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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «réponse bien » (Français → Néerlandais) :
Et vous pourriez dire, lorsque vous aurez la réponse : « Bien, je fais confiance à certains d'entre eux, mais pas à d'autres. » C'est tout à fait rationnel.
Daarna zou je kunnen zeggen: Sommigen wel, maar anderen niet. Dat is zou een redelijke reactie zijn.
La réponse, bien sûr, comme tant d'autres choses dans le monde, vient du sexe.
Het antwoord is natuurlijk, zoals met zoveel dingen in de wereld, seks.
Quelques jours plus tard, nous avons reçu un appel: Est-ce que les données sont disponibles et peuvent être utilisées pour la reconstruction? Notre réponse, bien sûr, a été oui .
Een paar dagen later kregen we een oproep: Zijn de gegevens beschikbaar en kunnen ze worden gebruikt voor de wederopbouw? Ons antwoord was natuurlijk ja.
Ça fait se poser des questions sur le monde universitaire... (Rires) Les réponses possibles étaient : « Très bien », « Bien », « Mal » et « Très mal ». Sudhir s’est rendu compte que la vraie réponse à cette question était la suivante : « Va te faire foutre. » (Rires) Finalement, ce n’est pas l’enquête qui a vraiment motivé Sudhir.
Dan ga je toch over de academische wereld nadenken, toch? (Zaal lacht) De antwoordkeuzes waren: erg goed, goed, slecht en heel slecht. Sudhir ontdekte dat het echte antwoord als volgt was... (Zaal lacht) De enquête was uiteindelijk niet wat Sudhir redde.
Aujourd'hui, une dame a étudié le corps dans lequel habite mon esprit, et perplexe, elle a a
nnoncé que, je suis bien « instruite ». Cela veut dire que la prononciation et la diction n'ont plus de secret pour moi, parce que je suis bien « instruite ». Et quand mon professeur pose une
question, et que ma réponse évoque la banlieue urbaine, je ne réponds pas avec mauvaise intention. Faites attention ! Parce que, je suis « instruite ». Quand mon père me demande : « C'est quoi ce binz ? » Ma réponse éduquée fait preuve de rigueur : je lui
...[+++]dis : « Père, ceci est exactement notre problème ». Et quand je suis dans le quartier, je change d'anglais, parce que j'en suis capable. Et quand on me dit : « Ça roule, fils ? » Je réponds : « Je viens de me bouffer l'nez avec cette clique. Y'en a marre ! » Parfois, en cours, il m'arrive d'interrompre le flux intellectuel pour poser une question : « Hé ! Pourquoi ces bouquins ne causent jamais d'mon peuple ? » Vous avez compris : j'ai décidé de traiter mes trois langues sur un pied d'égalité. Parce que je suis... « instruite ». Mais qui maîtrise vraiment les lettres ?
Vandaag zag een verbijsterde dame
het omhulsel waarin mijn ziel huist. En kondigde aan dat ik 'welbespraakt' ben. Dat betekent dat wanneer het aankomt op verkondiging en dictie ik er niet aan denk want ik ben 'welbespraakt'. Dus wanneer mijn docent een vraag stelt en mijn antwoord bevat een bijbetekenis van verstedelijkte suggestie, dan is er geen verkeerde intentie. Let op want ik ben 'welbespraakt'. Dus wanneer mijn vader vraagt: Wat voor ding is dit? Dan is mijn 'welbespraakte' antwoord nooit verkeerd. Ik zeg: Vader, dit is het dreigend probleem . En wanneer ik in de wijk ben dan kan ik omschakelen. Dus wanneer mijn vriend zegt: Wat i
...[+++]s er met jou man? zeg ik: Ik ben klaar met die mensen! En soms in de klas onderbreek ik de intellectuele sfeer om te vragen: Yo! Waarom gaan deze boeken nooit over mijn volk? Ja, ik heb besloten dat alle drie mijn talen elkaars gelijke zijn. Want ik ben 'welbespraakt'. Maar wie heeft de macht omtrent articulatie?S
'ils se contente de réponses en un seul mot, et qu'elle semble ennuyée par vos questions, ou qu'elle est sur la défensive, ce n'est pas bon signe. Mais si
elle dit, « Oh, eh bien, j'utilise Microsoft Visual Studio et j'utilise C# et j'aime vraiment ce langage parce que c'est ceci et cela etc. Et c'est mieux. Avant j'utilisais Java, mais maintenant j'utilise ça. J'adore Visual Studio parce que ça me permet d'intégrer. » Et elle continue, et elle me dit, ou elle semble passionnée par ça. Et pas besoin que la réponse soit « J'adore Micr
...[+++]osoft, » ça peut être, « Eh bien, j'utilise Eclipse et j'adore Eclipse, et j'adore Java, et j'adore l'open-source. Et j'adore l'open-source pour ça, et je suis passionnée et j'utilise tout le temps Ubuntu, et j'adore Lynx ! » Et quand on entend ça, si on entend son enagagement dans ce qu'elle fait, et qu'elle aime ce qu'elle fait, qu'elle est pleine d'énergie vitale, c'est très attrayant chez un employé parce que ça démontre qu'une personne qui va s'engager et apprendre et apporter beaucoup d'énergie à votre équipe, et c'est ce que, selon moi, beaucoup d'employeurs recherchent.
