Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Opmerking: sommige video’s zijn vertaald door freelancers die niet altijd professionele vertalers zijn; vertaalfouten zijn bijgevolg niet uit te sluiten. Deze teksten kunnen echter van pas komen, bijvoorbeeld om spreektalige uitdrukkingen te vinden.
U kunt deze boeiende video's ook direct bekijken met de ondertiteling in een taal naar keuze!
Vertaling van "tout ce dont nous avons besoin est quelques heures de discours de notre " (Frans → Nederlands) :
Tout ce dont nous avons besoin est quelques heures de discours de notre locuteur de substitution, et aussi peu qu'une voyelle de notre locuteur cible, pour créer une identité vocale unique.
Het enige dat we nodig hebben, zijn een paar uren spraak van onze surrogaatspreker, en maar een klinker van onze doelspreker om een unieke stemidentiteit te creëren.
Russell Foster est un neuroscientifique circadien : il étude les cycles de sommeil du cerveau. Et il s'interr
oge : Qu'est-ce que nous savons du sommeil? Pas grand chose, en fin de compte, pour quelque chose qui prend un tiers de nos vies. Dans cette conférence, Foster partage trois théories populaires expliquant pourquoi
nous dormons, pourfend quelques mythes à propos du nombre d'heures de sommeil ...[+++]dont nous avons besoin à différents âges — et laisse entrevoir des utilisations nouvelles du sommeil comme un prédicteur de la santé mentale.
Russell Foster is een circadiane neurowetenschapper: Hij bestudeert de slaapcyclus van de hersenen. En hij vraagt: Wat weten we over slapen? Niet veel, zo blijkt, voor iets wat we doen met een derde van ons leven. In deze talk deelt Foster drie populaire theorieën mee over waarom we slapen, ontkracht enkele mythes over hoeveel slaap we nodig hebben op verschillende leeftijden - en zinspeelt op een aantal gedurfde nieuwe vormen van gebruik van de slaap als een voorspeller van de geestelijke gezondheid.
Comment les villes peuvent-elles contribuer à sauver l'avenir? Alex Steffen montre des projets verts sympathiques qui reposent sur les quartiers et qui étendent notre accès à ce que nous voulons et ce dont nous avons besoin — tout en réduisant le temps que nous passons en voiture.
Hoe kunnen steden helpen de toekomst te redden? Alex Steffen toont enkele aansprekende, buurt-georiënteerde groene projecten die onze toegang kunnen vergroten tot de dingen die we willen en nodig hebben — terwijl ze de tijd die we in auto's doorbrengen verminderen.
D'ici quelques années, nous allons produire toute l'énergie dont nous avons besoin.
Over enkele jaren produceren we zelf alle energie die we nodig hebben.
Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fo
ndamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre? Et la
issez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humai
...[+++]ns dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is:
Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als i
k zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn r
...[+++]ijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen. p
our d’autres personnes, parce que tant que nous pensons au leadership comme
quelque chose de plus grand que nous, tant
que nous pensons au leadership comme quelque chose qui nous surpasse, tant
que nous le voyons comme quelque chose qui change le monde, nous trouvons une excuse pour ne pas nous l’attendre chaque jour de nous-même et des autres. Marianne
Williamson ...[+++] a dit, « Notre plus grande peur n’est pas de ne pas être à la hauteur. Notre plus grande peur est d’être puissant outre mesure. C’est notre lumière, non pas notre obscurité, qui nous fait peur. » Mon appel à l’action aujourd’hui est que nous avons besoin d'oublier tout cela. Nous devons surmonter la peur d’être incroyablement puissant dans la vie des autres. Nous devons la surmonter pour pouvoir avancer, et nos petits frères et nos petites sœurs, et un jour nos enfants -- ou nos enfants maintenant – peuvent regarder et commencer à valoriser l’impact que nous pouvons avoir sur la vie des uns sur les autres plus que l’argent, le pouvoir, les titres et l’influence.
