Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «voiture était passée par dessus » (Français → Néerlandais) :
Vous ne marcherez plus jamais. » J'ai dit, « Je sais tout ça, --quel jour sommes-nous ? » Vous voyez, je savais que la voiture était passée par dessus la glissière de sécurité le 28 février, et je savais que 1976 était une année bissextile.
Je zal nooit meer kunnen lopen. Ik zei: Dat weet ik al -- welke dag is het? Ik dat wist dat de auto op 28 februari over de vangrail was gegaan en ik wist dat 1976 een schrikkeljaar was.
Tandis que le père donnait ces instructions, une voiture est passée, lentement, et juste après avoir dépassé le père et les adolescents, une main est sortie de la fenêtre du passager avant, et Pan, Pan! , le père était mort.
Terwijl de vader dit deed, kwam een auto langzaam voorbijgereden. Net toen hij de vader en de tieners voorbij was, kwam er een hand uit het voorpassagierraam, en - Pang, pang! - werd de vader gedood.
Ceci s'appelle La Robe. C'est un poème plus long, À cette époque, cette époque q
ui existe seulement pour moi comme le souvenir le plus fuyant maintenant, quand souvent le premier son que tu
entendais le matin était un orage de chants d’oiseaux, puis le doux clopinement des sabots du cheval qui tirait le chariot de lait dans la rue, et le dernier son la nuit en toute probabilité était ton père qui
s’arrêtait dans sa voiture, après avoir travai ...[+++]llé tard encore, toujours tard, et descendant pesamment au sous-sol, à la chaudière, pour vider les cendres et calfeutrer les courants avant de remonter l’escalier et tomber dans le lit; dans ces jours lointains, les femmes, ma mère, les mères de mes amis, nos voisins, toutes les femmes que je connaissais, portaient, souvent presque toute la journée, ce qu’on appelait des robes de chambre, bon marché, à motifs, comme de la pulpe, apparemment et exprès sans forme, des robes légères en coton qu’on portait par dessus de sa chemise nuit, et quand on devait chercher un enfant, étendre du linge sur la ligne, ou descendre à l’épicerie au coin, par dessous un manteau, l’ourlet tordu de la chemise de nuit, toujours plat et jauni, pendant dessous.
Nu volgt Het huisschort . Dit is een langer gedicht. In lang vervlogen tijden die voor mij nu nog slechts als vluchtige herinneringen herleven, tijden waarin je 's ochtends vaak werd gewekt door een aanzwellend vogelkoor gevolgd door het gedempt
e getrappel van het paard van de melkboer onder aan de straat, tijden waarin je vrijwel iedere avond als laatste je vader in zijn auto hoorde voorrijden, na een werkdag die altijd te lang was, eerst klossend naar de kelder, naar de ketel, om as uit te scheppen en de klep te verzetten, en vervolgens naar boven, waar hij zijn bed in rolde. In die lang vervlogen tijden droegen vrouwen, mijn moeder, d
...[+++]e moeders van mijn vrienden, buurvrouwen, alle vrouwen die ik kende, een groot deel van de dag het zogenaamde huisschort, een goedkope, bedrukte lap, schijnbaar met opzet vormeloze lichtkatoenen hoezen, die je over je nachthemd droeg, en als je naar een kind op zoek ging, was aan de lijn hing, of even iets haalde bij de winkel op de hoek, onder een jas. De verwrongen zoom van je nachthemd stak er dan slap en vergeeld onder uit.Et mes yeux disaient : « Merci. Je vous vois. » Et leurs yeux disaient, « Personne ne me voit jamais. Merci. » Parfois on me harcelait. Les gens me criaient dessus en passant en voiture. « Trouve-toi un boulot ! » Je répondais, « C'est ça mon boulot. » Mais ça faisait mal, parce que ça me faisait craindre de faire en quelque sorte quelque chose qui était un non-boulot injuste et honteux.
En mijn ogen zeiden dan: 'Dank je. Ik zie je.' En hun ogen zeiden: 'Niemand ziet mij ooit. Dank je.' Soms werd ik lastiggevallen. Mensen reden langs in hun auto en schreeuwden: 'Zoek een baan!' Dan zei ik: 'Dit is mijn baan.' Maar het deed wel pijn, want het maakte me bang dat ik iets aan het doen was dat het woord werk niet waard was, en oneerlijk, beschamend.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
voiture était passée par dessus ->
Date index: 2021-07-22