Als ze eenlettergrepige antwoorden geven
, als je vragen hen lijken te vervelen, als ze defensief zijn, is dat geen goed teken. als ze defensief zijn, is dat geen goed teken. Maar als ze zeggen: O, ik gebruik Microsoft Visual Studio en C# en ik vind dat echt een leuke taal want dit en dat, en deze is beter. Ik gebruikte vroeger Java, maar ik gebruik nu dit. Ik ben dol op Visual Studio omdat ik kan integreren. Ze gaan maar door met vertellen Ze gaan maar door met vertellen en ze lijken gepassioneerd. Het antwoord moet niet zijn Ik ben dol op Microsoft . Het kan zijn: Ik gebruik Eclipse, ben er dol op, Ik gebruik Eclipse, ben er dol op, ben
...[+++] dol op Java, dol op opensource, ben dol op Java, dol op opensource, hierom, het is mijn passie, hierom, het is mijn passie, ik ga voor Ubuntu en ik hou zo van Lynx! ik ga voor Ubuntu en ik hou zo van Lynx! Je hoort dat, je hoort hoe ze opgaan in wat ze doen, dat ze houden van wat ze doen, je ziet hun vitale energie. Dat is erg aantrekkelijk in een medewerker want dat toont iemand die zich zal engageren en zal leren die zich zal engageren en zal leren en veel energie aan je team zal toevoegen, wat volgens mij is wat vele werkgevers zoeken.Mais l'idée ici est que nous allons générer autant de questions que besoin jusqu'à ce que vous ayez compris le concept, jusqu'à ce que vous répondiez à 10 questions sans faute. Les vidéos de la Khan Academy sont ici. Vous avez des indices, les étapes réelles du problème, si vous ne savez pas le résoudre. L'idée ici est plutôt très
simple : 10 bonnes réponses d'affilée, et vous passez à la suite. Mais c'est fondamentalement différent de ce qui se passe dans les classes maintenant. Dans une salle de classe traditionnelle, vous avez des devoirs à la maison, des devoirs, des cours, des devoirs, des cours, puis vous avez un contrôle à un inst
...[+++]ant donné. Et ce contrôle, que vous le réussissiez à 70, 80, 90, ou 95%, la classe passe au chapitre suivant. Et même pour ceux qui le réussissent à 95%, quels étaient les 5% qu'ils ne connaissaient pas ? Peut-être qu'ils ne savaient pas ce qui arrive quand on élève un nombre à la puissance nulle. Ensuite vous construisez sur ces connaissances dans le prochain chapitre. C'est comme si vous appreniez mentalement à faire du vélo, et peut-être que je vous donnerais des cours à l'avance, et que je vous donnerais ce vélo pendant deux semaines. Puis je reviens après deux semaines, et je dis : « Eh bien, voyons voir. Vous avez des problèmes avec le virage à gauche. Vous ne pouvez pas tout à fait vous arrêter. Vous êtes cycliste à 80%. » Donc je tamponne votre front d'un grand C, et ensuite je dis : « Voilà un monocycliste. » Mais aussi ridicule que cela puisse paraître, c'est exactement ce qui arrive dans nos classes en ce moment. L'idée est que vous avanciez rapidement et les bons élèves commencent à échouer soudainement en algèbre et commencent à échouer soudainement en calcul, bien qu'ils soient intelligents, bien qu'ils aient de bons professeurs. C'est généralement parce qu'ils ont des lacunes grosses comme des trous de gruyère qui continuent de s'élargir le long de leurs fondations. Notre modèle consiste à apprendre les maths comme vou ...
