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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «une situation plutôt stressante » (Français → Néerlandais) :
Donc ceci est une situation plutôt stressante.
Dit is dus een nogal geladen situatie.
C'est plutôt stressant d'écrire à la machine, alors si vous tapez sur ce clavier, vous pouvez, genre, équilibrer.
Typen kan nogal eenzijdig zijn, dus als je hierop typt, kan je het uitbalanceren.
Avant de plonger dans la prochaine situation évaluative stressante, pendant deux minutes, essayez de faire ça, dans l'ascenseur, dans la salle de bains, à votre bureau, derrière des portes closes.
Voordat je naar de volgende stressvolle evaluatie gaat, doe je twee minuten dit: in de lift, in de toiletten, aan je bureau achter gesloten deuren.
Il n'y a probablement pas de situation plus stressante que lorsque vous êtes confronté à une prise de décision médicale.
Er is wellicht geen stressvollere situatie dan wanneer je voor een medische beslissing staat.
en école. Tout le monde porte des jeans, tout le monde est pareil. Et cependant ce n'est pas le cas. Il y a donc un esprit d'égalité, combiné avec de profondes inégalités. Ce qui nous amène à une situation très stressante. Il est aussi improbable aujourd'hui de devenir riche et célèbre comme Bill Gates, qu'il était improbable au 17ème siècle d'accéder aux rangs de l'aristocratie Française.
in een school. Iedereen draagt jeans, iedereen is hetzelfde. Maar toch ook weer niet. Naast het gevoel van gelijkheid bestaan dus ook enorme verschillen. En dat levert een zeer gespannen situatie op. Tegenwoordig is het net zo onwaarschijnlijk om even rijk en beroemd te worden als Bill Gates, als het in de 17e eeuw was om toe te treden tot de Franse adel.
Mais je pense nous avons plus de risques de ne pas comprendre clairement la situation, plutôt que de la comprendre si clairement que nous ne pourrions plus nous résoudre à utiliser l'armée contre les terroristes.
Maar de kans is veel groter dat we veiligheidshalve onvoldoende begrip tonen voor de situatie, dan dat we zoveel begrip hebben dat we het niet over ons hart krijgen om het leger de terroristen te laten doodschieten.
Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerions pas v
oir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fon
ctionne, fait d'une situation douloureuse, embarr ...[+++]assante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke,
gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige
situatie ...[+++]waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Cependant, la clé dans tout ça, le fil rouge, est le changement d'état d'esprit, s'éloigner d'une situation dans laquelle nous nous poussons vers un futur sombre, où nous choisissons plutôt un futur [inaudible], et nous disons, Quel est le terrain de jeu sur la planète ?
De sleutel hier naartoe, de rode draad, is de verschuiving in het denken, af te stappen van een situatie waarin we gewoon zijn onszelf naar een donkere toekomst te duwen, waar we [in plaats onduidelijk] onze toekomst, te zeggen: Wat is het speelveld op de planeet?
(Rires) Au-delà de l'aspect équivoque de cette remarque, il y avait quelque chose de vraiment profond. Ils disaient qu'ils préféraient la version automat
isée de leur cousin plutôt que leur cousin. Au début, ça n'est pas très intuitif, mais en se plaçant de leur point de vue, ça a beaucoup de sens.
Ils sont dans cette situation où ils peuvent désormais arrêter et faire répéter leur cousin, sans avoir l'impression de me faire perdre mon temps. S'ils doivent revoir quelque chose qu'ils auraient dû apprendre deux semaines plus tôt, ou peu
...[+++]t-être deux ans plus tôt, ils ne n'ont pas à être gênés pour demander à leur cousin. Ils peuvent juste regarder ces vidéos. S'ils s'ennuient, ils avancent. Ils peuvent les regarder à leur propre rythme, quand ils veulent. Et sans doute, l'aspect le moins apprécié de cela est le fait que la toute première fois, la toute première fois que vous essayez de comprendre un nouveau concept, ce dont vous n'avez pas besoin, c'est d'une autre personne vous disant : « Tu comprends ça ? » C'est ce qui se passait entre moi et mes cousins avant. Maintenant, ils peuvent simplement le faire dans l'intimité de leur propre chambre.
