Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «ville où nous sommes allés raconter notre » (Français → Néerlandais) :
Et il s'est passé la même chose dans chaque salle, dans chaque ville où nous sommes allés raconter notre histoire.
Het gaat zo in elke zaal, in elke stad waar we ons verhaal vertellen.
Tous les humains partagent des bouts communs d'ADN, transmis depuis nos ancêtres africains. Le généticien Spencer Wells nous raconte comment son projet Genographic utilise cet ADN commun pour saisir comment nous sommes, dans toute notre diversité, réellement connectés.
Alle mensen delen bepaalde stukken gemeenschappelijk DNA dat we hebben geërfd van onze Afrikaanse voorouders. Geneticus Spencer Wells spreekt over hoe zijn Genographic Project dit DNA zal gebruiken om uit te zoeken hoe we, in al onze diversiteit, werkelijk verbonden zijn.
Le courage, la définition originelle du courage, lorsque ce mot est apparu dans la langue anglaise -- il vient du latin cor , qui signifie cœur -- et sa définition originelle était : raconter qui nous sommes de tout notre cœur.
Moed, vanuit de oorspronkelijke betekenis van het Engelse 'courage' komt van het Latijnse woord cor, wat hart betekent -- en de oorspronkelijke betekenis was: je eigen verhaal van wie je bent, vertellen met je hele hart.
Si vous demandez à Tufte, il vous dira, Oui, c'est la façon la plus mauvaise de présenter une information. Ce que nous avons fait à Wired c'est que nous sommes allés voir notre département de conception graphique pour re-imaginer ces résultats de laboratoire.
Als je het aan Edward Tufte zou vragen, zou hij zeggen: Dit is de slechts mogelijke presentatie van informatie. Bij WIRED hebben we onze grafisch-ontwerp afdeling gevraagd dit laborapport opnieuw voor te stellen.
Bien sûr, la réponse que l
'on n'arrête pas de nous donner est la suivante : o
n nous dit que nous sommes allés en Afghanistan à cause du 11 septembre, et que nous restons là-bas parce que les Talibans représentent une menace existentielle à la sécurité mondiale. Pour reprendre les mots du président Barack Obama, « Si les Talibans reprennent le dessus, ils inviteront à nouveau Al-Qaïda, qui essaiera de tuer autant des nôtres que possible. » L'
histoire qu'on nous ...[+++]raconte est que notre présence était légère à l'origine, en d'autres termes, que nous nous sommes retrouvés dans une situation où nous n'avions pas assez de troupes, nous n'avions pas assez de ressources, où les Afghans étaient déçus. Ils sentaient qu'il n'y avait pas assez de progrès, de développement économique, et de sécurité, donc les Talibans sont revenus. Nous avons répondu à cela en 2005 et 2006 avec des déploiements de troupes, mais elles n'étaient toujours pas suffisantes sur le terrain.
En het antwoord daarop luidt keer op keer als volgt. Ons werd verteld dat we Afghanistan binnenvielen vanwege 9/11, en dat we daar blijven omdat de Taliban een existentiële dreiging vormt voor de internationale veiligheid. In de woorden van president Obama, Als de Taliban wee
r de macht grijpen, zullen ze Al Qaeda uitnodigen, die zullen
trachten zoveel van onze mensen te doden als ze kunnen . Het verhaal dat ons verteld werd, is dat er aanvankelijk een minimale aanw
ezigheid was -- met andere woorden, ...[+++]dat we in een situatie beland waren waarin we niet genoeg troepen hadden, niet genoeg middelen hadden, dat de Afghanen gefrustreerd waren. Ze vonden dat er niet genoeg vooruitgang was en economische ontwikkeling en veiligheid, en daarom de Taliban terugkwam. Dat we reageerden met troepenstationeringen in 2005 en 2006, maar we nog steeds niet genoeg troepen op de grond hadden.Et alors, ce qui se passe c'est que les gens de la cité supérieure ils aspirent toute l'eau. Rappelez-vous le mot que j'ai employé, aspirer. Ils aspirent toute l'eau, la gardent pour eux, et ensuite nourrissent au
goutte à goutte la ville inférieure. S'il y a la moindre révolution, ils coupent l'eau. Et comme la démocratie existe toujours, il y a une façon démocratique de
dire bien, si vous nous donnez ce que nous voulons, nous vous donnerons de l'eau. Bon, j'arrive à la fin de mon temps. Mais je pourra
is continu ...[+++]er à vous raconter comment nous faisons évoluer les histoires, et comment les histoires sont vraiment ce que nous sommes et comme elles se traduisent dans cette discipline particulière qui est la mienne, à savoir le film. Mais finalement, qu'est-ce qu'une histoire ? C'est une contradiction.
Wat er gebeurt, is dat de mensen van de b
ovenste stad al het water opzuigen. Onthoud het woord dat ik gebruik, opzuigen. Ze zuigen al het water op en houden het voor zichzelf, en de lager gelegen stad krijgt het water slechts druppelsgewijs. Als er revolutie is, wordt het water afgesneden. Omdat democratie nog steeds bestaat. Het is een democratische manier om te zeggen: als
je ons geeft wat we willen, krijg je van ons water. Mijn tijd is om. Ik kan blijven vertellen hoe we verhalen laten evolueren, en hoe de verhalen zijn wie we zijn
...[+++] en hoe deze worden vertaald in mijn discipline, de film. Maar uiteindelijk, wat is een verhaal? Het is een contradictie.Et j'appelle ça la sécurité de notre ville. La récession nous a ébranlé et effrayé, et il y a quelque chose dans l'air ces temps-ci qui est aussi très stimulant. Il s'agit d'une prise de conscience que nous sommes la clé de notre propre reprise. Il est maintenant temps pour nous d'agir dans nos propres communautés où nous pensons et nous agissons localement.