Zolang we van leiderschap iets 'groter dan onszelf' maken, iets dat ons overstijgt, iets dat de wereld verandert, geven we onszelf een excuus om het niet elke dag te verwachten, van onszelf en van anderen. Marianne Williamson zei: Onze grootste angst is niet dat we ongeschikt zijn, maar dat we al te machtig zijn. Het is ons licht, niet onze duisternis, die ons beangstigt. Mijn oproep tot actie vandaag is dat we dat moeten overwinnen. We moeten onze vrees overwinnen voor de impact die we op e
lkaars leven kunnen hebben. We moeten hem overwinnen en overstijgen, en onze broertjes en zusjes, en later onze kinderen -- onze kinderen vandaag --
...[+++]kunnen waardering krijgen voor de impact die we op elkaars leven hebben, meer dan voor geld, macht, titels en invloed.C’est les femelles, je pense, qui pondent les œufs. Et ensuite les mâles les fertilisent. Et ensuite ils deviennent des têtards et des grenouilles. » Et elle dit, « Quoi ? Il y a que les femelles qui ont des œufs ? » Et je lui dis, «Bien sûr. » Et elle enchaine « Qu’est ce que fertiliser
? » Je lui dis donc quelque chose du genre, « C’est cet
ingrédient en plus dont on a besoin pour créer une nouvelle grenouille à partir de maman et papa grenouille » Et
elle me dit, « Oh, est-ce ...[+++] que c’est valable également pour les humains ? » Et j’ai pensé, « ça y est, nous y voilà. » Je ne pensais pas que ça arriverait si rapidement, à huit ans. J’essayais de me rappeler tous les manuels, Et tout ce dont je me souvenais était, « Réponds uniquement à la question que l’on te pose. Ne donne pas d’autres informations. » J’ai donc dit « Oui » Et elle me dit, « Où, est-ce que les femmes pondent leurs œufs ? » Et je lui réponds, « Et bien, c’est bien que tu le demandes. On a évolué pour avoir notre propre étang.
Volgens mij leggen de vrouwtjes de eieren en daarna bevruchten de mannetjes ze. Zo worden het kikkervisjes en ki
kkers. Ze zei: Wat? Hebben alleen vrouwtjes eieren? Ja, zei ik. Waarop zij vraagt: Wat is bevruchten? Ik mompel: Oh, dat is een extra'tje dat nodig is om een nieuwe kikker te maken van moeder- en vader-kikker. Ze merkt op: Oh, dus dat gaat ook zo bij mensen? Ik besefte: Goed, daar gaan we. Ik verwachtte het niet zo snel, ze was acht. Ik probeerde me alle handboeken te herinneren en het enige dat ik nog wist: Antwoord enkel op de gestelde vraag. Geef niet méér informatie. Ik antwoordde dus: Ja. Zij: Waar ... euh waar leggen mens
...[+++]envrouwtjes, dan hun eieren? Ik zei: Tja, grappig dat je dat vraagt. We zijn zo geëvolueerd dat we onze eigen vijver hebben.Et j'ai d'abord visité la section business de la librairie à la recherche d'une solution business. Mais
j'avais vraiment l'esprit brouillé, et j'ai vite fini par me retrouver dans la partie épanouissement personnel. Et c'est là que j'ai redécouver
t la hiérarchie des besoins d'Abraham Maslow. J'
avais pris un cours de psychologie au collège, et étudié cet homme, Abraham Maslow, com
me beaucoup d'entre ...[+++]nous qui connaissent sa hiérarchie des besoins . Mais je suis resté assis là pendant quatre heures, l'après-midi entière, à lire Maslow, et j'ai identifié quelque chose qui a vrai pour la plupart des leaders. L'un des fait les plus simple dans le business est quelque chose que nous négligeons fréquemment. Et c'est que nous sommes tous humains. Et chacun de nous, peu importe notre rôle dans l'entreprise, avons en fait une hiérarchie des besoins au travail. Alors que je commencai à lire plus de Maslow, ce dont je me mis à me rendre compte, en fait Maslow, plus tard dans sa vie, voulait prendre cette hiérarchie pour l'individu et l'appliquer à la collectivité, aux organisations et plus précisément aux entreprises.
E
n eerst ging ik naar de business sectie van de boekhandel op zoek naar een zakelijke oplossing. Maar gezien mijn verwarde geest, zat ik vrij snel in de zelf-hulp afdeling. En daar maakte ik opnieuw kennis met Abraham Maslow's behoef
tenpiramide. Ik heb ooit 1 college psychologie gevolgd en leerde over deze man, Abraham Maslow, velen bekend door zijn hiërarchie van behoeften . Maar terwijl ik da
ar vier uur lang de hele middag, Maslow las, ...[+++] Realiseerde ik me iets wat waar is voor de meeste leiders. En een van de simpelste feiten in de zakenwereld is iets dat we vaak verwaarlozen. En dat is dat we allemaal mensen zijn. En elk van ons, ongeacht onze rol in de zakenwereld, heeft een hiërarchie van behoeften op de werkplek. Terwijl ik meer Maslow las, ging ik me realiseren dat in feite Maslow, later in zijn leven, deze hiërarchie voor het individu wilde toepassen op het collectief, op organisaties en specifiek op de zakenwereld.Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'i
njustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous
avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'ar
mée israelienne est toujours plus forte. Homme: ...[+++]Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk
zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit lev
...[+++]en zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abo
...[+++]rd, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk word
...[+++]t belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
tout ce dont nous avons besoin est quelques heures de discours de notre ->
Date index: 2021-07-19