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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «sommes-nous condamnés à vivre » (Français → Néerlandais) :
La question est, sommes-nous condamnés à vivre la seule vie dont nous disposons sous l'influence de la peur et du déni, ou bien pouvons-nous surmonter ce biais ?
Dus is de vraag: zijn we gedoemd om het ene leven dat we hebben zo te leiden dat het wordt gekenmerkt door angst en ontkenning, of kunnen we dit vooroordeel overwinnen?
Souhaitez-vous voir la destruction ? Souhaitez-vous des troupes étrangères sur vos terres ? » Le peuple a pensé en lui-même : « Peut-être que nous devrions vivre dans ce genre de situation autoritaire dans laquelle nous sommes, au lieu de vivre le second scénario. » C'était l'un des pires cauchemars que nous ayons vu.
Willen jullie vernietiging te zien? Willen jullie buitenlandse troepen zien in jullie land? En de mensen dachten: Misschien moeten we leven met dit soort autoritaire situatie waarin wij ons bevinden, in plaats van dat tweede scenario. Dat was een van de ergste nachtmerries.
Et de même, pour les survivants de la détresse et de l'adversité, souvenons nous que nousne sommes pas obligés de vivre nos vies déterminées pour toujours par les choses destructrices qui nous sont arrivées.
En evenzo voor hen die nood en tegenspoed overleefden, te bedenken dat onze levens niet bepaald hoeven worden door de schadelijke dingen die ons overkomen zijn.
Nous sommes si fiers de vivre ici, en Californie.
We zijn zo trots dat we hier in Californië wonen.
Nous ne sommes pas obligés de vivre dans un monde où 99 % des violeurs s'en sortent impunément.
We hoeven niet in een wereld te leven waar 99 procent van de verkrachters ermee weg komt.
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abo
...[+++]rd, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door
deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Et nous avons tellement développé nos économies que nous courons maintenant le danger réel de saper tout espoir -- en épuisant les ressources, en abattant les forêts humides, en déversant du pétrole dans le Golfe du Mexique, en modifiant le climat -- et la seule chose qui a réellement ralenti la montée implacable des émissions de gaz carbonique sur les deux ou trois dernières décennies c'est la récession. La récession, bien sûr, n'est pas une recette de bonheur
non plus comme nous sommes en train de le découvrir. Donc nous sommes pris dans une sorte de piège. C'est un dilemme, un dilemme autour de la croissance. No
us nous po ...[+++]uvons pas vivre avec elle ; nous ne pouvons pas vivre sans elle. Jeter le système ou détruire la planète. C'est un choix ardu. Ca n'a pas grand-chose d'un choix.
En we hebben onze economieën zover laten groeien dat we nu echt het gevaar lopen die hoop te ondermijnen - door het uitputten van onze voorraden, regenwouden te kappen, de Golf van Mexico met olie te vervuilen, het klimaat te veranderen - En het enige dat er echt in slaagde om de onstuitbare toename van koolstofuitstoot een beetje tegen te houden tijdens de laatste dertig jaar is de recessie. En recessie is natu
urlijk nu niet precies een recept voor hoop zoals we nu bezig zijn te ontdekken. We zitten dus vast in een soort val. Het is een dilemma, een dilemma van groei. We kunnen er niet mee leven maar ook niet er zonder. Dump het systeem
...[+++] of verniel de planeet. Een moeilijke keuze. Eigenlijk geen keuze.Mais l'une des raisons, c'est que cela indique un changement, un passage d'avant à après. C'est un moment précis. Et je veu
x soutenir que nous sommes en train de le vivre et que nous sommes exactement à ce moment-clef d'un changement dans la façon dont les idées sont créées, diffusées, et mises en pratique. Nous avons commencé avec l'idée de l'usine. L'idée que vous pouviez changer le monde entier si vous aviez une usine efficace à produire du changement. Puis nous sommes passés à l'idée de la télé. Ça disait que si vous aviez un haut-parleur assez puissant, si vous pouviez passer à la télé assez souvent, si vous pouviez acheter assez de
...[+++] pub, vous pouviez gagner.
Eén reden is dat het wijst op verandering, voor en na. Het is een moment in de tijd. Ik betoog dat we vandaag een moment beleven, middenin een sleutelmoment zitten van een wijziging in de manier waarop ideeën ontstaan, verspreid en toegepast worden. We zijn begonnen met de fabrieksidee. Dat je de hele wereld kon veranderen als je een efficiënte fabriek had die verandering erdoor kon duwen. Toen gingen we over naar de tv-idee. Die zei dat als je mondstuk groot genoeg was, als je vaak genoeg op tv kwam, genoeg advertenties kon kopen, je kon winnen.
Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le parad
is dans ma tête que ...[+++]vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder
is. Vrouw: ...[+++] En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Quels sont vos rêves? Mieux encore, quels sont vos rêves brisés ? Dan Pallotta rêve d'une époque où nous serons aussi excités, curieux et scientifiques à propos du développement de notre h
umanité que nous le sommes aujourd'hui du développement de notre technologie. « Ce que nous craignons le plus est que l'opportunité d'accomplir notre vrai potentiel nous soit refusée », dit P
allotta. « Imaginez vivre dans un monde où nous reconnaîtrions simplement cette peur profonde et existentielle de l'autre — et où nous aimerions profondément cet
...[+++] autre justement parce que nous saurions qu'être humain, c'est vivre avec cette peur. »
Wat zijn jouw dromen? Of beter: welke van je dromen zijn stuk? Dan Pallotta droomt van een tijd waarin we net zo opgewonden, nieuwsgierig en wetenschappelijk zijn over de ontwikkeling van onze menselijkheid, als we zijn over de ontwikkeling van onze technologie. Waar we het bangst voor zijn, is dat we de kans niet krijgen ons volledige potentieel te ontplooien , zegt Pallotta. Stel je een wereld voor waarin we die diepe existentiële angst in elkaar zouden herkennen — en elkaar moedig zouden liefhebben in de wetenschap dat mens zijn nu eenmaal betekent te moeten leven met die angst.
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Date index: 2021-06-07