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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «suis alors retournée étudier mes deux premiers » (Français → Néerlandais) :
Je suis alors retournée étudier mes deux premiers actes, en essayant de voir qui j'étais alors, qui j'étais vraiment - pas celle que mes parents ou d'autres m'avaient dit être, ou traitée en tant que telle.
Dus ging ik terug en bestudeerde mijn eerste twee aktes om te zien wie ik destijds was, wie ik echt was -- niet wat mijn ouders of andere mensen me vertelden, of hoe ik behandeld werd.
Je me suis retrouvé à l'infirme
rie des étudiants, où ils ont fait des examens et m'ont tout de suite d
it : « problèmes de reins. » Avant que je ne m'en rende compte, je me suis
retrouvé embarqué dans six mois de tests, d'épreuves et d'angoisse, face à
six médecins, dans deux ...[+++] hôpitaux différents, pris dans un choc des titans de la médecine pour déterminer lequel d'entre eux avait raison sur ce qui n'allait pas chez moi. Un peu plus tard, me voilà assis dans une salle d'attente pour un examen aux ultra-sons, et les six médecins se présentent dans la pièce en même temps. Alors je me dis : « Ouh la ! les nouvelles ne sont pas bonnes. » Leur diagnostic était le suivant : « Vous avez deux maladies rares des reins qui vont finir par détruire vos reins ; vous avez des cellules de type cancéreux dans votre système immunitaire que nous devons commencer à traiter immédiatement, et vous ne serez jamais éligible à une greffe de rein, et il est peu probable que vous viviez plus de deux ou trois ans. » La gravité de ce diagnostic apocalyptique m'a immédiatement plombé le moral. Comme si je me préparais, en tant que patient, à mourir conformément à l'échéance qu'ils venaient de me donner. Jusqu'à ce que je rencontre dans une salle d'attente une patiente du nom de Verna, qui est devenue une amie qui m'est chère. Un jour elle m'a pris par le bras et m'a emmené à la bibliothèque de médecine pour faire quelques recherches sur ces diagnostics et ces maladies, et elle m'a dit : « Eric, les gens qui ont cette maladie sont normalement septuagénaires ou octogénaires. Ils ne savent rien de toi. Réveille-toi.
Ik kwam bij de studentengezondheidszorg terecht. Er werden wat testen gedaan en de conclusie was 'nierproblemen
'. Voor ik het wist moest ik 6 maanden lang testen, proeven en beproevingen ondergaan. 6 dokters, verspreid over 2 ziekenhuizen, waren in een medische titanenstrijd verwikkeld over de vraag wie er gelijk had over wat er mis was met mij. Een tijdje later zit ik in een wachtruimte voor een echo en al die 6 dokters komen tegelijk binnen. Dus ik denk: oh oh...slecht nieuws. Dit was hun diagnose: Je hebt 2 zeldzame nieraandoeningen, die op termijn je nieren zullen verwoesten. Je hebt kankerachtige cellen in je immuunsysteem, die dire
...[+++]ct behandeling nodig hebben. Je komt niet in aanmerking voor een niertransplantatie en je hebt niet meer dan 2 of 3 jaar te leven. Ik werd direct overdonderd door de ernst van deze noodlotsdiagnose. Ik werd direct overdonderd door de ernst van deze noodlotsdiagnose. Alsof ik me als patiënt moest voorbereiden om dood te gaan volgens het schema dat me zojuist was gegeven. Totdat ik in een wachtkamer Verna ontmoette, een patiënt die een goede vriendin werd. Op een dag sleepte ze me mee naar de medische bibliotheek en ging op zoek naar informatie over mijn diagnoses en ziektes. Ze zei: Eric, het zijn voornamelijk mensen boven de 70 die dit krijgen. Wat weten ze nu van jou. Word eens wakker.Et le gars m'a dit : Ce n'est pas possible. Cette grand-mère ne voudra même pas - vous savez, elle ne te laissera jamais rencontrer cette fille qu'elle élève. J'ai pris une traductr
ice avec moi, et je suis allé dans ce village trouver la grand-mère, je me suis assis avec elle. Et à mon grand étonnement, elle a accepté de me laisser photographier sa petite-fille. Et je p
ayais de ma poche , alors j'ai demandé à la traductrice si c'était d'accord pour que je reste pour la semaine. J'avais un sac de couchage. La famille avait une petite r
...[+++]emise à côté de la maison, alors j'ai dit: Pourrais-je dormir dans mon sac de couchage le soir? Et j'ai dit à la petite fille, dont le nom était Hyun Sook Lee, que si jamais je faisais quelque chose qui la gênait - elle ne parlait pas un mot d'anglais, même si elle avait l'air très américaine - elle pouvait simplement lever la main et dire: Stop. Et j'arrêterais de prendre des photos. Et puis ma traductrice est partie. J'étais donc là, je ne parlais pas un mot de coréen, et c'était la première nuit que je voyais Hyun Sook. Sa mère était encore en vie. Sa mère ne l'élevait pas, sa grand-mère l'élevait. Et ce qui m'a frappé immédiatement c'était combien ces deux personnes s'aimaient.
