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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «qui était essentiellement mes amies et mes voisines — pensait que tout » (Français → Néerlandais) :
Alors que je pensais que tout était parfait, mon équipe — qui était essentiellement mes amies et mes voisines — pensait que tout allait si bien, nous n'avions aucune idée de la grande opposition qui se dirigeait vers nous.
Ik dacht dat alles in orde was. Mijn team -- dat toen bestond uit vriendinnen en buren -- dacht dat alles zo goed ging. We hadden geen idee dat er ons zo'n grote tegenstand te wachten stond.
Ceci s'appelle La Robe. C'est un poème plus long, À cette époque, cett
e époque qui existe seulement pour moi comme le souvenir le plus fuyant maintenant, quand souvent le premier son que tu
entendais le matin était un orage d
e chants d’oiseaux, puis le doux clopinement des sabots du cheval qui tirait le chariot de lait dans la rue, et le der
nier son la nuit en toute probabilité était t ...[+++]on père qui s’arrêtait dans sa voiture, après avoir travaillé tard encore, toujours tard, et descendant pesamment au sous-sol, à la chaudière, pour vider les cendres et calfeutrer les courants avant de remonter l’escalier et tomber dans le lit; dans ces jours lointains, les femmes, ma mère, les mères de mes amis, nos voisins, toutes les femmes que je connaissais, portaient, souvent presque toute la journée, ce qu’on appelait des robes de chambre, bon marché, à motifs, comme de la pulpe, apparemment et exprès sans forme, des robes légères en coton qu’on portait par dessus de sa chemise nuit, et quand on devait chercher un enfant, étendre du linge sur la ligne, ou descendre à l’épicerie au coin, par dessous un manteau, l’ourlet tordu de la chemise de nuit, toujours plat et jauni, pendant dessous.
Nu volgt Het huisschort . Dit is een langer gedicht. In lang vervlogen tijden die voor mij nu nog slechts als vluchtige herinneringen herleven, tijden waarin je 's ochtends vaak werd gewekt door een aanzwellend vogelkoor gevolgd door het gedempte getrappel van het paard van de melkboer onder aan de straat, tijden waarin je vrijwel iedere avond als laatste je vader in zijn auto hoorde voorrijden, na een werkdag die altijd te lang was, eerst klossend naar de kelder, naar de ketel, om as uit te scheppen en de klep te verzetten, en vervolgens naar boven, waar hij zijn bed in rolde. In die lang vervlogen tijden droegen vrouwen, mijn moeder, de moeders van mijn vrienden, buurvrouwen, alle vrouwen die ik kende, een groot deel van de dag het zogena
...[+++]amde huisschort, een goedkope, bedrukte lap, schijnbaar met opzet vormeloze lichtkatoenen hoezen, die je over je nachthemd droeg, en als je naar een kind op zoek ging, was aan de lijn hing, of even iets haalde bij de winkel op de hoek, onder een jas. De verwrongen zoom van je nachthemd stak er dan slap en vergeeld onder uit.Mais d'une certai
ne manière, rien de tout cela ne participe à la contribution au monde q
ue devrait pour moi viser l'Inde, en ce début du XXIè
me siècle. Et je me suis demandé : se pourrait-il que ce que le futur appelle l'Inde à être soit une combinaison de ces choses alliées à quelque chose d'autre, la puissance de l'exemple, l'attraction de la culture indienne
, ce qu'en ...[+++] d'autres termes on aime à appeler puissance douce . La puissance douce est un concept inventé par un professeur de Harvard, Joseph Nye, un de mes amis. Et, très simplement, et j'élague beaucoup à cause des contraintes de temps, c'est essentiellement la capacité d'un pays à attirer les autres par sa culture, ses valeurs politiques, sa politiques étrangère. Et, vous savez, beaucoup de pays le font. Il décrivait à l'origine les Etats-Unis, mais nous savons que l'Alliance Française est l'expression de la puissance douce française, le British Council,
Maar
volgens mij draagt niets hiervan bij aan wat India
volgens mij kan betekenen in de wereld, in dit deel van de 21ste eeuw. Dus dacht ik: zou de toekomst die India wacht te maken kunnen hebben met een
combinatie van dit alles, verbonden met iets anders, de kracht van het voorbeeld, de aantrekking van de Indiase cultuur, wat mensen
met andere woorden 'soft power' noemen? Soft ...[+++] power is een begrip uitgevonden een professor in Harvard, mijn vriend Joseph Nye. Heel simpel, en ik houd het erg kort vanwege de tijdslimiet hier, het is voornamelijk de mogelijkheid voor een land om anderen aan te trekken door zijn cultuur, zijn politieke waarden, zijn buitenlandse politiek. Veel landen doen dit. Hij schreef aanvankelijk over de VS, maar we weten dat de Alliance Française om de Franse soft power draait, [en] de British Council [om de Britse].J'étais vraiment étonnée de toutes les histoires qui commençaient à m'inonder. L
es gens avec qui je suis en contact tous les jours,
mes collègues, mes amis, les membres de la famille que je connais depuis longtemps, personne n'avait partagé avec moi sa propre histoire. Je me souviens avoir ressenti toutes ces histoires sortant de nulle part. Et j'avais l'impression d'être tombée sur cette société secrète de femmes dont je faisais désor
mais parti ...[+++]e, ce qui était à la fois rassurant et inquiétant.