(Gelach) Als je eenmaal over de dubbelzinnigheid heen bent, zit daar iets heel wezenlijks in. Ze zeiden dat ze liever de geautomatiseerde versie van hun neef hadden dan hun neef zelf. Eerst lijkt het tegenstrijdig, maar als je er echt goed over nadenkt vanuit hun standpunt, dan zit er wel iets i
n. In deze situatie kunnen ze hun neef stopzetten en herhalen, zonder dat ze het gevoel hebben dat ze mijn tijd verdoen. Als ze iets willen nakijken dat ze een paar weken eerder hadden moeten leren, of misschien een paar jaar geleden, dan hoeven ze het niet beschaamd aan hun neef te vragen. Ze kunnen gewoon de video's bekijken
...[+++]. Als ze zich vervelen kunnen ze verdergaan. Ze kunnen kijken op het tijdstip van hun keuze, in hun eigen tempo. Wat waarschijnlijk het minst begrepen aspect hiervan is, is deze notie: de allereerste keer, de allereerste keer dat je probeert om je hersenen vat te doen krijgen op een nieuw concept, dan is het allerlaatste wat je nodig hebt, een andere mens die zegt: Snap je dit? Zo liep de interactie met mijn neefjes voordien. Nu kunnen ze het gewoon doen in de intimiteit van hun eigen kamer.Il y a eu pas mal de coups de feu, pas mal de discussions philosophiques avec les membres du gang. Au matin, le chef du gang est arrivé. Il a considéré Sudhir, est arrivé à la conclusion qu’il n’était pas une menace et ils l’ont laissé partir. Sudhir rentre chez lui. Il prend
une douche, fait la sieste. Vous et moi, sans doute, face à cette situation, nous nous serions d
it bon, je vais plutôt écrire mon mémoire sur les Grateful Dea
...[+++]d. Je les ai suivis pendant ces trois derniers mois. (Rires) Sudhir, lui, y est retourné directement, s’est rendu dans les logements sociaux. Est monté à l’étage, le second étage, et a dit : « Salut les gars. J’ai passé un très bon moment à traîner avec vous, cette nuit. Je me demande si je pourrais recommencer ce soir. » Et voilà comment a commencé ce qui est devenu une belle relation qui a fait de Sudhir un résident non permanent du logement social pendant dix ans, à traîner dans des planques à crack, aller en prison avec les membres du gang, avoir les vitres de sa voiture explosées à coup d’armes à feu, avoir des descentes de police dans son appartement avec confiscation de ses disques durs... À peu près tout ce qu’on peut imaginer. Au final, l’histoire s’est bien terminée pour Sudhir, qui est devenu un des sociologues les plus respectés du pays. Et surtout pour moi, qui, assis à mon bureau avec ma feuille Excel ouverte, attendais que Sudhir vienne et me livre les dernières données obtenues du gang. Sans doute une des relations entre co-auteurs des plus inégales... (Rires) ... mais je suis heureux d’en avoir été le bénéficiaire.
Er werd veel geschoten, en hij hield veel filosofische discussies met de bendeleden. Tegen de ochtend kwam de bendeleider langs. Hij keek naar Sudhir, besloot dat hij geen gevaar was, en ze lieten hem naar huis gaan. Dus Sudhir ging naar huis, nam een douche, deed een dutje. En jij e
n ik zouden in zo'n situatie waarschijnlijk denken, ik denk dat ik mijn thesis maar over The Grateful Dead ga schrijven. Ik ben ze de afgelopen drie maanden achterna gereisd. (Zaal lacht) Maar Sudhir ging terug naar het woonproject, ging naar de tweede verdieping en zei: Hey jongens, ik heb het gister zo met jullie naar mijn zin gehad dat ik mij afvroeg of we
...[+++] dat vannacht nog een keer konden overdoen. En dat was het begin van, naar wat bleek, een mooie vriendschap waarbij Sudhir tien jaar lang zo nu en dan in het woonproject woonde: hij verbleef vaak in crackhuizen, ging naar de gevangenis met de bendeleden, de ramen van zijn auto werden kapot geschoten, de politie brak in in zijn appartement en stal zijn computerschijven, noem maar op. Uiteindelijk had het verhaal een goed einde voor Sudhir, die één van de meest gerespecteerde sociologen van het land werd. En vooral voor mij, zittende in mijn kantoor met Excelspreadsheets geopend, wachtende op Sudhir die mij de laatste data kwam brengen die hij van de bende had gekregen. Het was één van de meest ongelijke co-schrijverschappen ooit (Zaal lacht) maar ik was blij dat ik er de vruchten van kon plukken. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
une situation plutôt stressante ->
Date index: 2024-09-24