Het paradigma is dat we zoveel vragen genereren als jij nodig hebt tot je het concept snapt, tot je er 10 na elk
aar goed hebt. Daar zijn de video's van de Khan Academy. Je krijgt tips, de stappen om het vraagstuk op te lossen als je niet weet hoe je het moet doen. Het paradigma is erg eenvoudig: 10 na elkaar goed, op naar de volgende. Het verschilt fundamenteel van wat tegenwoordig in de klas gebeurt. In een traditionele klas krijg je afwisselend huiswerk, lessen, huiswerk, lessen en dan een examen - een momentopname. Of je op dat examen 70 haalt of 80, 90 of 95 procent, de klas gaat door naar het volgende onderwerp. Zelfs voor de leerli
...[+++]ng die 95 procent haalde, geldt: wat was de 5 procent die hij niet kende? Misschien wist hij niet wat er gebeurt als je iets tot de nulde macht verheft. En dan bouw je daarop verder bij het volgende onderwerp. Dat is alsof je leert fietsen en ik je vooraf les geef, en je dan twee weken lang een fiets geef, en ik dan na twee weken terugkom en zeg: Even kijken. Jij hebt moeite met links afslaan. Je kan niet echt stoppen. Je bent een 80-procent-fietser. Dus zet ik een grote C-stempel op je voorhoofd en zeg ik: Hier is een eenwieler. Hoe belachelijk dat ook klinkt, dat is precies wat er gebeurt in onze klaslokalen tegenwoordig. Het idee is: als je verder doorspoelt en goede leerlingen plots problemen krijgen met algebra, en met analyse, ondanks het feit dat ze slim zijn en goede leerkrachten hebben, dan is het meestal omdat hun basis een Zwitserse kaas met gaten is. Ons model is dus: leer wiskunde zoals je alles leert, zoals je leert fietsen. Blijf op je fiets rijden. Val van die fiets.Depuis plusieurs millénaires, les hommes sont en quête de réponses, des réponses à des questions sur le naturalisme et la transcendance, sur qui nous sommes, et pourquoi nous existons, et bien sûr, si d'autres peuvent exister.
Al millennialang is de mens op zoek naar antwoorden, antwoorden op vragen over het natuurlijke en het bovennatuurlijke, over wie we zijn en waarom we zijn, en uiteraard, wie kunnen er daarginds nog meer zijn.
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'a
nnée décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004
kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Ils ont l'habitude de se voir comme des soutiens de famille, et ils ont l'air d'être incapables de construire les réseaux sociaux qui leur permettraient d'intégrer l'enseignement supérieur. Pour une raison mystérieuse, les hommes n'arrivent pas à reprendre des études. Et ce qui est encore plus ennuyeux, c'est ce qui se passe avec les jeunes garçons. Cela fait environ une dizaine d'années que l'on fait des recherches sur ce que certains appellent la crise des garçons. La crise des garçons, c'est l'idée que les très jeunes garçons, sans que l'on sache pourquoi
, réussissent moins bien à l'école que les très jeunes filles. Il y a des théorie
...[+++]s à ce sujet. Est-ce parce que l'enseignement est trop verbal, et que les petites filles sont plus douées dans ce domaine que les petits garçons ? Ou bien est-ce que l'on demande trop aux enfants de rester assis sans bouger, ce qui place les garçons en situation d'échec dès le départ ? Certains disent que c'est parce que les garçons commencent à abandonner l'école dès la 4ème. Je suis en train d'écrire un livre à ce sujet, je fais encore des recherches, alors je n'ai pas la réponse. Mais en attendant, je vais faire appel à un expert international en éducation, ma fille de 10 ans, Noah, pour vous parler de la raison pour laquelle les garçons de sa classe réussissent moins bien.
Vroeger zagen ze zichzelf als kostwinners, maar nu lijken ze niet in staat de sociale netwerken op te bouwen die ze zouden helpen hun studie af te maken. Om een of andere reden gaan mannen simpelweg niet terug naar school. Wat nog veel verontrustender is, is wat er speelt onder jonge jongens.
We hebben ongeveer tien jaar aan onderzoek over wat men wel de 'jongenscrisis' noemt. Die jongenscrisis is het idee dat zeer jonge jongens, om wat voor reden dan ook, het slechter doen op school dan zeer jonge meisjes. Mensen hebben daar theorieën over. Komt het doordat de lessen teveel op taal zijn gericht, en dat meisjes daar beter in zijn dan jon
...[+++]getjes? Of gaan we te ver in onze eis dat kinderen stil moeten zitten, zodat jongetjes zich vanaf het begin mislukt voelen? Sommigen zeggen dat het komt doordat jongens in de tweede klas schoolverlaters worden. Omdat ik bezig ben met een boek over dit onderwerp, doe ik nog onderzoek, dus ik heb geen antwoord klaar. Maar ondertussen ga ik een beroep doen op een wereldwijde onderwijsspecialist, namelijk mijn tienjarige dochter Noah, om jullie te vertellen waarom de jongens in haar klas het slechter doen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
réponse bien ->
Date index: 2023-04-16