Ik was echt verbaasd over alle verhalen die binnenstroomden. Mensen met wie ik dagelijks te maken had, samenwerkte, bevriend was, familieleden die ik al lang kende, ze hadden hun eigen verhaal nooit met me gedeeld. Ik herinner me dat gevoel dat al die verhalen uit het niets tevoorschijn kwamen. Het voelde alsof ik was gestoten op een geheim genootschap van vrouwen waar ik nu deel van was, wat me geruststelde, maar ook echt verontrustte.
Alors j'ai écrit un post sur le fait que j'étais en c
olère contre lui, c'était vraiment un tyran, i
l ne me laissait pas acheter ce banjo. Ceux qui me connaissaient ont compris ma plaisanterie. C'est Mena, c'est comme ça que je
plaisante avec les gens. Parce que la plaisanterie, c'est qu'il n'est pa
s un tyran : il est tellement aimant et tellement ad
...[+++]orable qu'il me laisse le travestir et mettre des photos de lui sur mon blog. Et -- (Rires) -- et s'il savait que je suis en train de montrer ça, je l'ai mis aujourd'hui, il me tuerait. Mais en fait, j'ai écrit cela, mes amis l'ont lu, et ils se sont dit, oh, cette Mena, elle a écrit un post sur le fait de vouloir une bêtise et elle fait l'idiote. Mais j'ai reçu des e-mails de gens qui disaient: Mon Dieu, ton mari est un vrai connard. Combien d'argent il dépense en bière chaque année? Tu pourrais prendre cet argent et acheter ton banjo. Pourquoi tu n'ouvres pas un compte séparé? Je suis avec lui depuis que j'ai 17 ans. Nous n'avons jamais eu de compte séparé. Ils disaient Prends un compte séparé -- dépense ton argent, dépense son argent. C'est tout. Des gens m'ont dit Quitte-le . Et -- je me disais, mais qui sont ces gens,
Ik schreef een stukje over hoe kwaad ik op hem was. Hij was
een tiran want hij liet mij geen banjo kopen. De mensen die mij kennen, begrepen mijn gr
ap. Dit is Mena, zo houd ik mensen voor de gek. De grap is dat deze persoon geen tiran is; deze persoon is zo liefhebbend en zo vriendelijk dat hij zich door mij laat verkleden en foto's van hem op mijn blog laat plaatsen. (Gelach) Als hij zou weten dat ik dit nu zou laten zien -- ik heb dit er vandaag in
...[+++]gezet -- hij zou me vermoorden. Het ging erom dat mijn vrienden het zouden lezen en zouden denken: Mena heeft een stukje geschreven over dat stomme ding dat ze wil hebben en hoe stom ze kan zijn. Maar ik kreeg e-mails van mensen die schreven: O mijn god, wat een klootzak is jouw man. Hoeveel geld besteedt hij per jaar aan bier? Jij kan dat geld gebruiken om een banjo te kopen. Open je eigen bankrekening. We zijn samen sinds ik 17 ben. We hadden nog nooit gescheiden bankrekeningen. Ze schreven: Open je eigen bankrekening -- geef je geld uit; geef zijn geld uit. En daarmee uit. Mensen schreven ook: Verlaat hem. En -- ik dacht: oké, wie zijn deze mensen eigenlijk?« Ash, es-tu déjà allée au Castro ? » « Eh bien, oui
, en fait, on a des amis à San Francisco. » « On y est jamais allé mais on dit que c'est génial. » « Ash, tu connais mon coiffeur Antonio ? Il est vraiment doué et n'a jamais parlé d'une pe
