Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «vies bj nous avons certainement passé beaucoup » (Français → Néerlandais) :
(Rires) Beverly est clairement l'une d'entre elles, et ce petit léopard, Legadema, en est une autre, e
t elle a changé nos vies. BJ : Nous avons cer
tainement passé beaucoup de temps avec elle -- en fait, plus de temps que sa mère passait avec elle. Quand sa mè
re partait chasser, nous restions pour filmer. Quand elle était petite, la foudre a frappé un arbre à 20 pas de nous. C'était effrayant. Nous nous sommes t
...[+++]rouvés sous une pluie de feuilles d'une odeur âcre.
(Gelach) Beverly is er daar duidelijk één van, en deze kleine luipaard, Legadema, is een ander voorbeeld. Zij veranderde ons leven. BJ: Ja, we brachten heus heel veel tijd met haar door -- in feite, meer tijd dan zelfs haar eigen moeder. Als haar moeder weg ging om te jagen, bleven wij om te filmen. Al snel raakte een bliksemschicht een boom 20 passen van ons vandaan. Het was erg beangstigend. Het bedolf ons met bladeren en een penetrante geur.
Et donc nous avons besoin de ce type de structure et de respect dans les vies de nos enfants. Je passe beaucoup de temps avec des groupes de jeunes, et je demande aux gens: Quand est-ce que le processus d'éducation commence ? Nous entendons toujours : Réparons les écoles. Faisons plus pour nos enseignants. Ajoutons des ordinateurs dans nos écoles.
Dit soort structuur en respect hebben we nodig in de levens van onze kinderen. Ik besteedde veel tijd met jongeren en vraag mensen: Wanneer begint onderwijs? We praten over: Laten we de scholen beter maken, meer voor onze leraren doen, meer computers plaatsen.
C'est u
n monde inconnu. Et nous avons exploré que 3 pour cent de tout ce qu'on peut trouver dans les océans. Nous avons déjà découvert la plus haute montagne au monde la plus profonde des vallées, des lacs, des cas
cades sous l'eau -- beaucoup de choses vont être partagées avec vous durant cette présentation. Et dans un lieu où on pensait qu'il n'y avait aucune vie possible, nous avons décou
...[+++]vert, plus de vie, de diversité et de densité, nous pensons que dans certaines forêts tropicales. Ce qui nous démontre que nous connaissons, en fait, peu de choses de cette planète. Il en reste encore 97 pour cent, et c'est soit 97 pour cent de vide, soit pleine de surprises.
Dat is de onbekende wereld. We hebben nog maar 3 procent ontdekt van wat er in de oceanen te zien is. We hebben de hoogste bergen ter wereld gevonden, de diepste valleien, onderwatermeren en -watervallen -- en er veel van met jullie gedeeld vanaf het podium. Op een plek waar we helemaal geen leven vermoedden, denken we meer leven, diversiteit en dichtheid te vinden dan in het tropisch regenwoud. Dat wil zeggen dat we nog maar heel erg weinig van deze planeet weten. Blijft nog 97 procent over, die óf leeg is óf is vol met verrassingen.
J
'ai passé beaucoup de temps en Inde, là-bas,
tu es élevé avec ce sentiment qu'on est un être spirituel se trouvant être
un corps physique. Nous, les Occidentaux sommes plus centrés sur le corps physique, puis, à partir d'un certain âge, quand on a de la bouteille, on commence à s'intéresser
à l'esprit. Mais si vous êtes déjà allés au ...[+++]musée de Gandhi, à Delhi, vous avez vu ce qui est écrit au-dessus de la porte, et ce fut d'ailleurs une réponse de Gandhi à la question d'un journaliste. Gandhi montait dans un train quand le journaliste l'a interpelé : «Gandhi, Gandhi, quel est votre message au monde ? » Gandhi se retourna et dit : « Ma vie. Ma vie est mon message. » Et votre vie aussi est un message. Peut-être pas aussi grand que celui de Gandhi - en tout cas pas le mien - mais votre vie doit être votre message. Sinon, pourquoi sommes-nous ici ?
Ik vertoef vaak in India en in India wordt je grootgebracht vanuit het perspectief dat je een spiritueel wezen bent dat te gast is in een fysiek lichaam, terwi
jl we in het Westen veel meer uitgaan van ons fysieke lichaam en pas als we oud en rijp genoeg worden, krijgen we interesse voor de ziel. Maar, als je ooit in het Gandhi-museum in Delhi bent geweest, zul je weten dat er deze uitspraak boven de deur hangt, een uitspraak die feitelijk een antwoord was van Gandhi op de vraag van een journalist. Gandhi stapte op de trein en een journalist riep hem na: Gandhiji, Gandhiji, wat heb je de wereld te zeggen? waarop Gandhi zich omdraaide en z
...[+++]ei: Mijn leven, mijn leven is alles wat ik heb te zeggen. Datzelfde geldt voor jouw leven. Misschien met niet zoveel impact als dat van Gandhi -- het mijne zeker niet -- maar je leven moet je statement zijn. Waarom zou je anders hier zijn?Donc, trouver de la vie sur une autre planète n'est pas chose facile, et nous avons passé beaucoup de temps à réfléchir sur cette question.
Ja, het vinden van leven op een andere planeet is een niet-triviale bezigheid en we besteden veel tijd met daarover na te denken.
Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Te
rre? Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dir
e la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humai
...[+++]ns dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
E
n hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is: Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch fenomeen. De vraag i
...[+++]s dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen.Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réell
es et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantoma
tiques et sont très fiers ...[+++] de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat
de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Nous partageons d'autres types de divertissements -- des stades, des parcs publics, des salles de concerts, des bibliothèques. des universités. Toutes ces choses sont des plateformes de partage mais le partage en fin de compte commence et finit avec ce à quoi je fais référence comme la mère de toutes les plateformes de partage. Et quand je pense au maillage et que je pense à ce qui le fait avancer, comment s
e fait-il que ça se passe maintenant, je
pense qu'il y a un certain nombre de vecteurs que je veux vous donn
...[+++]er comme contexte. L'un de ces vecteurs est la récession -- le fait que la récession nous ait amenés à repenser notre relation aux choses dans nos vies en fonction de leur valeur -- donc en commençant à aligner la valeur avec le coût véritable. Deuxièmement, l'accroissement de la population et la densité des villes. Plus de gens, des espaces plus petits, moins de choses. Le changement climatique. Nous essayons de réduire le stress dans nos vies personnelles et dans nos communautés et sur la planète. Il y a eu aussi cette méfiance récente vis-à-vis des grands marques, des grandes marques internationales, dans un tas d'industries différentes. Et cela a créé une ouverture. La recherche montre ici, aux Etats-Unis, et au Canada et en Europe de l'Ouest que la plupart d'entre nous sont beaucoup plus ouverts aux compagnies locales, ou à des marques dont nous n'avons peut-être pas entendu parler.
We delen andere soorten van vermaak: sportarena's, openbare parken, concertzalen, bibliotheken, universiteiten. Dit zijn allemaal platforms voor delen, maar delen begint en eindigt uite
indelijk bij wat ik noem 'de moeder van alle deelplatforms'. Als ik over het maaswerk nadenk, waardoor dat gedreven wordt, hoe het kan dat het nu gebeurt, denk ik dat er een aantal drijfveren zijn die ik als achtergrond wil geven. Een ervan is de recessie. De recessie heeft ervoor gezorgd dat we de verhouding tot spullen in ons leven zijn gaan heroverwegen. Dat we de waarde van spullen zijn gaan afstemmen op de werkelijke kosten. Ten tweede, de groei van d
...[+++]e bevolking en de dichtheid in steden. Meer mensen, kleinere ruimtes, minder spullen. Klimaatverandering. We proberen de stress te verminderen in ons persoonlijk leven, in onze gemeenschap en op de planeet. Ook is er sinds korte tijd wantrouwen jegens wereldwijde, grote ondernemingen in een aantal verschillende bedrijfstakken. Dat heeft een opening gecreëerd. Onderzoek toont aan dat hier in de V.S., in Canada en in West-Europa de meeste mensen meer open staan voor lokale bedrijven of namen die misschien onbekend zijn.Qu'est-ce qui rend le présent, plus p
articulièrement les bons moments du présent, si difficiles à vivre correctement? Réciproquement, pourquoi tant d'événements semblent plus faciles à savourer, à apprécier et à vivre, lorsqu'ils sont résolument terminés?
Un des avantages du passé, c'est qu'il est une version éditée et réduite du présent. Même les mei
lleurs jours de nos vies contiennent une série de moments insipides et gênants. Da
...[+++]ns notre mémoire, tels des éditeurs qualifiés d'heures de rushes et souvent de séquences plates, nous verrouillons les moments les plus importants; et par conséquent construisons des séquences qui semblent bien plus significatives et intéressantes que leur cadre d'origine. Des heures de médiocrité peuvent être réduites en cinq ou six images parfaites. La nostalgie est le présent bonifié par le montage. Beaucoup de ce qui détruit le présent est pure anxiété. Le présent contient toujours un nombre important de possibilités, certaines très repoussantes, dont nous sommes toujours conscients. En théorie, tout peut arriver, un séisme, un anévrisme, un rejet - qui donne lieu à une anxiété non spécifique qui nous suit en permanence; le simple effroi face à l'inconnu de ce qui va se produire Mais après, bien sûr, seul un nombre très limité de choses horribles se produisent et nous oublions l'anxiété simultanément (ou plutôt passons à un nouveau présent).
Hoe komt het toch dat we het nu, en vooral de leukste momenten van het heden, zo moeilijk ten volle kunnen ervaren? En waarom, omgekeerd, kunnen we van zo veel gebeurtenissen makkelijker genieten en waarderen als ze echt voorbij zijn? Een voordeel van het verleden is dat het een dramatisch ingekorte versie is van het heden. Zelfs de mooiste dagen van ons leven bestaan uit een serie saaie en ongemakkelijke momenten. Maar in onze herinnering leggen we alleen de meest betekenisvolle momenten vast, als capabele redacteuren van uren van ruw en vaak niet-inspirerend materiaal. En zo creëren we reeksen die veel betekenisvoller en interessanter voelen dan de situaties waaruit ze voortkwamen. Uren van middelmatigheid worden teruggebracht tot vijf of
...[+++] zes perfecte beelden. Nostalgie is: het heden verrijkt door een redactie-apparaat. Pure angst verwoest veel van het heden. Het heden bevat altijd een enorme hoeveelheid mogelijkheden, sommige geweldig griezelig, waar we ons continu op achtergrond van bewust zijn. In theorie kan er van alles gebeuren, een aardbeving, een slagaderbreuk, een afwijzing - wat leidt tot de vage angst die veel van ons steeds maar voortsleept. De eenvoudige vrees over de onbekendheid van wat komen gaat. Maar natuurlijk gebeuren er uiteindelijk maar heel weinig van die dingen en meteen vergeten we de angst (of we richten die weer op het nieuwe heden). datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
vies bj nous avons certainement passé beaucoup ->
Date index: 2025-04-12