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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «toujours des livres » (Français → Néerlandais) :
Maintenant, laissez moi vous parler un peut de ce qui se passe dans le même temps, et c'est en cela que le SETI, je pense, est important. parce que il fait de l'exploration et ce n'est pas seulement de l'exploration, c'est de l'exploration compréhensible. Je dois vous avouer que je lis toujours des livres sur les explorateurs. Je trouve que l'exploration est très intéressante. Exploration polaire, vous savez, des gens comme Magellan, Amundsen, Shackleton, vous voyez Franklin ici en bas, Scott, tous ces gars. C'est vraiment chouette l'exploration.
Ik wil nog vertellen over iets dat ondertussen plaatsvindt: SETI is belangrijk want het is ontdekking en dat niet alleen: het is begrijpelijke ontdekking. Ik lees altijd boeken over ontdekkingsreizigers. Ik vind ontdekken erg interessant. Pool-ontdekkingsreizen, bijvoorbeeld, mensen zoals Magellaan, Amundsen, Shackleton, hier zie je ook Franklin, Scott, al die kerels. Ontdekkingen zijn erg vermakelijk.
Et le message, que je n'ai pas bien compris à l'époque, alors même que je l'ai livré, et que je comprends mieux maintenant est ceci : 'Je serai toujours, toujours, toujours là.
De boodschap die ik toen niet helemaal begreep, zelfs als ik ze overbracht en die ik nu beter begrijp, is deze: Ik zal er altijd, altijd, altijd zijn.
Je ne veux pas seulement d
ire que ça se passe toujours comme ça avec internet, je veux dire que c'est toujours comme ça avec les médias, point final. Il n'a pas fallu longtemps après la naissance de l'imprimerie commerciale avant que quelqu'un comprenne que les romans érotiques étaient une bonne idée. (Rires) Pas besoin d'une incitation écon
omique à vendre des livres avant que quelqu'un ne dise, « Hé, vous savez combien j'ai parié que les gens paieraie
...[+++]nt pour ça ? » (Rires) Il a fallu aux gens encore 150 ans pour penser à la revue scientifique, pas vrai ? (Rires) (Applaudissements) L'exploitation du Collège invisible de l'imprimerie pour créer la revue scientifique a été extrêmement important, mais ça n'a eu que des proportions modestes, ce n'est pas arrivé vite, alors si vous allez chercher où les changements se produisent, il faut regarder vers les marges. La loi est aussi liée à la dépendance.
Dat is onvermijdelijk, niet alleen met het internet, maar dat is onvermijdelijk met media. Punt. Niet lang na de opkomst van de commerciële drukpers bedacht iemand dat erotis
che romans een goed idee waren. (Gelach) Al snel nadat er een economische incentive ontstaat om boeken te verkopen, zegt iemand: Wedden dat mensen daarvoor zouden betalen? (Gelach) Mensen deden er nog eens 150 jaar over om zelfs maar te dénken aan een wetenschappelijk tijdschrift. (Gelach) (Applaus) Het feit dat het 'Onzichtbaar College' de drukpers gebruikte om het wetenschappelijke tijdschrift uit te vinden, was dus fenomenaal belangrijk, maar het was geen groots g
...[+++]ebeuren, het ging niet snel, en als je dus kijkt naar waar de verandering plaatsheeft, moet je naar de marges kijken. Het recht werkt ook met afhankelijkheden.Mon dernier livre traitait des circonstances du schisme entre shiites et sunnites, et pour l'écrire, j'avais étudié de près l'histoire islamique la plus ancienne. Je connaissais donc les événements auxquels le Coran se réfère constamment, son cadre de référence. C'est-à-dire que j'en savais assez pour savoir que je
serais une touriste dans le Coran -- une touriste avisée, et mê
me chevronnée, mais toujours une visiteuse, une juive a
...[+++]gnostique lisant le livre saint d'autrui. (Rires) J'ai donc lu lentement. (Rires) J'avais réservé trois semaines pour ce projet, et je crois que c'est ce que l'on appelle l'hubris. (Rires) Parce que j'ai fini par y passer trois mois.
Mijn laatste boek ging over het verhaal achter de scheiding tussen shiieten en soennieten, en daarvoor had ik de vroegste Islamitische geschiedenis grondig bestudeerd. Ik kende dus de feiten waar de Koran constant naar verwijst, zijn referentiekader. Dat wil zeggen dat ik genoeg wist om te weten dat ik een toerist zou zijn in de Koran -- een welingelichte, zelfs een ervaren toerist, maar nog steeds een outsider, een agnostische jood die het heil
ige boek van iemand anders las. (Gelach) Dus las ik traag. (Gelach) Ik had drie weken uitgetrokken voor dit project, en dat is volgens mij de betekenis van hubris. (Gelach) Want het werden drie ma
...[+++]anden.certaines sortes d'universités. Je ne veux pas dire qu'il ne faut pas y aller, mais tout le monde n'en a pas besoin, et tout le monde n'a pas besoin d'y aller maintenant. Peut-être qu'ils y iront plus tard, pas tout de suite. Et j'étais à San Francisco il y a un certain temps à une séance de dédicaces. Il y avait ce t
ype qui achetait un livre, la trentaine. Et je lui ai dit, Vous faites quoi? Et il a répondu, Je suis pompier. Et j'ai dit, Depuis combien de temps êtes-vo
us pompier? Il dit, Toujours, j'ai toujours été pompier. Et j'ai d
...[+++]it, Eh bien, quand avez vous choisi? Il a dit, Tout gamin , et ajouta, En fait, c'était un problème pour moi à l'école, parce qu'à l'école, tout le monde voulait être pompier. Il a dit, Mais je voulais être pompier. Et il a dit, Quand je suis arrivé en Terminale, mes profs ne m'ont pas pris au sérieux.
