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Vertaling van "venu en fait pour fuir mon bureau " (Frans → Nederlands) :
Et je me suis assis, et j'ai commencé à écrire, et j'ai écrit, et écrit, alors que j'étais venu en fait pour fuir mon bureau.
Ik ging zitten en begon te schrijven, schrijven en schrijven. Ik was daar juist om niet achter mijn bureau te zitten.
La première idée que j'ai eu, était d'aller aux autorités étatiques et fédérales et leur dire: Le voilà! Prenez-le, c'est gratuit. Mais, on m'a immédiatement dit : Notre gouvernement ne fonctionne pas comme ça. (Rires) Ok, ok. Alors je peux peut-être créer une organisation
à but non lucratif pour faciliter les consultations avec le gouvernement. Cette fois on m'a dit: Pour ce genre de choses, notre gouvernement ne collabore qu'avec le secteur privé. D'accord. Alors je vais partager mon idée avec des sociétés privées qui seront intéressées. Mais, certaines
sociétés m'ont vite fait ...[+++] comprendre que mon projet personnel n'était pas commercialisable car elles ne voulaient pas que leur logo soit estampillés dans les ghettos de Haïti. À ce moment-là, je n'étais pas simplement obsédé. J'étais outré. (Rires) Alors je me suis dit: Ah ouais ? Je vais le faire moi-même alors. (Rires) À ce moment, mes supérieurs m'ont envoyé travailler quelques mois dans notre bureau de Milan, alors je me suis demandé ce que j'allais faire. J'ai alors aménagé mon temps de sommeil en dédiant le décalage horaire de 8 heures à des conférences téléphoniques avec des fournisseurs de matériaux, des fabricants et des clients potentiels.
Mijn eerste idee was om de federale en staatsoverheden op te zoeken en te ze
ggen: Hier, gratis, voor niks. Ik kreeg al snel de reactie: Jongen, zo werkt onze overheid niet! (Gelach) Oké. Dan maar een vzw opstarten om consultancy te geven en dit idee te laten passeren bi
j de overheid? Nee, want Jongen, onze overheid rekent op de privésector voor dit soort zaken. Misschien kan ik het idee verkopen aan privé-bedrijven, die er ook hun
voordeel mee konden doen ...[+++], maar ik hoorde al snel van enkele bedrijven dat mijn persoonlijke passie niet paste bij het merk: ze wilden niet dat hun logo's te zien waren in alle ghetto's van Haïti. Nu was ik niet alleen geobsedeerd. Ik was woest. Dus zei ik tot mezelf: O ja? Let maar op. Ik doe het zelf. (Gelach) Toen moest ik voor mijn dagtaak enkele maanden vanuit het kantoor in Milaan werken. Dus plande ik slaapuren op mijn kalender en besteedde de 8 uren tijdsverschil aan conferentiegesprekken met leveranciers, producenten en potentiële afnemers.Il y a eu pas mal de coups de feu, pas mal de discussions philosophiques avec les membres du gang. Au matin, le chef du gang est arr
ivé. Il a considéré Sudhir, est arrivé à la conclusion qu’il n’était pas une menace et ils l’ont laissé partir. Sudhir rentre chez lui. I
l prend une douche, fait la sieste. Vous et moi, sans doute, face à cette situation, nous nous serions dit bon, je vais plutôt écrire mon mémoire sur les Grateful Dead. Je les ai suivis pendant
ces trois derniers mois ...[+++]. (Rires) Sudhir, lui, y est retourné directement, s’est rendu dans les logements sociaux. Est monté à l’étage, le second étage, et a dit : « Salut les gars. J’ai passé un très bon moment à traîner avec vous, cette nuit. Je me demande si je pourrais recommencer ce soir. » Et voilà comment a commencé ce qui est devenu une belle relation qui a fait de Sudhir un résident non permanent du logement social pendant dix ans, à traîner dans des planques à crack, aller en prison avec les membres du gang, avoir les vitres de sa voiture explosées à coup d’armes à feu, avoir des descentes de police dans son appartement avec confiscation de ses disques durs... À peu près tout ce qu’on peut imaginer. Au final, l’histoire s’est bien terminée pour Sudhir, qui est devenu un des sociologues les plus respectés du pays. Et surtout pour moi, qui, assis à mon bureau avec ma feuille Excel ouverte, attendais que Sudhir vienne et me livre les dernières données obtenues du gang. Sans doute une des relations entre co-auteurs des plus inégales... (Rires) ... mais je suis heureux d’en avoir été le bénéficiaire.