De man verzekerde me: Dat gaat je nooit lukken. De oma zal nooit
toelaten dat je dit meisje ook maar ziet. Ik nam een tolk mee en ging naar het dorp, vond de grootmoeder, ging bij haar zitten. Tot mijn verbijstering kreeg ik toestemming van haar om haar kleindochter te fotograferen. Ik betaalde dit zelf, dus ik vroeg aan de tolk of ik een week ter plekke mocht logeren. Ik had een slaapzak. De familie had een klein
schuurtje naast het huis, dus ik vroeg: Kan ik daar 's nachts in mijn slaapzak slapen? Ik vertelde het meisje, dat Hyun-So
...[+++]ek Lie heette, dat als ik haar ooit in verlegenheid bracht -- ze sprak geen woord Engels, hoewel ze er Amerikaans uitzag -- ze haar hand kon opsteken en zeggen: Stop . Dan zou ik stoppen met het nemen van foto's. Toen vertrok mijn tolk. Daar zat ik dan, ik sprak geen woord Koreaans. Dit is op de avond dat ik Hyun-Soek ontmoette. Haar moeder leefde nog. Haar moeder voedde haar niet op, dat deed haar oma. Wat me onmiddellijk opviel, was hoezeer deze twee mensen van elkaar hielden.(Rires) L'autre chose qui s'est produite -- et même à ce moment-là, j'ai dit : « Bon, c'est peut-être un bon ajout.
C'est bien pour les étudiants motivés. C'est peut-être aussi bien pour ceux qui sont sco
larisés chez eux. » Mais je ne pensais pas que ça deviendrait quelque chose qui s'infiltrerait en quelque sorte dans la salle de classe. Mais j'ai ensuite commencé à recevoir des lettres d'enseignants. Et les enseignants m'écrivaient : « Nous utilisons vos vidéos pour faire bouger la classe. Vous donnez les cours, donc maintenant nous
...[+++]... » et cela pourrait arriver dans toutes les classes d'Amérique aujourd'hui, « ... maintenant je donne vos cours comme devoirs à la maison. Et ce qu'étaient les devoirs à la maison, les étudiants les font maintenant dans la salle de classe. » Je veux m'arrêter là-dessus -- (Applaudissements) Je veux m'arrêter là-dessus un instant, parce qu'il y a deux ou trois choses intéressantes. Premièrement, quand ces enseignants font cela, il y a l'avantage évident -- l'avantage que maintenant leurs étudiants peuvent apprécier les vidéos de la même façon que mes cousins. Ils peuvent mettre en pause, reprendre à leur propre rythme, à leur convenance. Mais la chose la plus intéressante est -- et ça ne va pas de soi quand on parle de technologie dans les salles de classe -- en enlevant les cours à modèle unique de la classe et en laissant les élèves auto-réguler leurs cours à la maison, quand vous entrez alors dans la classe, en les laissant faire le travail, avec l'enseignant à proximité, en donnant aux enfants des moyens réels d'interagir entre eux, ces enseignants ont utilisé la technologie Ils ont pris une expérience fondamentalement déshumanisante -- pour humaniser la classe. 30 enfants avec leur index sur les lèvres, n'ayant pas le droit d'interagir entre eux. Un enseignant, peut importe sa qualité, doit donner ces cours à modèle unique à 30 élèves -- des visages vides, légèrement antagonistes -- c'est désormais une expérience humaine. Mainten ...
