, niet wordt behandeld en niet wordt aangepakt. Het is een tragedie op grote schaal.Et je vais vous raconter une histoire, qui est très embarrassante pour moi, mais que je trouve importante. J'ai fait une allocution à Facebook il n'y a pas longtemps devant une centaine d'employés. Et deux heures pl
us tard, il y avait cette jeune femme qui travaille là assise devant mon petit bureau, et elle voulait me parler. J'ai dit d'accord, et elle s'est assise et nous avons parlé. Et elle a dit, J'ai appris quelque chose aujourd'hui. J'ai appris que je dois gardé la main levée. j'ai dit, Que voulez-vous dire? elle a dit, Et bien, vous faites cette allocution, et vous dites que
vous allez prendre ...[+++]encore deux questions. Et je levais la main comme beaucoup d'autre gens, et vous avez pris deux questions de plus. Et j'ai baissé la main, et j'ai remarqué que toutes les femmes baissaient la main. Et puis vous avez pris encore deux questions, seulement celles des hommes. Et j'ai pensé en moi-même, ho, si c'est moi -- qui ça intéresse, évidemment -- qui fais cette allocution -- pendant cette allocution, je ne suis même pas capable de remarquer que les mains des hommes sont encore levées, et que les mains des femmes sont encore levées, que valons-nous comme directeurs de nos compagnies et de nos organismes quand il s'agit de voir que les hommes recherchent les opportunités plus que les femmes ne le font? Nous devons faire que les femmes s'asseyent à la table. (Applaudissements) Message numéro deux : faites de votre partenaire un vrai partenaire. J'ai acquis la conviction que nous avons plus progressé dans le monde du travail que nous ne l'avons fait dans nos foyers. Les données le montrent très clairement.
Z
odadelijk vertel ik een verhaal dat erg gênant is voor mijzelf, maar ik vind het belangrijk. Niet zo lang geleden gaf ik een toespraak bij Facebook voor ongeveer 100 medewerkers. Een paar uur later was er een jonge vrouw die er werkt, ze zit voor mijn bureautje en wil met me praten. Ik zeg OK, ze gaat zitten, we praten. Ze zei: Ik heb vandaag iets geleerd. Ik heb geleerd dat ik mijn hand omhoog moet houden. Ik zei: Wat bedoel je? Ze zei: Wel, je gaf een toespraak en je zei dat je nog twee vragen zou beantwoorden. Ik had net als vele mensen mijn hand opgestoken, en je behandelde 2 vragen. Ik liet mijn hand zakken, en ik zag alle vrouwen hetzelfde doen, en to
...[+++]en beantwoordde je nog meer vragen, alleen van mannen. Ik bedacht voor mezelf: wow, als ik het ben -- die dit belangrijk vind -- die deze toespraak geef -- en ik merk tijdens de toespraak niet eens dat de handen van de mannen nog opgestoken zijn, dat de handen van de vrouwen nog opgestoken zijn, hoe goed zijn we dan als leiders van ons bedrijf en onze organisatie in opmerken dat de mannen meer opportuniteiten nastreven dan vrouwen? We moeten vrouwen een plaats aan de tafel laten innemen. (Applaus) Boodschap nummer twee: maak van je partner een echte partner. Ik ben ervan overtuigd dat we meer vooruit zijn gegaan op de arbeidsmarkt dan thuis. De data tonen dit zeer duidelijk.Donc quand vous parlez d'apprentissage à rythme individuel, tout le monde comprend -- en termes d'éducation, d'apprentissage différencié -- mais c'est plutôt impressionnant de voir ça survenir dans une salle de classe. Parce qu'à chaque fois qu'on a fait cela,
dans chaque classe, encore et encore, si vous y passez cinq jours, il y a un groupe d'enfants qui prend vite la tête et il y a un grou
pe d'enfants un peu plus lent. Et dans un modèle traditionnel, si vous faites une évaluation à un instant donné, vous diriez : « Voici les enfant
...[+++]s doués, voici les enfants lents. Peut-être devraient-ils être suivis différemment. Peut-être devrions-nous les mettre dans des classes séparées. » Mais quand vous laissez chaque élève travailler à son propre rythme -- et nous l'avons vu maintes et maintes fois -- vous voyez que les étudiants qui ont mis un peu plus de temps sur un concept ou un autre, une fois ce concept acquis, font directement la course en tête. Donc les mêmes enfants que vous pensiez êtres lents six semaines plus tôt, vous penseriez qu'ils sont désormais doués. Et nous le voyons sans arrêt, encore et encore. Cela vous fait vraiment songer que toutes les distinctions dont peut-être beaucoup d'entre nous ont profité n'étaient en fait que dues à une coïncidence temporelle.
