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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «rivage et nous dire » (Français → Néerlandais) :
Et pour les animaux qui viennent à la surface pour respirer, comme cet éléphant de mer, c'est une occasion pour envoyer des données vers le rivage et nous dire où exactement il se trouve dans l'océan.
Bij dieren die aan de oppervlakte komen ademhalen, zoals deze zeeolifant, kan men dan gegevens terugsturen naar de kust die ons zijn precieze locatie in de oceaan vertellen.
Main
tenant je dois vous dire, Je discutais de cela avec Kyle la semaine dernière, je lui ai dit que j'allais raconter cette histoire. Et il m'a dit : Oh oui, je me rappelle de cela aussi ! Je me rappelle de l'image que j'avais de
toi tu étais sur le rivage en train de hurler dans ma direction (Rires) Je croyais que j'étais un héro. (Rires) Donc... ceci représente - c'est un échantillonnage de quelques images remarquables prises par quelques uns des meilleurs journalistes photo au monde au sommet de leur art. A l'exception d'un. Cette
...[+++]photographie a été prise par Dr Euan Mason en Nouvelle Zélande l'année dernière, et elle a été proposée puis publiée au National Géographic. L'année dernière, nous avons ajouté une rubrique à notre site web intitulée Vos prises de vue où n'importe qui pouvait proposer des photographies pour une éventuelle publication.
N
u moet ik bekennen, dat ik vorige week tegen Kyle zei dat ik dit verhaal ging vertellen. Hij zei: O ja, dat herinner ik me ook! Ik herinner me dat jij op het strand naar me aan het schreeuwen was. (Gelach) Ik dacht dat ik een held was! (Gelach) Dit is een dwarsuitsnede van enkele opmerkelijke beelden gemaakt door 's werelds beste fotojournalisten die aan de frontlinie van hun beroepsveld werken. Behalve één. Deze foto werd verleden jaar genomen door Dr. Euan Mason in Nieuw Zeeland, en hij werd aangeboden, en gepubliceerd door National Geographic. Sinds vorig jaar heeft onze w
ebsite een sectie: 'Jouw ...[+++] Shot' waar iedereen foto's kan aanbieden voor mogelijke publicatie.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le
général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belet
te generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar
. Of in 2007, Espen Eide ...[+++], de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre?
Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous
les humains dans sa riche diversité ...[+++] moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is:
Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg h
et leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben
tot mensen in zijn rijke moleculaire diversi ...[+++]teit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen.Bon, je me disperse, là. NM : Non, je veux que tu leur parles de Leahy. DL : Eh bien quoi, Leahy ? (Rires) NM : Dis leur
ce que... DL : Elle veut que je parle de ... Nous avons un groupe qui s'appelle Leahy. Il y a 11 frères et sœurs. Nous, euh... Qu'est c
e que pourrais leur dire ? (Rires) Nous avons ouvert - NM : Pas un cabinet médical. DL : Pas un cabinet médical, oh non. Nous avons eu une grande chance. Nous avons fait la première partie de Shania Twain pendant deux ans
...[+++], lors de sa tournée internationale. C'était génial pour nous, et maintenant, toutes mes sœurs se sont arrêtées pour avoir des bébés, et les garçons se marient tous, alors nous restons près de chez nous pour, je suppose, encore deux semaines. Qu'est-ce que je peux dire ? Je ne sais pas quoi dire, Natalie. Nous, euh ... (Rires) (Rires) NM : C'est ça, le mariage ? (Applaudissements) J'aime ça. (Applaudissements) (Rires) DL : Ah oui, ok, dans ma famille il y avait sept filles, quatre garçons, il y avait deux violons et un piano, et bien sûr nous nous battions tous pour jouer des instruments, alors papa et maman ont établi une règle selon laquelle on ne pouvait pas pour jouer quelqu'un d'un instrument. On devait attendre qu'il ait fini, alors bien sûr, ce qu'on faisait, c'est qu'on se mettait au piano, et et on ne le quittait même pas pour manger, parce qu'on ne voulait pas céder sa place à un frère ou une sœur, et ils attendaient encore et encore, et arrivait minuit, et vous étiez encore là au piano, mais c'était leur façon de nous amener à pratiquer.
