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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «vous dire que nous » (Français → Néerlandais) :
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant
. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le
général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar
. Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Et bien j
e me contenterai de dire que nous nous sentions un peu écrasées par la testostérone. Je ne suis pas ici pour vous dire que les hommes sont responsables de la crise et ce qui s'est passé dans mon pays. Mais je peux certainement vous dire que dans mon pays, tout comme à Wall Street et dans la City à Londres et ailleurs, les hommes sont les maîtres du jeu dans le secteur financ
ier. Et ce genre de manque de diversité et de monotonie conduit à des problèmes désastreux. (Applaudissements) D
...[+++]onc nous avons décidé, un peu fatiguées de ce monde et aussi avec une impression profonde et viscérale que cela ne pouvait pas durer, de fonder une entreprise de services financiers basée sur nos valeurs. Et nous avons décidé d'incorporer des valeurs féminines dans le monde de la finance. Ça a fait froncer plus d'un sourcil en Islande. Nous n'étions pas connues comme des femmes femmes typiques en Islande jusque là. Alors c'était presque comme sortir du placard pour réellement parler du fait que nous étions des femmes et que nous croyons que nous avions des valeurs et une manière de faire des affaires qui seraient plus durables que ce que nous avions connu jusqu'alors.
Laat ik
me beperken door te zeggen dat we ons nogal overrompeld voelden door testosteron. Ik wil hier niet zeggen dat mannen de schuld moeten krijgen voor de crisis en voor wat er gebeurde in mijn land. Maar ik kan jullie zeker vertellen dat in mijn land, eigenlijk net als op Wall Street en in de Londense City en elders, de mannen aan het roer stonden van het spel in de financiële sector. En dat gebrek aan diversiteit, die gelijkheid, dat leidt tot rampzalige problemen. (Applaus) Met de buik vol van die wereld besloten we, ook met een sterk onderbuikgevoel dat dit niet vol te houden was, om een bedrijf voor financiële diensten te starten
...[+++] op basis van onze waarden. We besloten vrouwelijke waarden toe te passen op de financiële wereld. Dat wekte nogal wat verbazing in IJsland. We stonden niet bekend als typische vrouwen-vrouwen tot dat moment in IJsland. Het was bijna alsof we uit de kast kwamen door het feit te benoemen dat we vrouwen zijn en dat we geloofden in onze verzameling waarden en in een bepaalde manier van zakendoen die duurzamer zou worden dan wat we tot dan toe hadden meegemaakt.On s’est dit, plutôt que de faire sorti
r le texte complet, nous allons faire sortir des statistiques sur les livres. Prenez par exemple, « Une étincelle de bonheur ». Quatre mots ; on l’appelle quadri-gramm
e. Nous allons vous dire combien de fois un quadri-gramme en particulier est apparu dans les livres en 1801, 1802, 1803, jusqu’à 2008. Cela nous donne une série temporelle sur la fréquence avec laquelle cette phrase en particulier a été utilisée dans le temps. Nous le faisons pour tous les mots et les phrases qui apparaissent dans
...[+++]ces livres, ce qui nous donne un tableau de deux milliards de lignes qui nous raconte les changements culturels. ELA : Donc ces deux milliards de lignes, nous les appelons les deux milliards d’n-grammes. Qu’est ce qu’ils nous disent? L’n-gramme individuel mesure les tendances culturelles. Prenons un exemple. Supposez que je sois épanoui, et demain matin je veux vous raconter comme j’étais bien. Je pourrai donc dire, « Yesterday, I throve. » [Hier j’étais épanoui] Sinon, je pourrai dire, « Yesterday, I thrived.» Laquelle devrais-je utiliser ?