tite amie. » « Ash, quelle est ta série préférée ? Notre série préférée ? Will & Grace. Et tu sais qui on aime ? Jack. Jack e
st notre préféré. » Puis une femme, déconcertée
...[+++] mais voulant désespérément me montrer son soutien, me faire savoir qu'elle était avec moi, a finalement lâché : « Tiens, des fois mon mari porte des chemises roses. » (Rires) Et j'ai eu un choix à ce moment, comme tout lanceur de grenade. Je pouvais retourner avec ma petite amie et mon aimante table gay et me moquer de leurs réponses, punir leur naïveté et leur incapacité à relever le défi politiquement correct gay que j'étais, ou je pouvais compatir avec eux et voir que c'était une des choses les plus dures qu'ils aient jamais faites, que commencer et avoir cette conversation était pour eux sortir de leur placard. C'est sûr, ça aurait été facile de pointer leur maladresse.
Ash, ben je naar Castro geweest? Ja we hebben vrienden in San Francisco. Ik hoorde dat het geweldig is. Ash, ken jij mijn kap
per Antonio? Hij is echt goed en heeft geen vriendin. Ash, wat is je favoriete serie? Onze favoriet is Will & Grace. Jack vinden we geweldig. Jack is onze favoriet. Eén vro
uw wist niet wat ze moest doen, maar wilde zo graag haar steun tonen. Om mij te tonen dat ze aan mijn kant stond zei ze uiteindelijk: Soms draagt mijn man een roze shirt. (Gelach) Ik had op dat moment een keuze, zoals alle granatengooiers. Ik
...[+++] kon teruggaan naar mijn vriendin aan onze homotafel en hun antwoorden bespotten. Hun bekrompenheid en onvermogen afstraffen om te voldoen aan mijn politiek correcte lesbische maatstaven. Of ik kon empathie tonen. Misschien was dit het moeilijkste wat ze ooit hadden gedaan. Om zo'n gesprek te voeren was voor hen uit de kast komen. Het was makkelijker geweest om hun tekortkomingen aan te wijzen.Rétrospectivemen
t, je pense qu'elle était un peu inquiète quant à ma santé mentale. Je racontais sans cesse des histoires à la maison, ce qui était une bonne chose, sauf que je
les racontais à des amis imaginaires autour de moi, ce qui n'était pas si bien. J'étais une enfant introvertie au point de communiquer avec les crayons de couleur et de présenter des excuses à des objets quand je les heurtais. Donc, ma mère a pensé que ça pourrait me faire du bien d'écrire mes expériences et mes émotions au jour le jour. Ce
...[+++] qu'elle ne savait pas c'est que je pensais que ma vie était terriblement ennuyeuse, et que la dernière chose que je voulais faire était d'écrire sur moi-même. Au lieu de cela, j'ai commencé à écrire sur d'autres personnes que moi et les choses qui ne s'étaient jamais vraiment passées. Et ainsi a commencé ma passion de toute une vie pour l'écriture de fiction. Ainsi, dès le début, la fiction pour moi était moins une manifestation autobiographique qu'un voyage transcendantal dans d'autres vies, d'autres possibilités. Soyez patients, s'il vous plaît. Je vais dessiner un cercle et revenir à ce point.