Als je praat over leren op je eigen tempo, dan is dat zinvol voor iedereen -- in onderwijsjargon: gedifferentieerd leren -- maar het is nogal ge
k als je het in een klas ziet. Elke keer als we dit deden, in elke klas waarin we het deden, telkens opnieuw, zie je dat na vijf dagen een groep kinderen pijlsnel vooruitgaan en een groep kinderen een beetje trager zijn. Als je in een traditioneel model een momentopname zou maken, zou je zeggen: Dat zijn de getalenteerde kinderen. Dat zijn de trage kinderen. Misschien moeten we ze anders opvolgen. Misschien moeten we ze in afzonderlijke klassen stoppen. Maar als je elke leerling op zijn eigen tem
...[+++]po laat werken -- we zien dat keer op keer -- dan zie je leerlingen die wat meer tijd besteedden aan het ene of het andere concept, maar als ze dat doorhebben, gaan ze pijlsnel vooruit. Dezelfde kinderen waarvan je 6 weken geleden dacht dat ze traag waren, zou je nu als begaafd beschouwen. We zien dat keer op keer. Het doet je echt bedenken hoezeer alle etiketten waarvan velen van ons hebben geprofiteerd, eigenlijk gewoon aan een toevallige momentopname te danken waren.Fatigué? Nous savons tous le sentiment; irritable, groggy, et exceptionnellement paresseux. Il ya des chances vous ne dormez pas assez la nuit dernière ... ou les quelques dernières nuits. Mais ce qui est exactement «assez dormir'? Et plus important encore, pouvez-vous déjà «Rattraper» sur elle?
Moe? We hebben het allemaal al meegemaakt; snel geïrriteerd, wat zwakjes, en uitzonderlijk lui. De kans bestaat dat je vorige nacht niet genoeg geslapen hebt...of meerdere nachten. Maar wat is nu in feite 'genoeg slaap'? En belangrijker, kan je de slaap 'inhalen'?
Vous vous sentez faible, fatigué ou démotivé l'après-midi ?
Voel je je slaperig, moe of ongemotiveerd in de middag?
Ce qui est bien quand vous vous sentez fatigué !
Dat is geweldig voor je als je je moe voelt!
Vous qui vous ne vous sentez pas accepté : il y a une beauté à être marginal. L'écrivain Lidia Yuknavitch partage avec nous son parcours parsemé de ronces, ses souvenirs intimes d'un patchwork de rencontres et de pertes, de honte, et d'un processus long pour s'accepter. « Même dans les moments d'échec, vous êtes magnifiques, » nous affirme-t-elle. « Vous ne le savez pas encore, mais vous possédez la capacité de vous ré-inventez sans cesse. Là réside votre beauté. »
Aan hen die denken dat ze er niet bij horen: er schuilt schoonheid in het zijn van een zonderling. Auteur Lidia Yuknavitch beschrijft haar eigen weg aan de hand van een lappendeken van persoonlijke herinneringen over verlies, schaamte en het trage proces van zelfacceptatie. Zelfs op het moment dat je faalt, ben je mooi , zegt ze. Je weet dit nog niet, maar je hebt het vermogen om jezelf eindeloos opnieuw uit te vinden. Daarin schuilt je schoonheid.
Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y
a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israe
lienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu
...[+++] vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En
...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
vous sentez encore plus fatigué ->
Date index: 2022-11-20