We zeiden, in plaats van de hele tekst uitgeven, gaan we statistieken uitgeven over de boeken. Neem bijvoorbeeld A gleam of happiness . Vier woorden; we noemen dat een four-gram. We gaan laten zien hoe vaak een specifiek four-gram verscheen in boeken in 1801, 1802, 1803, tot en met 2008. Dat levert een tijdverloop
op van hoe frequent deze specifieke zin gebruikt werd. We doen dat met alle woorden en zinnen die in die boeken voorkomen, wat een lijst van twee miljard zinnen oplevert die laat zien hoe onze cultuur veranderd is. ELA: Die 2 miljard zinnen noemen we 2 miljard n-grams. Wat vertellen ze ons? De individuele n-grams meten culture
...[+++]le trends. Ik zal een voorbeeld geven. Stel dat ik geluk ervaar, en morgen vertel ik je daarover. Dan kan ik zeggen: Gisteren ervoer ik geluk. Of: Gisteren ervaarde ik geluk. Wat moet ik gebruiken?Un jour un responsable de la NASA vient dans mon bureau, s'assied et dit : Pouvez-vous s
'il-vous-plaît nous dire, comment chercher de la vie ailleurs que sur la Terre ? Et ça m'a surpris, parce que j'avais été en fait engagé pour travailler sur l'informatique quantique. Pourtant, j'avais une très bonne réponse. J'ai dit : Je n'en ai aucune idée. Et il m'a dit : Les signatures biologiques, nous devons chercher les signatures biologiques. Et j'ai dit : Qu'est-ce que c'est ? Et il a dit : C'est tout phénomène mesurable qui nous permet d'indiquer la présence de vie . Et j'ai dit : Vraiment ? N'est-ce
...[+++] pas un peu facile ? Je veux dire, nous avons la vie. Ne pouvez-vous pas utiliser une définition, par exemple une définition de la vie semblable à celle de la Cour Suprême ? Alors j'y ai réfléchi un peu, et j'ai dit : Bon, est-ce vraiment si simple ? Parce que oui, si vous voyez quelque chose comme ça, alors d'accord, je vais appeler ça la vie, c'est indubitable. Mais voici quelque chose . Et il continue : Bien, c'est la vie aussi. Je sais cela . Sauf que si vous pensez que la vie est aussi définie par les choses qui meurent, pas de chance en ce qui concerne cette chose, parce que c'est en fait un organisme très étrange. Il grandit jusqu'au stade adulte comme cela et passe alors par une phase à la Benjamin Button, et régresse en fait encore et encore, jusqu'à redevenir un petit embryon, et en fait recommence alors à grandir, et à rajeunir encore et grandir, comme une sorte de yo-yo, et il ne meurt jamais. Donc c'est vraiment de la vie, mais en fait ça ne ressemble pas à ce nous considérons que devrait être la vie.
Op een dag komt een NASA-manager mijn kantoor binnen, gaat zitten en zegt: 'Kun je ons alsjeblieft vertellen hoe we op zoek kunnen gaan naar leven buiten de aarde?' Dat kwam als een verrassing voor mij, want ik was eigenlijk ingehuurd om te werken aan kwantumberekening. Toch had ik een heel goed antwoord. Ik zei: 'Ik heb geen idee.' hij vertelde me: 'Biosignaturen, we moeten op zoek naar een biosignatuur.' Ik weer: 'Wat is dat?' Hij zei: 'Het is eender welk meetbaar fenomeen dat ons in staat stelt om de aanwezigheid van leven vast te stellen.' Ik zei: 'Echt waar? Is dat dan niet makkelijk? Ik bedoel, we hebben hier leven. Kun je daar geen definitie op toepassen zoals bijvoorbeeld een Supreme Court-achtige definitie van leven?' Toen ik er ee
...[+++]n beetje over had nagedacht, zei ik: 'Is het echt zo gemakkelijk? Want ja, als je zoiets als dit ziet, dan noem ik dat leven - geen twijfel mogelijk. Maar hier is iets.' Hij dan: 'Goed, dat is ook leven. Dat weet ik.' Maar als je denkt dat het leven ook is gedefinieerd door dingen die sterven, dan heb je geen geluk met dit ding omdat dat eigenlijk een heel vreemd organisme is. Het groeit op tot het volwassen stadium, maakt dan een Benjamin Buttonfase door, gaat achteruit en achteruit totdat het weer als een klein embryo is en groeit dan weer terug, terug naar beneden en weer terug - als een jojo. Het sterft nooit. Het is leven, maar geen leven zoals wij het ons voorstelden.Et donc, ce que je faisais à Esperance cette première année était tout simplement de m