Er werd veel geschoten, en hij hield veel filosofische discussies met de bendeleden. Tegen de ochtend kwam de bendeleider langs. Hij keek naar Sudh
ir, besloot dat hij geen gevaar was, en ze lieten hem
naar huis gaan. Dus Sudhir ging naar huis, nam een douche, deed een dutje. En jij en ik zouden in zo'n situatie waarschijnlijk den
ken, ik denk dat ik mijn thesis maar over Th ...[+++]e Grateful Dead ga schrijven. Ik ben ze de afgelopen drie maanden achterna gereisd. (Zaal lacht) Maar Sudhir ging terug naar het woonproject, ging naar de tweede verdieping en zei: Hey jongens, ik heb het gister zo met jullie naar mijn zin gehad dat ik mij afvroeg of we dat vannacht nog een keer konden overdoen. En dat was het begin van, naar wat bleek, een mooie vriendschap waarbij Sudhir tien jaar lang zo nu en dan in het woonproject woonde: hij verbleef vaak in crackhuizen, ging naar de gevangenis met de bendeleden, de ramen van zijn auto werden kapot geschoten, de politie brak in in zijn appartement en stal zijn computerschijven, noem maar op. Uiteindelijk had het verhaal een goed einde voor Sudhir, die één van de meest gerespecteerde sociologen van het land werd. En vooral voor mij, zittende in mijn kantoor met Excelspreadsheets geopend, wachtende op Sudhir die mij de laatste data kwam brengen die hij van de bende had gekregen. Het was één van de meest ongelijke co-schrijverschappen ooit (Zaal lacht) maar ik was blij dat ik er de vruchten van kon plukken. Elle contenait 200 à 300 à 400 fois plus de produits toxiques que les taux autorisés
par la EPA ( Agence pour la protection de l'Environnement). Et je me souviens que j'étais assis à mon burea
u et je pensais, Et bien, je le sais. C'est une grande découverte scientifique. Mais c'était si terrible. Et pour la toute première fois dans ma carrière de scientifique, j'ai rompu avec le protocole scientifique, qui dit qu'on doit prendre les données et les publier dans les journaux scientifiques, et seulement après commencer à en parler. Nous
...[+++]avons envoyé une lettre très polie au Ministre de la Santé du Japon et lui avons simplement fait remarquer que cette situation était intolérable, non pas pour nous, mais pour le peuple japonais. Car les mères qui allaitaient, ou qui avaient des enfant en bas âge achetaient quelque chose qu'elles croyaient être sain, mais qui était en fait très toxique. Ceci a conduit à toute une série d'autres campagnes au Japon. Et je suis très fier de vous dire qu'en ce moment, il est très difficile d'acheter quoi que ce soit au Japon qui soit mal étiqueté, et même si ils vendent encore de la viande de baleine, ce que je pense qu'ils ne devraient pas faire. Au moins c'est étiqueté correctement. et vous n'allez plus acheter sans le savoir de la viande toxique de dauphin.