Als ik erop terugkijk denk ik dat ze zich wat zorgen maakte over mijn geestelijke gezondheid
. Ik vertelde thuis constant verhalen, wat goed was, behalve dat ik ze aan denkbeeldige vri
enden vertelde, wat niet zo goed was. Ik was een introvert kind zozeer zelfs dat ik met kleurpotloden communiceerde en mij verontschuldigde bij objecten als ik ertegen aanliep. Mijn moeder dacht dat het mij goed zou doen om
mijn ervaringen en emoties van elke dag neer t ...[+++]e schrijven. Wat ze niet wist was dat ik mijn leven vreselijk saai vond en dat het laatste wat ik wilde doen schrijven over mijzelf was. In plaats daarvan begon ik te schrijven over andere mensen en dingen die in werkelijkheid nooit gebeurd waren. Zo begon mijn levenslange passie voor het schrijven van fictie. Vanaf het prille begin was fictie voor mij niet zozeer een autobiografische manifestatie als wel een transcendentale reis naar andere levens, andere mogelijkheden. Heb alstublieft geduld met mij. Ik zal een cirkel tekenen en op dit punt terugkeren.I
l était accompagné de trois ou quatre amis, il fait ça, ils le regardent tous, et il n'y avait pas d'infection, et ils se penchent sur moi pour toucher et me palper, et il disent, Il n'y a pas d'hématome, bla bla bla, regarde la couleur, . Ils se parlent entre eux comme si
j'étais une vieille voiture retapée et que le ch
irurgien se vantait Oui, c'es ...[+++]t moi qui ai fait ça. (Rires) C'était juste incroyable, parce que les autres lui tapent la main pour le féliciter de mon état ! (Rires) C'est ma cicatrice, et j'ai toujours des agraffes et tout le reste. Et plus tard, quand je sors, les flashbacks et les cauchemars me rendaient la vie difficile, je suis retourné le voir et je lui ai demandé en quelque sorte, qu'est-ce que je peux faire? Et je pense que, étant chirurgien, il a simplement dit, Mon petit, je t'ai sauvé la vie. Donc, maintenant tu peux faire ce que tu veux, tu dois tourner la page. C'est comme si je t'avais donné une voiture toute neuve et que tu te plaignais de ne pas trouver une place de parking.
Hij had 3 of 4 vri
enden bij zich. Hij doet dat, ze kijken allemaal. Er was geen infectie. Ze buigen zich over me, duwen en porren en zeggen: Geen hematomen, blabla, kijk naar de kleur. Ze praten onder elkaar. Ik voel me als een herstelde auto. Hij zegt: Ja, mijn werk. (Gelach) Het was gewoon fantastisch, want die jongens geven hem een high five omdat ik zo goed gelukt ben. (Gelach) Dat is mijn rits, de nietjes zitten er nog in en zo. En
later, toen ik naar huis mocht, en de flashbacks en nachtmerries me het leven
...[+++]moeilijk maakten, zocht ik hem weer op. Ik vroeg hem: wat ga ik doen? Als chirurg zei hij: Jongen, ik heb je leven gered. Je kan nu alles doen wat je wil, daar moet je mee verder. Het is alsof ik je een nieuwe auto heb gegeven en jij klaagt omdat je geen parking vindt.Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne s
e fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerion
s pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'un
...[+++]e situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs sprin
gt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n v
rienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', da
...[+++]n is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Ce gamin de 14 ans se disait : « Eh ben dis donc ! » Il al
lait raconter à ses amis : « Regarde tout ce fric que je me suis fait dans le gang. »
Ce n’était pas son argent, jusqu’à ce qu’il le dépense. Dans les faits, il avait une dette envers le gang et était temporairement un employé débiteur de celui-ci. Bon, il me reste quelques minutes. Permettez-moi une de
rnière chose. Je ne pensais ...[+++] pas que j’aurais eu le temps de le faire, de vous parler de ce que nous avons appris, plus généralement, sur l’économie en étudiant les gangs.
Die 14 jarige zou zeggen: Nou... Hij zou tegen zijn vrienden zeggen, Hey, kijk 'es naar al het geld dat ik van de bende he
b gekregen. Het was niet zijn geld, totdat hij het uitgaf. En dan had hij in wezen een schuld naar de bende toe, en was hij voor een tijd een soort van gecontracteerde bediende. Ik heb nog een paar minuten. Laat me nog één laatste ding doen. Ik had niet gedacht dat ik er genoeg tijd voor zou hebben, om het te
hebben over wat we, meer algemeen, hebben geleerd, over de econom
...[+++]ische kant van het bestuderen van de bende. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
qui était essentiellement mes amies et mes voisines — pensait que tout ->
Date index: 2022-11-07