e promener dans les rues, et après trois jours j'ai eu mon premier client, et j'ai aidé cet homme qui fumait du poisson dans un garage, c'était un Maori, et je l'ai aidé à vendre au restaurant à Perth, à s'organiser, et puis les pê
cheurs sont venu me dire, « C'est vous qui avez aidé le
Maori ? Pouvez-vous nous aider ? » Et j’ai aidé ces cinq pêche
...[+++]urs à travailler ensemble et à faire parvenir ces thons superbes non pas à la conserverie d’Albany à 60 centimes le kilo, mais nous avons trouvé une façon d’emmener le poisson au Japon pour en faire du sushi à 15 dollars le kilo, et les fermiers ont venu me parler, ils m’ont dit, « Hé, vous les avez aidés. Pouvez-vous nous aider ? » En un an, j’avais 27 projets en cours, et le gouvernement est venu me voir pour me dire, « Comment faites-vous ça ? « Comment faites-vous ... ?Et j’ai répondu, « Je fais quelque chose de très, très, très difficile.
In dat eerste jaar in Esperance liep ik gewoon
wat rond en binnen drie dagen had ik mijn eerste klant. Hij was een Maori die vis rookte in een garage. Ik hielp hem zijn vis te verkopen aan een restaurant in Perth. Daarna vroegen een paar vissers me: Heb jij die Maori geholpen? Kun jij ons ook helpen? Ik heb deze vijf vissers geholpen om hun mooie tonijn niet te verkopen aan de conservenfabriek in Albany voor 60 cent per kilo. Wij stuurden die vis naar Japan voor 15 dollar per kilo, om sushi van te maken. Daarna kwamen boeren met mij praten: Je hebt hen geholpen. Kun je ons ook helpen? Binnen een jaar had ik wel 27 projecten, en de overhe
...[+++]id kwam naar me toe, en zei: Hoe doe je dat? Ik zei: Ik doe iets heel, heel, heel moeilijks.Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre?
Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humains dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un
...[+++] ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is:
Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch
...[+++] fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen.Il y a tout un tas de possibilités de connectique comme des Legos que vous pouvez utiliser pour saisir, dans la vraie vie, dans le monde réel, des éléments comme les tremblements, la démarche l'enjambée, et tout ce genre de choses. Le problème, c'est que notre compréhension des chutes, aujourd'hui, comme celle de Mimi, s'établit avec des études étatiques que vous recevez par courrier 3 mois après que vous soyez tombé. et dans lesquelles on vous demande : Que faisiez-vous lorsque vous êtes tombé ? Si c'est ça la pointe de la technologie. Mais avec un instrument comme Shim
mer, ou avec ce que nous appelons le Tapis Volant, dans lequel nous
...[+++]avons implanté des capteurs et des systèmes de caméra que nous avons récupérés de la médecine du sport nous les introduisons pour la première fois dans ces 600 foyers afin de collecter de véritables données sur la mécanique du mouvement pour identifier quels sont les changements subtiles qui sont sur le point de se produire et qui peuvent nous montrer que Maman encourt un risque de chute important. Et la plupart du temps nous pouvons faire deux interventions, et revoir les interactions médicamenteuses. Je suis un chercheur qualitatif, mais lorsque je regarde ces flux de données qui parviennent de ces foyers, je peux analyser ces données et vous dire le jour où un docteur leur a prescrit quelque-chose que personne d'autre ne savait qu'ils prenaient. Parce que nous pouvons voir les changements dans leur modèle personnel. D'accord ?