bepaalde soorten universiteiten. Ik zeg niet dat je niet naar de universiteit moet gaan, maar niet iedereen hoeft er heen te gaan. en niet iedereen hoeft er nu heen te gaan. Misschien gaan ze later, niet meteen. Ik was een tijd geleden in San Fransisco voor een sign
eersessie. Daar was deze jongen die een boek kocht, hij was een dertiger. En ik zei, Wat doe je voor werk? En hij zei, Ik ben brandweerman. En ik zei, Hoe lang ben je al brandweerman? Hij zei, Altijd, ik ben altijd al een brandweerman geweest. En ik zei, Wel, wanneer besloot je het te worden? Hij zei: Toen ik een kind was. Hij zei, Eigenlijk was het een probleem voor me op sch
...[+++]ool, omdat iedereen op school brandweerman wilde worden. Hij zei, Maar ik wilde écht brandweerman worden. En hij zei, Toen ik in het laatste schooljaar zat, namen mijn docenten het niet serieus.J'avais toujours pensé, en fait, j'avais écrit cela dans mon premier livre -- c'était un livre sur le jardinage -- que les pelouses étaient la nature sous la botte de la culture. Qu'elles étaient des paysages totalitaires. Et que lorsque nous les tondions nous supprimions cruellement les espèces et ne leur permettant jamais de faire des graines, de mourir, ou d'avoir de rapports sexuels.
Ik had altijd gedacht, en dat had ik ook in mijn eerste boek geschreven -- dat boek ging over tuinieren -- dat een gazon de natuur was onder de knoet van de cultuur. Dat het totalitaire landschappen waren. En dat we, door het te maaien, wrede onderdrukkers waren van de soort, die we geen zaad lieten schieten, of lieten sterven, of seks hebben.
Il n'y a pas d
e lumière naturelle dans cette caverne, les mu
rs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent a
...[+++]vec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen rake
n gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Et ils sont toujours aussi fiables et stables aujourd'hui qu'ils l'étaient il y a un millénaire, nous nourrissant, nous protégeant, et nous fournissa
nt les pages de nos livres. Les philosophes et les poètes, les personnes en quête de la Vérité, l'o
nt souvent cherchée dans les arbres. « Qu'est ce que l'arbre apprit de la Terre pour être à même de parler avec le ciel ? demanda Pablo Neruda. « L'arbre tombe toujours du côté où il penc
...[+++]he », dit un proverbe ancien. De la même façon que les arbres marquent nos paysages et sont les témoins de nos histoires, l'histoire des mots dessine le paysage de notre langue, faisant apparaitre les pluies et le soleil des générations, envoyant des racines et des branches au loin.
Ze zijn nog net zo betrouwbaar en standvastig als 1000 jaar geleden. Ze geven ons voedsel, onderdak Ze geven ons voedsel, onderdak en boeken. Filosofen en dichters, waarheidszoekers, zochten die vaak in bomen. 'Wat leerde de boom van de aarde, zodat hij met de hemel kon spreken?', vroeg Pablo Neruda. 'Een boom valt naar de kant waar hij leunt', zegt een oud spreekwoord. 'Een boom valt naar de kant waar hij leunt', zegt een oud spreekwoord. Zoals bomen ons landschap markeren en onze geschiedenis meemaken, Zoals bomen ons landschap markeren en onze geschiedenis meemaken, zo vormt het verhaal van een woord het landschap van de taal. Het ver
...[+++]zamelt generaties lang regen en zon en strekt zijn wortels en takken ver en wijd. Kevin Breel ne ressemblait pas à un enfant dépressif : capitaine d'équipe, toujours présent à toutes les fêtes, drôle et confiant. Il nous raconte pourtant l'histoire du jour où il s'est rendu compte qu'il allait devoir se battre contre la dépression. Il livre ici un plaidoyer contre la stigmatisation et les a priori qui entourent cette maladie du siècle.
Kevin Breel zag er niet uit als een depressieve jongen: teamaanvoerder, op elke party, grappig en vol zelfvertrouwen. Maar hij vertelt het verhaal van de avond dat hij besefte dat hij - om zijn eigen leven te redden - vier eenvoudige woorden moest zeggen.
Abed était encore loin de mon esprit, lorsque l'année dernière, je suis retourné en Israël pour écrire sur l´accident, et le livre que j'ai alors écrit, « Une Vie à Moitié » était presque terminé quand j'ai réalisé que je voulais toujours rencontré Abed, et j'ai finalement compris pourquoi : entendre cet homme dire trois mots : « Je suis désolé. » Les gens s'excusent pour moins que ça.
Toch was Abed niet in mijn gedachten toen ik vorig jaar terugkeerde naar Israel om over het ongeluk te schrijven. Het boek wat ik toen schreef was getiteld ‘Half-Life’. Het was bijna klaar toen ik erkende dat ik Abed toch wou ontmoeten. Ik begreep eindelijk waarom: ik wilde de man drie woorden horen zeggen: Het spijt me. Mensen bieden hun excuses aan voor minder.
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Date index: 2022-12-30