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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «tout abandonner après » (Français → Néerlandais) :
La plus grande, à peu près comme ça, elle vient vers moi et me dit : « Chérie, il faut que je te pose une question. Tu y es pour
quelque chose dans tout ce 'Mange, prie, aime' dont on parle tant ? » J'ai répondu : « Oui. » Elle frappe son amie et dit : « Tu vois, je te l'avais dit, c'est elle. C'est elle qui a écrit ce livre adapté du film. » (Rires) Voilà qui je suis. Et croyez-moi, je suis très reconnaissante d'être cette personne, parce que tout ce « Mange, prie, aime » a été une vraie chance pour moi. Mais ça m'a aussi laissée dans une position délicate : avancer en tant qu'écrivain en essayant de comprendre comment j'allais pouvoir
...[+++]écrire un autre livre qui plairait autant, parce que je savais déjà que tous ces gens qui avaient adoré « Mange, prie, aime » auraient été incroyablement déçus par tout ce que j'aurais écrit après, parce que ça n'aurait pas été « Mange, prie, aime », et tous ceux qui avaient détesté « Mange, prie, aime » auraient été incroyablement déçus par tout ce que j'aurais écrit après parce que ça aurait prouvé que j'étais encore vivante. Je savais qu'il n'y avait pas moyen de gagner, et le savoir m'a fait sérieusement envisager pendant un certain temps de tout abandonner et déménager à la campagne pour élever des chiens. Mais si je l'avais fait, si j'avais abandonné l'écriture, j'aurais perdu ma très chère vocation. Je savais donc que la tâche était de trouver un moyen de stimuler l'inspiration pour écrire le livre suivant indépendamment des résultats négatifs inévitables. En d'autres termes, il fallait que je m'assure que ma créativité survive à son succès.
De langere van de twee, die tot hier komt, komt op me toe lopen en zegt: Schat, ik wil je wat vragen. Jij bent toch van 'Eten, bidden, beminnen' waar het de laatste tijd over gaat? Ik zeg:
Ja, dat ben ik. Ze stoot haar vriendin aan en zegt: Zie je wel, dat is die griet. Dat is het meisje dat dat boek schreef gebaseerd op die film. (Gelach) Dus dat ben ik. Geloof me, ik ben ontzettend dankbaar dat ik die persoon ben. Want dat 'Eten, bidden, beminnen'-ding was een grote verandering voor me. Maar het bracht me ook in een lastige positie, om verder te gaan als schrijfster, erachter proberen te komen of ik ooit weer een boek zou schrijven dat
...[+++] iemand mooi zou vinden. Want ik wist van tevoren dat al die mensen die dol waren op 'Eten, bidden, beminnen', erg teleurgesteld zouden zijn in mijn volgende boek. Het werd niet hetzelfde boek. Alle mensen die 'Eten, bidden, beminnen' haatten, zouden ook teleurgesteld zijn in mijn volgende boek, want het zou bewijzen dat ik nog steeds leefde. Ik wist dat ik op geen enkele manier zou winnen. Omdat ik dat wist, overwoog ik heel serieus om er maar mee te stoppen en te verhuizen naar het platteland om corgi's te fokken. Als ik het schrijven had opgegeven, had ik mijn geliefde roeping verloren. Ik moest een manier vinden om inspiratie te krijgen voor een volgend boek, ongeacht een onvermijdelijke negatieve uitkomst. Ik moest ervoor zorgen dat mijn creativiteit haar eigen succes overwon.Alors que j'étais sur le point de tout abandonner, après des années de souffrance, j'ai commencé à redécouvrir le vrai pouvoir de la musique.
Toen ik alles wilde opgeven, na jaren van lijden, herontdekte ik de ware kracht van muziek.