Hoe dan ook, ik blijf maar doorbabbelen. NM: Nee, Ik wil dat je hen vertelt over Leahy. DL: Wat is er met Leahy? (Gelach) NM: Vertel ze gewoon wat -- DL: Ze wil dat ik vertel over -- We hadden een band genaamd Leahy. We waren met 11 broers en zussen. We, eh -- Wat zal ik ze vertellen (Gelach) We begonnen -- NM: Geen operaties. DL: Geen operaties, oh ja. We kregen een geweldige kans. We speelden twee jaar lang in het voorprogramma van Shania Twain. Die internationale tournee was erg belangrijk voor ons. Al mijn zussen krijgen nu kinderen en de jongens gaan allemaal trouwen, dus we blijven dicht bij huis, denk ik, voor ee
n aantal weken. Wat moet ik zeggen? Ik weet ...[+++]niet wat ik moet zeggen, Natalie. Wij, eh...(Gelach) (Gelach) NM: Is dit waar het huwelijk over gaat? (Applaus) Ik vind het leuk. (Applaus) (Gelach) DL: Oh ja, oke, in mijn familie hadden we zeven meisjes, vier jongens, we hadden twee violen en één piano, en natuurlijk ruzieden we allemaal over wie er op de instrumenten mocht spelen, dus pa en ma hadden de regel geïntroduceerd dat we niemand het instrument af mochten pakken. Je moest wachten totdat ze klaar waren. Wat deden we dus? We gingen achter de piano zitten en je ging er niet eens af om te eten omdat je je plekje niet op wilde geven aan je broer of zus. Zij moesten wachten en wachten. Om middernacht zat je nog steeds achter de piano, maar het was hun manier om ons aan het oefenen te krijgen.On s’est dit, plutôt que de faire sorti
r le texte complet, nous allons faire sortir des statistiques sur les livres. Prenez par exemple, « Une étincelle de bonheur ». Quatre mots ; on l’appelle quadri-gramm
e. Nous allons vous dire combien de fois un quadri-gramme en particulier est apparu dans les livres en 1801, 1802, 1803, jusqu’à 2008. Cela nous donne une série temporelle sur la fréquence avec laquelle cette phrase en particulier a été utilisée dans le temps. Nous le faisons pour tous les mots et les phrases qui apparaissent dans
...[+++]ces livres, ce qui nous donne un tableau de deux milliards de lignes qui nous raconte les changements culturels. ELA : Donc ces deux milliards de lignes, nous les appelons les deux milliards d’n-grammes. Qu’est ce qu’ils nous disent? L’n-gramme individuel mesure les tendances culturelles. Prenons un exemple. Supposez que je sois épanoui, et demain matin je veux vous raconter comme j’étais bien. Je pourrai donc dire, « Yesterday, I throve. » [Hier j’étais épanoui] Sinon, je pourrai dire, « Yesterday, I thrived.» Laquelle devrais-je utiliser ?
We zeiden, in plaats van de hele tekst uitgeven, gaan we statistieken uitgeven over de boeken. Neem bijvoorbeeld A gleam of happiness . Vier woorden; we noemen dat een four-gram. We gaan laten zien hoe vaak een specifiek four-gram verscheen in boeken in 1801, 1802, 1803, tot en met 2008. Dat levert een tijdverloop
op van hoe frequent deze specifieke zin gebruikt werd. We doen dat met alle woorden en zinnen die in die boeken voorkomen, wat een lijst van twee miljard zinnen oplevert die laat zien hoe onze cultuur veranderd is. ELA: Die 2 miljard zinnen noemen we 2 miljard n-grams. Wat vertellen ze ons? De individuele n-grams meten culture
...[+++]le trends. Ik zal een voorbeeld geven. Stel dat ik geluk ervaar, en morgen vertel ik je daarover. Dan kan ik zeggen: Gisteren ervoer ik geluk. Of: Gisteren ervaarde ik geluk. Wat moet ik gebruiken?Et bien je me cont
enterai de dire que nous nous sentions un peu écrasées par la testostérone. Je ne suis pas ici pour vous
dire que les hommes sont responsables de la crise et ce qui s'est passé dans mon pays. Mais je peux certainement vous
dire que dans mon pays, tout comme à Wall Street et dans la City à Londres et ailleurs, les hommes sont les maîtres du jeu dans le secteur financier. Et ce genre de manque de diversité et de monotonie conduit à des problèmes désastreux. (Applaudissements) Donc nous avons décidé, un peu fatiguées de ce monde et aussi avec une impression pro
...[+++]fonde et viscérale que cela ne pouvait pas durer, de fonder une entreprise de services financiers basée sur nos valeurs. Et nous avons décidé d'incorporer des valeurs féminines dans le monde de la finance. Ça a fait froncer plus d'un sourcil en Islande. Nous n'étions pas connues comme des femmes femmes typiques en Islande jusque là. Alors c'était presque comme sortir du placard pour réellement parler du fait que nous étions des femmes et que nous croyons que nous avions des valeurs et une manière de faire des affaires qui seraient plus durables que ce que nous avions connu jusqu'alors.
Laat ik me beperken door te zeggen dat we ons nogal overrompeld voelden door testo
steron. Ik wil hier niet zeggen dat mannen de schuld moeten krijgen voor de crisis en voor wat er gebeurde in mijn land. Maar ik kan jullie zeker vertellen dat in mijn land, eigenlijk net als op Wall Street en in de Londense City en elders, de mannen aan het roer stonden van het spel in de financiële sector. En dat gebrek aan diversiteit, die gelijkheid, dat leidt tot rampzalige problemen. (Applaus) Met de buik vol van die wereld besloten we, ook met een sterk onderbuikgevoel dat dit niet vol te houden was, om een bedrijf voor financiële diensten te starten
...[+++] op basis van onze waarden. We besloten vrouwelijke waarden toe te passen op de financiële wereld. Dat wekte nogal wat verbazing in IJsland. We stonden niet bekend als typische vrouwen-vrouwen tot dat moment in IJsland. Het was bijna alsof we uit de kast kwamen door het feit te benoemen dat we vrouwen zijn en dat we geloofden in onze verzameling waarden en in een bepaalde manier van zakendoen die duurzamer zou worden dan wat we tot dan toe hadden meegemaakt.C'était le genre de combat et de choix pour lequel tout le monde ici, s'accorde à dire qu'il augmente le coût des soins de fin de vie, et des soins de santé pour nous tous. Et pour moi, pour nous, nous avons poussé le combat jusqu'à la limite, je n'ai jamais eu la possibilité de lui dire ce que je lui dit maintenant tous les jours : « Hey l'ami, c'était un sacré parcours. » Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous dire au revoir.