Het had tot 400 maal de giftige lad
ing ooit toegestaan door de EPA. Ik herinner me dat ik zat te denken: Ik weet het. Dit is een grote wetenschappelijke ontdekking. Maar het was zo verschrikkelijk. En voor de
allereerste keer in mijn wetenschappelijke carrière
brak ik met het wetenschappelijk protocol. Dat zegt dat je data eerst publiceert in wetenschappelijke tijdschriften, en er pas daarna over begint te praten. We stuurden een zeer beleefde brief naar de minister van Vo
...[+++]lksgezondheid in Japan om erop te wijzen dat dit is een onhoudbare situatie was, niet voor ons, maar voor de mensen van Japan. Omdat moeders die borstvoeding gaven en jonge kinderen hadden, iets zouden kopen waarvan ze dachten dat het gezond was, maar dat in feite echt giftig was. Dat leidde tot een hele reeks andere campagnes in Japan. Ik ben er echt trots op dat op dit punt, het heel moeilijk is om nog iets te kopen in Japan dat verkeerd is gelabeld, ook al verkopen ze nog steeds walvisvlees, wat ze volgens mij niet zouden moeten doen. Maar het is ten minste correct geëtiketteerd en je koopt geen toxisch dolfijnenvlees in de plaats.Un jour un res
ponsable de la NASA vient dans mon bureau, s'assied et dit : Pouvez-vous s'il-vous-plaît nous dire, comment chercher de la vie ailleurs que sur la Terre ? Et ça m'a surpris, parce
que j'avais été en fait engagé pour travailler sur l'info
rmatique quantique. Pourtant, j'avais une très bonne réponse. J'ai dit : Je n'en ai aucune idée. Et il m'a dit : Les sign
...[+++]atures biologiques, nous devons chercher les signatures biologiques. Et j'ai dit : Qu'est-ce que c'est ? Et il a dit : C'est tout phénomène mesurable qui nous permet d'indiquer la présence de vie . Et j'ai dit : Vraiment ? N'est-ce pas un peu facile ? Je veux dire, nous avons la vie. Ne pouvez-vous pas utiliser une définition, par exemple une définition de la vie semblable à celle de la Cour Suprême ? Alors j'y ai réfléchi un peu, et j'ai dit : Bon, est-ce vraiment si simple ? Parce que oui, si vous voyez quelque chose comme ça, alors d'accord, je vais appeler ça la vie, c'est indubitable. Mais voici quelque chose . Et il continue : Bien, c'est la vie aussi. Je sais cela . Sauf que si vous pensez que la vie est aussi définie par les choses qui meurent, pas de chance en ce qui concerne cette chose, parce que c'est en fait un organisme très étrange. Il grandit jusqu'au stade adulte comme cela et passe alors par une phase à la Benjamin Button, et régresse en fait encore et encore, jusqu'à redevenir un petit embryon, et en fait recommence alors à grandir, et à rajeunir encore et grandir, comme une sorte de yo-yo, et il ne meurt jamais. Donc c'est vraiment de la vie, mais en fait ça ne ressemble pas à ce nous considérons que devrait être la vie.
Op een dag komt een NASA-manager m
ijn kantoor binnen, gaat zitten en zegt: 'Kun je ons alsjeblieft vertellen hoe we op zoek kunnen gaan naar leven buiten de aarde?' Dat kwam
als een verrassing voor mij, want ik was eigenlijk ingehuurd om te werken aan kwantumberekening. Toch had ik een heel goed antwoo
rd. Ik zei: 'Ik heb geen idee.' hij vertelde me: 'Biosignaturen, we moeten op zoek naar een biosignatuur.' Ik weer: 'Wat is dat?' Hi
...[+++]j zei: 'Het is eender welk meetbaar fenomeen dat ons in staat stelt om de aanwezigheid van leven vast te stellen.' Ik zei: 'Echt waar? Is dat dan niet makkelijk? Ik bedoel, we hebben hier leven. Kun je daar geen definitie op toepassen zoals bijvoorbeeld een Supreme Court-achtige definitie van leven?' Toen ik er een beetje over had nagedacht, zei ik: 'Is het echt zo gemakkelijk? Want ja, als je zoiets als dit ziet, dan noem ik dat leven - geen twijfel mogelijk. Maar hier is iets.' Hij dan: 'Goed, dat is ook leven. Dat weet ik.' Maar als je denkt dat het leven ook is gedefinieerd door dingen die sterven, dan heb je geen geluk met dit ding omdat dat eigenlijk een heel vreemd organisme is. Het groeit op tot het volwassen stadium, maakt dan een Benjamin Buttonfase door, gaat achteruit en achteruit totdat het weer als een klein embryo is en groeit dan weer terug, terug naar beneden en weer terug - als een jojo. Het sterft nooit. Het is leven, maar geen leven zoals wij het ons voorstelden.Il y a environ 30 ans, quand je travaillais en on
cologie à l'hôpital pour enfants de Philadelphie, un pè
re et son fils sont venus me voir dans mon bureau, il leur manquait l’œil droit à tous les deux, quand j'ai pris leurs dossiers médicaux, il est devenu évident que le père et le fils avaient une forme rare de tumeur oculaire héréditaire : un rétinoblastome, et le père savait qu'il l'avait transmis à son fils. Ce moment a changé ma vie. Il m'a poussé
...[+++]à aller de l'avant et à codiriger une équipe qui a découvert la première gène de prédisposition au cancer. Dans les décennies suivantes, il y a eu un mouvement sismique dans notre compréhension de ce qui se passe, quelles variations génétiques se cachent derrière ces différentes maladies. En fait, on connaît la molécule de base de milliers de caractéristiques humaines et, chaque jour, des milliers de personnes sont informées sur leurs risques d'avoir telle maladie ou telle autre. Pourtant, si vous me demandez : « Cela a-t-il impacté l'efficacité, la manière dont nous avons été capables de développer des médicaments ? » la réponse est « pas vraiment ». Si vous regardez le coût de la recherche pharmaceutique, à la façon dont c'est fait, ça n'a pas bougé.