Er zitten allerlei soorten van plug and play op. Een soort lego waarmee je overal,
in de echte wereld, dingen zoals tremor, manier van lopen, paslengte en dat soort dingen kan registreren. Het probleem voor ons begrijpen van vallen is dat je, net als bij Mimi, drie maanden nadat je viel, een enquêteformulier van de Staat in je e-mail vindt. Met de vraag : Wat was je aan het doen toen je viel? Dat is de huidige stand van de techniek. Maar met iets als de Shimmer, of met iets dat we het Magic Carpet noemen, met geïntegreerde sensoren in tapijt of op camera gebaseerde systemen die we ontleenden aan de sportgeneeskunde, beginnen we voor de e
...[+++]erste keer in die 600 oudere huishoudens werkelijke kinematische bewegingsgegevens verzamelen. Zo kunnen we begrijpen wat de subtiele veranderingen zijn, die kunnen aantonen dat mams risico loopt om te vallen. Meestal kunnen we dan het probleem oplossen met een paar interventies, door de medicijnen wat aan te passen. Ik ben kwalitatief onderzoeker, maar als ik kijk naar de datastromen uit deze woningen, kan ik je vertellen op welke dag een arts iets heeft voorgeschreven waarvan niemand anders afwist. Omdat we de veranderingen in hun patronen in het huishouden zien. Niet?Et je vais vous raconter une histoire, qui est très embarrassante pour moi, mais que je trouve importante. J'ai fait une allocution à Facebook il n'y a pas longtemps devant une centaine d'employés. Et deux heures plus tard, il y avait cette jeune femme qui travaille là assise devant mon petit bureau, et elle voulait me parler. J'ai dit d'accord, et e
lle s'est assise et nous avons parlé. Et elle a dit, J'ai appris quelque chose aujourd'hui. J'ai appris que je dois gardé la main levée. j'ai d
it, Que voulez-vous dire? elle a dit, Et bien
...[+++], vous faites cette allocution, et vous dites que vous allez prendre encore deux questions. Et je levais la main comme beaucoup d'autre gens, et vous avez pris deux questions de plus. Et j'ai baissé la main, et j'ai remarqué que toutes les femmes baissaient la main. Et puis vous avez pris encore deux questions, seulement celles des hommes. Et j'ai pensé en moi-même, ho, si c'est moi -- qui ça intéresse, évidemment -- qui fais cette allocution -- pendant cette allocution, je ne suis même pas capable de remarquer que les mains des hommes sont encore levées, et que les mains des femmes sont encore levées, que valons-nous comme directeurs de nos compagnies et de nos organismes quand il s'agit de voir que les hommes recherchent les opportunités plus que les femmes ne le font? Nous devons faire que les femmes s'asseyent à la table. (Applaudissements) Message numéro deux : faites de votre partenaire un vrai partenaire. J'ai acquis la conviction que nous avons plus progressé dans le monde du travail que nous ne l'avons fait dans nos foyers. Les données le montrent très clairement.