Het was het soort gevecht en het soort keuzes waarvan iedereen weet dat ze de kosten opdrijven van de zorg rond het levenseinde, en van de gezondheidszorg voor ons allen. En ik, of wij, gingen door tot het bittere einde. Ik heb nooit de kans gekregen om hem te zeggen wat ik nu bijna elke dag tegen hem zeg: Hey, maat, dat was me het ritje wel. We hebben nooit de kans gekregen om afscheid te nemen.
CA: Mais est-ce qu'il n'y a pas un peu de rationalité dans cette
peur, à savoir que nous sommes effrayés, car nous pensons qu'une attaque ultime est à venir? DG : Oui, bien sûr. Si nous étions sûrs que c'était la pire attaque que nous aurons, il pourrait y avoir davantage de bus de 30 personnes -- et nous ne seriez pas si effrayés.
Je ne cherche pas à dire -- Je vous en prie, je vais être cité quelque part comme disant le terrorisme ce n'est rien, nous ne devrions pas être si inquiets . Ce n'est pas ce que j'essaye de dire. Ce que je
...[+++]cherche à dire est que, de façon rationnelle notre souffrance par rapport aux événements futurs, aux menaces, devrait être proportionnelle à l'importance de ces menaces et des menaces à venir. Je pense que dans le cas du terrorisme, ce n'est pas le cas.
CA: Maar is er ook een reële grond voor onze angsten, de reden dat we bang zijn, is omdat we denken dat er nog een veel grotere aanslag zal komen? DG: Ja natuurlijk: als we wisten dat dit de grootste aanslag ooit was en er nog meer bussen van 30 mensen doelwit waren -- dan
zouden we wellicht niet zo bang zijn. Ik wil hier niet zeggen -- straks gaan ze me citeren met “Niets mis met terrorisme, waar maken we ons druk om.” Maar dat bedoel ik echt niet. Mijn punt is dat, rationeel gezien, onze zorgen over gebeurtenissen, bedreigingen, ongeveer in verhouding moeten zijn met de omvang van bedreigingen, nu en in de toekomst. Met terrorisme is d
...[+++]at niet het geval, volgens mij.Mes collégues d'Independent Diplomat et moi sommes allés voir le Conseil de
Sécurité de l'ONU. Nous sommes allés rencontrés quelques 70 Etats membres -- les Kazakhes, les Ethiopiens, les Israeliens -- tous ceux que vous voulez, nous sommes allés les voir -- le Secrétaire général, tous, et nous avons dit : ça ne va pas du tout. C'est vraiment dommage de ne pas consulter ces peuples qui sont les premiers concernés. Vous devez mettre en place un système dans lequel vous invitez effectivement les Kosovars à
venir s'exprimer et dire ce qu'ils pensent. ...[+++]Cela vous permettra de me dire -- vous pourrez leur dire ce que vous pensez. Ce sera bien. Vous pourrez échanger. Vous pourrez tenir compte des points de vue de ces peuples dans vos décisions, ce qui rendra vos décisions plus efficaces et durables. Hyper-logique, pensez vous. Je veux dire, une logique implacable. Si évidente, n'importe qui peut comprendre ça. Et bien sûr, tout le monde l'a compris. Tout le monde a dit Oui, bien sûr, vous avez raison.
Mijn collega's en ik bij Independent Diplomat gingen rond bij de VN-Veiligheidsraad. We gingen langs 70 VN-lidstaten -- De Kazakken, de Ethiopiërs
, de Israëlieten -- noem maar op, we gingen bij hen langs -- de secretaris-generaal, iedereen, en zeiden: Dit is helemaal verkeerd. Het is verschrikkelijk dat je de mensen di
e worden beïnvloed, niet raadpleegt. Je moet een systeem institutionaliseren waarin je je de Kosovaren uitnodigt om je te vertellen wat ze erover denken. Dit geeft je de mogelijkheid om me te vertellen -- je kan hen vert
...[+++]ellen wat je denkt. Dat wordt fantastisch. Je kan een uitwisseling hebben. Je kan de meningen van deze mensen in je beslissingen verwerken, hetgeen betekent dat je beslissingen doeltreffender en duurzamer zullen zijn. Superlogisch zou je denken. Ongelofelijk logisch bedoel ik. Zo voor de hand liggend, iedereen zou het kunnen. En natuurlijk snapte iedereen het. Iedereen zei: Ja natuurlijk, je hebt helemaal gelijk. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
rivage et nous dire ->
Date index: 2025-04-27