Ongeveer 30 jaar geleden werkte ik in de oncologieafdeling van het kinderziekenhuis in Philadelphia
. Een vader en zijn zoon stapten mijn praktijkruimte binnen. Ze misten allebei hun rechteroog. Uit hun medische geschiedenis bleek dat beiden een zeldzame vorm van een erfelijke oogtumor, retinoblastoom, hadden. De vader wist dat hij dat op zijn zoon had overgedragen. Dat moment veranderde mijn leven.
Het zette me aan om door te gaan en mee leiding te geven aan een team dat het eerste kankerveroorzakend gen ontdekte. In de jaren sindsdie
...[+++]n heeft er letterlijk een aardverschuiving plaatsgevonden in ons begrip van wat er gebeurt, van de genetische variaties als oorzaak van ziekten. Nu weten we dat er voor duizenden menselijke kenmerken, een moleculaire basis bestaat. Elke dag horen duizenden mensen dat ze het risico lopen om deze of gene ziekte te krijgen. Maar als je vraagt of we daarom nu beter zijn geworden in de ontwikkeling van medicijnen, moeten we zeggen: “Niet echt.” Als je kijkt naar wat het kost om geneesmiddelen te ontwikkelen, is er in principe niet veel veranderd.C
'était un bureau qui a pris quelques 40 années à construire. Vous savez -- tout ce qu'il y avait. C'est ma fi
lle, Jean. Elle est venue. Elle est infirmière à San Francisco. Piochez, J'ai dit. Des morceaux. Je veux des morceaux. Des petits bouts. J'ai eu cette idée : une vie de petits morceaux, sur lesquels je commence tout juste à travailler - mon prochain projet. C'est ma soeur. Elle s'est chargée des photos, parce que j'étais un grand collectionneur de p
hotos instantannées ...[+++]dont je pensais qu'elles disaient beaucoup. Et là, ce sont des photos qui -- il y avait quelque chose de bien dans les photos brûlées. Je ne savais pas. J'ai regardé ça -- J'ai dit, Wouah, est-ce que c'est mieux que le -- Voilà ma proposition sur Jimmy Doolittle. J'ai fait ce film pour la télévision. C'est la seule copie que j'avais -- des morceaux.
Het ko
stte 40 jaar om dat bureau te maken. Weet je -- alle spullen.