J'ai été photographe pendant de nombreuses années. En 1978, je travaillais pour le magazine Time, et on m'a donné une mission de trois jours pour photographier des enfants amérasiens - des enfants qui avaient été engendrés par les
GI américains dans toute l'Asie du Sud-Est, p
uis abandonnés. 40.000 enfants dans toute l'Asie. Je n'avais jamais entendu le mot amérasiens avant. J'ai passé quelques jours à photographier des enfants dans différents pays, et comme beaucoup de photographes et de nombreux journalistes, j'ai toujours espoir que, une fois mes photos
...[+++] publiées elles puissent effectivement avoir un effet sur une situation au lieu de simplement la documenter. Donc, j'étais tellement troublé par ce que j'ai vu, et j'ai été si malheureux de l'article qui a été publié après, que j'ai décidé de prendre six mois de congés. J'avais 28 ans. J'ai décidé de trouver six enfants de différents pays, et d'aller en fait vivre quelque temps avec ces enfants pour essayer de raconter leur histoire un peu mieux que je ne pensais l'avoir fait pour Time Magazine.
Ik ben vele jaren fotograaf geweest. In 1978 werkte ik voor het tijdschrift Time. Ik kreeg een driedaagse opdracht om Ameraziatische kinderen te fotograferen. Kinderen die verwekt waren door Am
erikaanse soldaten, overal in Zuidoost-Azië, en dan achtergelaten -- 40.000 kinderen door heel Azië. Ik had het woord 'Ameraziatisch' nog nooit gehoord. Ik fotografeerde enkele dagen kinderen in verschillende landen. Zoals vele fotografen en journalisten hoop ik altijd dat als mijn foto's gepubliceerd worden, ze daadwerkelijk invloed hebben op de situatie, in plaats van slechts te documenteren. Ik werd zo geraakt door wat ik zag, en ik was zo ontev
...[+++]reden met het artikel dat volgde, dat ik besloot om 6 maanden vrijaf te nemen. Ik was 28 jaar. Ik besloot om met 6 kinderen in verschillende landen wat tijd door te brengen om te proberen hun verhaal wat beter te vertellen dan ik dacht voor Time te hebben gedaan.Et ce qui est tellement frustrant, c'est que ce n'est pas un cas unique ;
ça se produit dans tout le monde en développement. 35 millions d'opérations sont tentées chaque année sans anesthésie sûre. Mon collègue, le docteur Paul Fenton, vivait cette réalité. Il était le responsable de l'anesthésiologie dans un hôpital au Malawi, un CHU. Il allait travailler tous les jours dans une salle d'opération comme celle-ci, et essayait d'administrer une anesthésie et d'enseigner à d'autres comment le faire en employant le même équipement qui devenait si peu fiable, et absolument pas sûr, d
ans son hôpital. Et ...[+++]après une énième opération, et vous pouvez imaginer, une tragédie vraiment indicible, il a dit simplement, « C'est bon, j'abandonne. Ça suffit. Il doit y avoir mieux que ça. » Alors il s'est rendu au bout du couloir jusqu'à l'endroit où on jetait toutes ces machines qui les avaient lâchés, je pense que c'est le terme scientifique exact, et il s'est mis à bricoler. Il a pris une pièce d'ici et une autre de là, et il a essayé de fabriquer une machine qui travaillerait dans la réalité à laquelle il était confronté.
Wat zo frustrerend is: dit is geen unieke gebeurtenis. In de ontwikkelingslanden gebeuren elk jaar 35 miljoen operaties zonder veilige anesthesie. Mijn collega, Dr Paul Fenton, maakte dat mee. Hij was hoofdanesthesioloog in een ziekenhuis in Malawi, een academisch ziekenhuis. Hij werkte elke dag in een operatiekamer als deze. Hij probeerde anesthesie te leveren, en anderen te leren dit te doen met diezelfde machine die in dit ziekenhuis zo onbetrouwbaar en, eerlijk gezegd, onveilig was. Na talloze operaties en zoals je je kan voorstellen, onuitsprekelijke tragedies, zei hij: Genoeg geweest.