(Gela
ch) Er gebeurde nog iets. Op dit punt zei ik: Oké, misschien is het een goede aanvulling. Het is goed voor gemotiveerde leerlingen. Het is miss
chien goed voor het thuisonderwijs. Maar ik had niet gedacht dat het op een of andere manier zou doordringen tot in de klas. Maar toen begon ik brieven te krijgen van leerkrachten. De leerkrachten schreven: Wij gebruiken je video's om de klas 180 graden te draaien. Jij hebt de les gegeven, dus wat we nu doen is ... en dit zou morgen in elk klaslokaal in Amerika kunnen gebeuren - ... we gev
...[+++]en je les als huiswerk op. Wat vroeger huiswerk was, laat ik de leerlingen nu in de klas doen. Ik wil hier even pauzeren. (Applaus) Ik wil hier even pauzeren, omdat ik een paar interessante dingen zie. Een, wanneer deze leraren dat doen, is er het onmiskenbare voordeel - het voordeel dat hun leerlingen nu de video's kunnen gebruiken zoals mijn neefjes dat deden. Ze kunnen pauzeren, herhalen op hun eigen tempo, binnen hun eigen tijd. Wat nog interessanter is -- en dit gaat tegen de intuïtie in, als het over technologie in de klas gaat -- je stapt af van de eenheidsworst -les voor de klas en laat leerlingen op hun eigen tempo thuis les volgen. Dan ga je naar de klas, laat ze werken, laat de leerkracht rondlopen, laat de kinderen er met elkaar over praten. Zo hebben deze leerkrachten technologie gebruikt Ze namen een fundamenteel ontmenselijkende ervaring - om de klas menselijker te maken. 30 kinderen met hun vingers op de lippen, die niet met elkaar mochten praten. Een leerkracht, hoe goed hij ook is, moet een eenheidsworst -les geven aan 30 leerlingen -- uitdrukkingsloos gezicht, ietwat vijandig. Nu is het een menselijke ervaring. Nu is er echt onderlinge interactie. Zodra de Khan Academy -- Ik gaf mijn job op en we werden een echte organisatie. We zijn een organisatie zonder winstbejag. De vraag is, hoe brengen we dit naar een hoger niveau?Il est venu me voir et m'a dit, « Merci pour avoir commencé Movember. » Et j'ai dit, « Merci de faire Movember. » Je l'ai regardé et
je lui ai dit, « Je suis plutôt sûr que vous ne pouvez pas vous faire pousser une moustache. » (Rires) Et je lui ai demandé, « Quelle est votre histoire Movember ? » Il m'a répondu, « J'ai fait pousser la pire moustache qui soit. » (Rires) « Mais je suis rentré chez moi pour le diner de Thanksgiving et assez rapidement la conversation autour de la table a viré sur ce qui était en train de se passer. » (Rires) « Nous avons parlé -- Je leur ai parlé de Movember, et ensuite, mon père s'est approché,
et à 26 an ...[+++]s pour la première fois, j'ai eu une conversation avec mon père sur la santé masculine. J'ai eu une conversation avec mon père sur le cancer de la prostate et j'ai appris que mon grand-père avait eu le cancer de la prostate et j'ai pu partager avec mon père qu'il avait deux fois plus de possibilités d'attraper la maladie, il ne le savais pas, et il n'avait pas passé de test de dépistage. » Alors, cet homme passera maintenant un test de dépistage.
Hij zei: Bedankt dat je met Movember bent begonnen. Ik zei: Bedankt dat je Movember doet. Ik keek hem aan, zo van: Jij kan vast geen snor laten staan. (Gelach) Ik zei: Wat is jouw Movemberverhaal? Hij zei: Ik liet de slechtste snor ooit staan. (Gelach
) Maar ik ging naar huis voor Thanksgiving en het gesprek aan tafel ging al snel over wat er verdorie aan de hand was. (Gelach) Ik praatte met hen over Movember. Daarna kwam mijn papa op me af, en op mijn 26ste had ik voor de allereerste keer een gesprek met mijn papa over de gezondheid van mannen. Het ging over prostaatkanker. Ik vernam dat mijn grootvader prostaatkanker had en ik kon met p
...[+++]apa delen dat hij twee keer zoveel kans had op die ziekte, wat hij niet wist, en hij was niet gescreend. Die man laat zich nu screenen op prostaatkanker. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
suis alors retournée étudier mes deux premiers ->
Date index: 2022-11-10