Dat is mijn dochter Jean. Ze kwam. Ze is verpleegkundige in San Francisco. Graaf 't op, zei ik. Stukjes. Ik wil stukjes, stukjes en beetjes. Ik had een idee: een leven uit stukjes en beetjes, waar ik
nu net aan begin -- mijn volgende project. Dat is m'n zus. Ze ontfermde zich over de foto's, ik was namelijk een groot verzamelaar van foto's
die ik ve ...[+++]elzeggend vond. Dit zijn wat foto's die -- er was iets goeds aan de verbrande foto's. Ik weet niet. Ik keek naar die -- Ik zei: Wow, dat is beter dan de -- Mijn voorstel voor Jimmy Doolittle. Ik heb die film voor TV gemaakt. Het was mijn enige kopie -- delen ervan.Au Burundi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je suis allée trouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a dit : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille person
...[+++]nes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was geen baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken
...[+++]konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...Et donc, ce que je faisais à Esperance cette première année était tout simplement de me promener dans les rues, et après trois jours j'ai eu mon premier client, et j'ai aidé cet homme qui fumait du poisson dans un garage, c'était un Maori, et je l'ai aidé à vendre au restaurant à Perth, à s'organiser, et puis les pêcheurs sont venu me dire, « C'est vous qui avez aidé le Maori ? Pouvez-vous nous aider ? » Et j’ai aidé ces cinq pêcheurs à travailler ensemble et à faire parvenir ces thons superbes non pas à la conserverie d’Albany à 60 centimes le kilo, mais nous avons trouvé une façon d’emmener le poisson au Japon pour en faire du sushi à 15 dollars le kilo, et les fermiers ont venu me parler, ils m’ont dit, « Hé, vous les avez aidés. Pouvez-
...[+++]vous nous aider ? » En un an, j’avais 27 projets en cours, et le gouvernement est venu me voir pour me dire, « Comment faites-vous ça ? « Comment faites-vous ... ?Et j’ai répondu, « Je fais quelque chose de très, très, très difficile.
In dat eerste jaar in Esperance liep ik gewoon wat rond en binnen drie dagen had ik mijn eerste klant. Hij was een Maori die vis rookte in een garage. Ik hielp hem zijn vis te verkopen aan een restaurant in Perth. Daarna vroegen een paar vissers me: Heb jij die Maori geholpen? Kun jij ons ook helpen? Ik heb deze vijf vissers geholpen om hun mooie tonijn niet te verkopen aan de conservenfabriek in Albany voor 60 cent per kilo. Wij stuurden die vis naar Japan voor 15 dollar per kilo, om sushi van te maken. Daarna kwamen boeren met mij praten: Je hebt hen geholpen. Kun je ons ook helpen? Binnen een jaar had ik wel 27 projecten, en de overheid kwam naar me toe, en zei: Hoe doe je dat? Ik zei: Ik doe iets heel, heel, heel moeilijks.
Il est venu me voir et m'a dit, « Merci pour avoir commencé Movember. » Et j'ai dit, « Merci de faire Movember. » Je l'ai regardé et je lui ai dit, « Je suis plutôt sûr que vous ne pouvez pas vous faire pousser une moustache. » (Rires) Et je lui ai demandé, « Quelle est votre histoire Movember ? » Il m'a répondu, « J'ai fait pousser la pire moustache qui soit. » (Rires) « Mais je suis rentré chez moi pour le diner de Thanksgiving et assez rapidement la conversation autour de la table a viré sur ce qui était en train de se passer. » (Rires) « Nous avons parlé -- Je leur ai parlé de Movember, et ensuite, mon père s'est approché, et à 26 ans pour la première fois, j'ai eu une conversation avec mon père sur la santé masculine. J'ai eu une conve
...[+++]rsation avec mon père sur le cancer de la prostate et j'ai appris que mon grand-père avait eu le cancer de la prostate et j'ai pu partager avec mon père qu'il avait deux fois plus de possibilités d'attraper la maladie, il ne le savais pas, et il n'avait pas passé de test de dépistage. » Alors, cet homme passera maintenant un test de dépistage.
Hij zei: Bedankt dat je met Movember bent begonnen. Ik zei: Bedankt dat je Movember doet. Ik keek hem aan, zo van: Jij kan vast geen snor laten staan. (Gelach) Ik zei: Wat is jouw Movemberverhaal? Hij zei: Ik liet de slechtste snor ooit staan. (Gelach) Maar ik ging naar huis voor Thanksgiving en het gesprek aan tafel ging al snel over wat er verdorie aan de hand was. (Gelach) Ik praatte met hen over Movember. Daarna kwam mijn papa op me af, en op mijn 26ste had ik voor de allereerste keer een gesprek met mijn papa over de gezondheid van mannen. Het ging over prostaatkanker. Ik vernam dat mijn grootvader prostaatkanker had en ik kon met papa delen dat hij twee keer zoveel kans had op die ziekte, wat hij niet wist, en hij was niet gescreend.
...[+++]Die man laat zich nu screenen op prostaatkanker. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
venu en fait pour fuir mon bureau ->
Date index: 2022-01-03