Ik ben het zat. Er moet iets beters komen. Hij
...[+++]ging kijken tussen al die machines die er de brui aan hadden gegeven - ik denk dat dat de wetenschappelijke term is - en hij begon daar wat te knutselen. Hij verzamelde wat onderdelen en probeerde een machine te bedenken die zou werken in de realiteit waarmee hij werd geconfronteerd.Après avoir exploré ces bâtiments récemment abandonnés, j'avais l'impression que tout pouvait tomber en ruines très rapidement : votre maison, votre bureau, un centre commercial, une église ... toutes ces structures faites par l'homme, qui vous entourent.
Na het verkennen van pas verlaten gebouwen, voelde ik dat alles heel snel kan vergaan: je huis, je kantoor, een winkelcentrum, een kerk... alle door mensen gebouwde structuren om je heen.
B
ien, et après tout ça, qu'est-ce que je veux savoir en tant que capital-risqueur? Je veux savoir que vous êtes engagé. Que vous allez y être jusqu'au bout. Je veux que vous disiez, je veux que vous transmettiez l'impression que même si vous deviez en mourir, avec votre dernier souffle, vous allez vous accrocher avec les ongles pour vous en sortir. Vous allez sauver mon investissement et vous allez le faire fructifier. Donc je ne veux pas
de quelqu'un qui va abandonner et se sauver à la première occasion. Parce que des problèmes survi
...[+++]endront. Il n'y a jamais eu d'entreprise financée par capital-risque où des problèmes ne soient pas survenus. Je veux donc savoir que vous êtes engagé à être là jusqu'à la fin. Vous devez avoir une vision. Vous devez être en mesure de voir où cela vous mène. Je ne veux pas d'un autre produit moi-aussi . Je veux quelqu'un qui sait, qui peut changer le monde.
Oké, als dat er allemaal is, wat wil ik als durfkapitalist nog meer weten? Ik wil weten dat je ervoor gaat. Dat je er tot het eind zult zijn. Ik wil dat je zegt, of overbrengt, dat je zult sterven als dat nodig is, met je laatste adem -- met je nagels krassend terwijl ze je wegslepen. Je gaat mijn geld in leven houden en er méér geld van maken. Niet iemand die meteen de benen neemt. Want er gebeuren erge dingen. Er was nog nooit een gefinancierd bedrijf waar geen erge dingen gebeurden. Dus ik wil weten dat je er zult zijn tot
de laatste snik. Je moet visie hebben. Je moet kunnen zien waar dit heengaat. Ik wil niet nog een ik ook -product
...[+++]. Ik wil iemand die weet dat je de wereld kan veranderen.Je connais beaucoup de non-musulmans bien intentionnés qui ont entamé la lecture
du Coran, mais ont abandonné, déconcertés par son étrangeté. Pour l'historien Thomas Carlyle, Mahomet était l'un des plus grands héros du monde, mais cela ne l'empêcha pas d'appeler le Coran la lecture la plus pénible que je n'ai jamais entreprise, un méli-mélo épuisant et confus. (Rires) A mon avis, une partie du problème provient de notre idée que l'on peut lire le Coran comme nous avons l'habitude de lire un livre -- comme si l'on pouvait se pelo
tonner avec, par un après-midi pluvieux, ...[+++] un bol de popcorn sous la main, comme si Dieu -- et tout le Coran est dans la voix de Dieu parlant à Mahomet -- n'était qu'un auteur de plus sur la liste des best-sellers.
Ik ken vele welmenende niet-moslims die de Koran zijn beginnen lezen, maar die het opgaven, ontdaan door zijn anders-zijn. De historicus Thomas Carlyle beschouwde Mohammed als één van de grootste helden ter wereld, maar zelfs hij noemde de Koran de lasti
gste lectuur die ik ooit heb ondernomen, een vervelende, verwarde mengelmoes. (Gelach) Volgens mij is deel van het probleem dat we denken dat de Koran kan worden gelezen zoals we meestal een boek lezen -- alsof we er een regenachtige namiddag mee kunnen doorbrengen, met een kom popcorn binnen handbereik, alsof God -- en de Koran is de stem van God die tot Mohammed spreekt -- de eerste de
...[+++]beste bestsellerauteur was. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
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Date index: 2024-06-19