Ik noem het plaatselijke veiligheid. De recessie deed ons wankelen en vrezen, maar er hangt nu iets in de lucht dat zoveel kracht geeft. Het is het besef dat wij de sleutel zijn tot ons eigen herstel. Het is nu tijd voor ons om in onze gemeenschappen lokaal te denken en lokaal te handelen.
Elle est venue en Californie, à Los Angeles
me rendre visite et nous sommes allés à Malibu, cet endroit l'a beaucoup déçue. (Rire) Puis nous
sommes allés dans un restaurant de poisson, C
had le surfer était notre serveur, lorsqu'il est venu à notre table ma mère lui a demandé : Proposez-vous des spécialités, jeune homme ? Et Chad a répondu : Ouai, genre ... ça, du saumon
...[+++], qui est genre roulé dans ce truc, genre une de croûte de wasabi. C'est une vraie tuerie. Et ma mère s'est tournée vers moi et m'a dit : Mais quelle langue parle t-il ? (Rire) J'ai répondu Anglais maman . Et elle a secoué la tête et dit : Oh ces américains ! Nous leur avons donné une langue. Pourquoi ne l'utilisent ils pas ? (Rire) Alors cette femme, une anglicane qui s'est convertie au catholicisme quand elle a épousé mon père -- il n'y a pas plus religieux qu'un converti catholique -- a décidé d'enseigner dans des régions rurales au Nigeria en particulier aux femmes Igbo la méthode d'ovulation Billings le seul moyen de contraception autorisé par l'Eglise Catholique.
Ze kwam naar Los Angeles om me te bezoeken, en we gingen naar Malibu, dat haar erg teleurstelde. (Gelach) Toen gingen we naar een visrestaurant, en Chad de surfer was onze ober. Hij kwam aan tafel en mijn moeder vroeg: Heb je nog bijzondere gerechten, jongeman? Chad zegt: Zeker weten, we hebben totaal gave zalm gerold in een soort korst van wasabi, we
et je wel. Helemaal waus... Mijn moeder draaide zich naar mij en zei: Welke taal spreekt hij? (Gelach) Ik zei: Engels, mam. Ze schudde haar hoofd en zei: O, die Amerikanen... we gaven hen een taal. Waarom gebruiken ze die niet? (Gelach) Dus deze vrouw, die overstapte van de kerk van Engeland
...[+++] naar het katholicisme toen ze mijn vader trouwde -- en niemand is doller dan een katholieke bekeerling -- besloot in de landelijke gebieden van Nigeria, vooral aan Igbovrouwen de Billings-ovulatiemethode te onderwijzen. Dit was het enige voorbehoedmiddel met katholieke goedkeuring.Une des rais
ons pour lesquelles nous nous éloignons des salles de banquets comme celle
dans laquelle nous sommes, des salles de banquets avec des images extraordinaires au plafond de rois sur leur trônes, le drame qui s'est déroulé à cet endroit, là où le roi d'Angleterre s'est fait coupé la tête, la raison pour laquelle nous avons quitté les endroits comme celui-ci, les trônes comme celui-
là, pour l'hôtel de ville, est qu'ainsi nous ...[+++]allons de plus en plus vers les énergies de notre peuple, et c'est ça que nous devons puiser.
We willen weg van receptiezalen zoals waar we nu zijn, banketzalen met buitengewone beelden op het plafond van op een troon gezeten koningen, het hele drama dat zich hier op deze ruimte heeft gespeeld, waar de koning van Engeland zijn hoofd werd afgehakt. We zijn verhuisd vanuit ruimten als deze, weg van tronen als deze, naar het stadhuis, omdat we daar kunnen putten uit de gedrevenheid van onze mensen.
S
a salle de classe tremblait parfois du bruit des bombes et des o
bus. Et sa mère m'a raconté : « Chaque matin, je lui disais : ' Chéri, s'il te plaît, ne va pas à l'école ! ' » Et lorsqu'il insistait, m'a-t-elle dit : « Je le serrais dans mes bras comme si c'était la dernière fois. » Mais il
a dit à sa mère : « Nous sommes tous effrayés, mais
notre détermination à être
...[+++]diplômés est plus forte que notre peur. » Mais, un jour, la famille reçut une horrible nouvelle.
Zijn klaslokaal daverde soms bij het geluid van bommen en beschietingen, en zijn moeder vertelde me: “Dagelijks vroeg ik hem 's morgens 'Schat, alsjeblieft ga niet naar school.' Maar hij stond erop, zei ze, en dan omhelsde ik hem alsof het voor het laatst was.” Maar hij zei tegen zijn moeder: “We zijn allemaal bang, maar onze vastberadenheid om af te studeren is sterker dan onze angst.” Maar op een dag kreeg de familie vreselijk nieuws.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
ville où nous sommes allés raconter notre ->
Date index: 2021-07-15