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Vertaling van "tout ça nous changeons encore " (Frans → Nederlands) :
Et lorsqu'ils sont vraiment heureux de trouver tout ça nous changeons encore de stratégie.
Als ze er echt blij mee zijn, gaan we ze nog een beetje meer jennen.
Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous
avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la s
œur d'Abu ...[+++]Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En
...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Même si nous pouvions mesurer ce que chaque cellule fait à tout moment, nous aurions encore à comprendre la signification des tracés d'activité enregistrés, et c'est si difficile, il y a des chances que nous comprenions ces tracés juste aussi peu que les cerveaux qui les produisent.
Zelfs al konden we meten wat elke cel doet op elk moment, dan zouden we nog wijs moeten worden uit alle opgenomen activiteitspatronen, en dat is zo moeilijk, dat de kans groot is dat we de patronen evenmin begrijpen als de hersenen die ze produceren.
Et une fois que nous avons fait tout ça, nous essayons encore de garder une longueur d'avance sur les bactéries.
En dan, na dat alles, proberen we een voorsprong op de bacteriën te behouden.
Donc quand vous parlez d'apprentissage à
rythme individuel, tout le monde comprend -- en termes d'éducation, d'apprentissage différencié -- mais c'est plutôt impressionnant de voir ça survenir dans une salle de classe. Parce qu'à chaque fois qu'on a fait cela,
dans chaque classe, encore et encore, si vous y passez cinq jours, il y a un groupe d'enfants qui prend vite la tête et il y a un groupe d'enfants un peu plus lent. Et dans un modèle traditionnel, si vous faites une évaluation à un instant donné, vous diriez : « Voici les enfant
...[+++]s doués, voici les enfants lents. Peut-être devraient-ils être suivis différemment. Peut-être devrions-nous les mettre dans des classes séparées. » Mais quand vous laissez chaque élève travailler à son propre rythme -- et nous l'avons vu maintes et maintes fois -- vous voyez que les étudiants qui ont mis un peu plus de temps sur un concept ou un autre, une fois ce concept acquis, font directement la course en tête. Donc les mêmes enfants que vous pensiez êtres lents six semaines plus tôt, vous penseriez qu'ils sont désormais doués. Et nous le voyons sans arrêt, encore et encore. Cela vous fait vraiment songer que toutes les distinctions dont peut-être beaucoup d'entre nous ont profité n'étaient en fait que dues à une coïncidence temporelle.
Als je praat over leren op je eigen tempo, dan is dat zinvol voor iedereen -- in onderwijsjargon: gedifferentieerd leren -- maar het is nogal gek als je het in een klas ziet. Elke keer als we dit deden, in elke klas waarin we het deden, telkens opnieuw, zie je dat na vijf dagen een groep kinderen pijlsnel vooruitgaan en een groep kinderen een beetje trager zijn. Als je in een traditioneel model een momentopname zou maken, zou je zeggen: Dat zijn de getalenteerde kinderen. Dat zijn de trage kinderen. Misschien moeten we ze anders opvolgen. Misschien moeten we ze in afzonderlijke klassen stoppen. Maar als je elke leerling op zijn eigen tempo laat werken -- we zien dat keer op keer -- dan zie je leerlingen die wat meer tijd besteedden
aan het e ...[+++]ne of het andere concept, maar als ze dat doorhebben, gaan ze pijlsnel vooruit. Dezelfde kinderen waarvan je 6 weken geleden dacht dat ze traag waren, zou je nu als begaafd beschouwen. We zien dat keer op keer. Het doet je echt bedenken hoezeer alle etiketten waarvan velen van ons hebben geprofiteerd, eigenlijk gewoon aan een toevallige momentopname te danken waren.Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont
humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et
...[+++]puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn do
nker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Bon, je me disperse, là. NM : Non, je veux que tu leur parles de Leahy. DL : Eh bien quoi, Leahy ? (Rires) NM : Dis leur ce que... DL : Elle veut
que je parle de ... Nous avons un groupe qui s'appelle Leahy. Il y a 11 frères et sœurs. Nous, euh... Qu'est ce que pourrais leur dire ? (Rires) Nous avons ouvert - NM : Pas un cabinet médical. DL : Pas un cabinet médical, oh non. Nous
avons eu une grande chance. Nous avons fait la première partie de Shania Twain pendant deux ans, lors de sa tournée internationale. C'était génial pour nous,
...[+++]et maintenant, toutes mes sœurs se sont arrêtées pour avoir des bébés, et les garçons se marient tous, alors nous restons près de chez nous pour, je suppose, encore deux semaines. Qu'est-ce que je peux dire ? Je ne sais pas quoi dire, Natalie. Nous, euh ... (Rires) (Rires) NM : C'est ça, le mariage ? (Applaudissements) J'aime ça. (Applaudissements) (Rires) DL : Ah oui, ok, dans ma famille il y avait sept filles, quatre garçons, il y avait deux violons et un piano, et bien sûr nous nous battions tous pour jouer des instruments, alors papa et maman ont établi une règle selon laquelle on ne pouvait pas pour jouer quelqu'un d'un instrument. On devait attendre qu'il ait fini, alors bien sûr, ce qu'on faisait, c'est qu'on se mettait au piano, et et on ne le quittait même pas pour manger, parce qu'on ne voulait pas céder sa place à un frère ou une sœur, et ils attendaient encore et encore, et arrivait minuit, et vous étiez encore là au piano, mais c'était leur façon de nous amener à pratiquer.