Zodadelijk vertel ik een verhaal dat erg gênant is voor mijzelf, maar ik vind het belangrijk. Niet zo lang geleden gaf ik een toespraak bij Facebook voor ongeveer 100 medewerkers. Een paar uur later was er een jonge vrouw die er werkt, ze zit voor mijn bureautje en wil met me praten. Ik zeg OK, ze gaat zitten, we praten. Ze zei: Ik heb vandaag iets geleerd. Ik heb geleerd dat ik mijn hand omhoog moet houden. Ik zei: Wat bedoel je? Ze zei: Wel, je gaf een toespraak en je zei dat je nog twee vragen zou beantwoorden. Ik had net als vele mensen mijn hand opgestoken, en je behandelde 2 vragen. Ik liet mijn hand zakken, en ik zag alle vrouwen hetzelfde doen, en toen beantwoordde je nog meer vragen, alleen van mannen. Ik bedacht voor mezelf: wow,
...[+++]als ik het ben -- die dit belangrijk vind -- die deze toespraak geef -- en ik merk tijdens de toespraak niet eens dat de handen van de mannen nog opgestoken zijn, dat de handen van de vrouwen nog opgestoken zijn, hoe goed zijn we dan als leiders van ons bedrijf en onze organisatie in opmerken dat de mannen meer opportuniteiten nastreven dan vrouwen? We moeten vrouwen een plaats aan de tafel laten innemen. (Applaus) Boodschap nummer twee: maak van je partner een echte partner. Ik ben ervan overtuigd dat we meer vooruit zijn gegaan op de arbeidsmarkt dan thuis. De data tonen dit zeer duidelijk.On peut ainsi faire la différence entre notre perception consciente des choses et leur véritable existence, mais c'est impossible d'en faire de même avec la conscience, car lorsqu'il s'agit d
e la conscience, si nous avons l'impression consciente d'être conscient, nous sommes bien
conscients. Je veux dire, si un groupe d'experts venait me dire « Nous sommes des spécialistes en neurobiologie, nous avons étudié votre cas, Searle, et nous sommes convaincus que vous n'êtes pas conscient, mais que vous êtes en réalité un robot très sophisti
...[+++]qué, » je ne me dirais pas, « Peut être que ces gars ont raison ? » Ça ne me viendrait même pas à l'esprit, parce que même si Descartes a sûrement fait des erreurs, il avait complètement raison sur ce sujet.
Maar dat onderscheid tussen hoe dingen bewust lijken en hoe ze werkelijk zijn, bewijst het bestaan van bewustzijn niet. Wat het bestaan van bewustzijn betreft: als je je ervan bewust bent dat je bewust bent, ben je bewust. Stel dat een hoop deskundigen tegen mij zouden zeggen: Wij zijn topneurobiologen en we hebben gevonden dat u, meneer Searle, niet bewust bent, meer een knap in elkaar gestoken robot. Ik denk dan niet: Nou, misschien hebben deze jongens wel gelijk. Voor geen moment. Descartes mag dan een boel fouten hebben gemaakt, maar hierover had hij gelijk.
CA: Mais est-ce qu'il n'y a pas un peu de rationalité dans cette
peur, à savoir que nous sommes effrayés, car nous pensons qu'une attaque ultime est à venir? DG : Oui, bien sûr. Si nous étions sûrs que c'était la pire attaque que nous aurons, il pourrait y avoir davantage de bus de 30 personnes -- et nous ne seriez pas si effrayés.
Je ne cherche pas à dire -- Je vous en prie, je vais être cité quelque part comme disant le terrorisme ce n'est rien, nous ne devrions pas être si inquiets . Ce n'est pas ce que j'essaye de dire. Ce que je
...[+++]cherche à dire est que, de façon rationnelle notre souffrance par rapport aux événements futurs, aux menaces, devrait être proportionnelle à l'importance de ces menaces et des menaces à venir. Je pense que dans le cas du terrorisme, ce n'est pas le cas.
CA: Maar is er ook een reële grond voor onze angsten, de reden dat we bang zijn, is omdat we denken dat er nog een veel grotere aanslag zal komen? DG: Ja natuurlijk: als we wisten dat dit de grootste aanslag ooit was en er nog meer bussen van 30 mensen doelwit waren -- dan zouden
we wellicht niet zo bang zijn. Ik wil hier niet zeggen -- straks gaan ze me citeren met “Niets mis met terrorisme, waar maken we ons druk om.” Maar dat bedoel ik echt niet. Mijn punt is dat, rationeel gezien, onze zorgen over gebeurtenissen, bedreigingen, ongeveer in verhouding moeten zijn met de omvang van bedreigingen, nu en in de toekomst. Met terrorisme is d
...[+++]at niet het geval, volgens mij. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
vous dire que nous ->
Date index: 2021-09-30