Hoe dan ook, ik blijf maar doorbabbelen. NM: Nee, Ik wil dat je hen vertelt over Leahy. DL: Wat is er met Leahy? (Gelach) NM: Vertel ze gewoon wat -- DL: Ze wil dat ik vertel over -- We hadden een band genaamd Leahy. We waren met 11 broers en zussen. We, eh -- Wat zal ik ze vertellen (Gelach) We begonnen -- NM: Geen operaties. DL: Geen operaties, oh ja. We kregen een geweldige kans. We speelden twee jaar lang in het voorprogramma van Shania Twain. Die internationale tournee was erg belangrijk voor ons. Al mijn zussen krijge
n nu kinderen en de jongens gaan allemaal trouwen, dus we blijven dicht bij huis, denk ik, voor ee
n aantal w ...[+++]eken. Wat moet ik zeggen? Ik weet niet wat ik moet zeggen, Natalie. Wij, eh...(Gelach) (Gelach) NM: Is dit waar het huwelijk over gaat? (Applaus) Ik vind het leuk. (Applaus) (Gelach) DL: Oh ja, oke, in mijn familie hadden we zeven meisjes, vier jongens, we hadden twee violen en één piano, en natuurlijk ruzieden we allemaal over wie er op de instrumenten mocht spelen, dus pa en ma hadden de regel geïntroduceerd dat we niemand het instrument af mochten pakken. Je moest wachten totdat ze klaar waren. Wat deden we dus? We gingen achter de piano zitten en je ging er niet eens af om te eten omdat je je plekje niet op wilde geven aan je broer of zus. Zij moesten wachten en wachten. Om middernacht zat je nog steeds achter de piano, maar het was hun manier om ons aan het oefenen te krijgen.Ce n'est qu'à notre époque que la course est devenue associée à la peur et à la douleur. Géronimo disait que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo n
e disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une semaine ou je dois faire des exercices différents. Je n'ai pas fait de yoga. Je n
e suis pas prêt. De tout ...[+++] temps, les humains ont couru encore et encore. Nous sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos ancêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-
Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon bestond uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan een vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem de
ze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend.
...[+++]We zijn nu hier. We hebben onze digitale technologie. Al onze wetenschap stamt uit het feit dat onze voorvaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voeten en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien.Comment devrions nous inscrire l'intention sur tous les objets que nous créons, sur toutes les circonstances que nous créons, sur tous les lieux que nous changeons ?
Hoe zullen wij 'bedoeling' leggen in alle objecten en omstandigheden die we creëren, in alle plaatsen die we veranderen?
Et je vais vous raconter une histoire, qui est très embarrassante pour moi, mais que je trouve importante. J'ai fait une allocution à Facebook il n'y a pas longtemps devant une centaine d'employés. Et deux heures plus tard, il y avait cette jeune femme qui travaille là assise devant mon petit bureau, et elle voulait me parler. J'ai dit d'accord, et e
lle s'est assise et nous avons parlé. Et elle a dit, J'ai appris quelque chose aujourd'hui. J'ai appris que je dois gardé la main levée. j'ai dit, Que voulez-vous dire? elle a dit, Et bien, vous faites cette allocution, et vous dites que
vous allez prendre ...[+++]encore deux questions. Et je levais la main comme beaucoup d'autre gens, et vous avez pris deux questions de plus. Et j'ai baissé la main, et j'ai remarqué que toutes les femmes baissaient la main. Et puis vous avez pris encore deux questions, seulement celles des hommes. Et j'ai pensé en moi-même, ho, si c'est moi -- qui ça intéresse, évidemment -- qui fais cette allocution -- pendant cette allocution, je ne suis même pas capable de remarquer que les mains des hommes sont encore levées, et que les mains des femmes sont encore levées, que valons-nous comme directeurs de nos compagnies et de nos organismes quand il s'agit de voir que les hommes recherchent les opportunités plus que les femmes ne le font? Nous devons faire que les femmes s'asseyent à la table. (Applaudissements) Message numéro deux : faites de votre partenaire un vrai partenaire. J'ai acquis la conviction que nous avons plus progressé dans le monde du travail que nous ne l'avons fait dans nos foyers. Les données le montrent très clairement.
Zodadelijk vertel ik een verhaal dat erg gênant is voor mijzelf, maar ik vind het belangrijk. Niet zo lang geleden gaf ik een toespraak bij Facebook voor ongeveer 100 medewerkers. Een paar uur later was er een jonge vrouw die er werkt, ze zit voor mijn bureautje en wil met me praten. Ik zeg OK, ze gaat zitten, we praten. Ze zei: Ik heb vandaag iets geleerd. Ik heb geleerd dat
ik mijn hand omhoog moet houden. Ik zei: Wat bedoel je? Ze zei: Wel, je gaf een toespraak en je zei dat je nog twee vragen zou beantwoorden. Ik had net als vele mensen mijn hand opgestoken, en je behandelde 2 vragen. Ik liet mijn hand zakken, en ik zag alle vrouwen
...[+++]hetzelfde doen, en toen beantwoordde je nog meer vragen, alleen van mannen. Ik bedacht voor mezelf: wow, als ik het ben -- die dit belangrijk vind -- die deze toespraak geef -- en ik merk tijdens de toespraak niet eens dat de handen van de mannen nog opgestoken zijn, dat de handen van de vrouwen nog opgestoken zijn, hoe goed zijn we dan als leiders van ons bedrijf en onze organisatie in opmerken dat de mannen meer opportuniteiten nastreven dan vrouwen? We moeten vrouwen een plaats aan de tafel laten innemen. (Applaus) Boodschap nummer twee: maak van je partner een echte partner. Ik ben ervan overtuigd dat we meer vooruit zijn gegaan op de arbeidsmarkt dan thuis. De data tonen dit zeer duidelijk. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
tout ça nous changeons encore ->
Date index: 2021-06-08