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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «prochaine étape dans la résolution des problèmes mondiaux » (Français → Néerlandais) :
Taylor Wilson avait 14 ans quand il a construit un réacteur à fusion nucléaire dans le garage de ses parent. Maintenant il a 19 ans, il revient sur la scène de TED pour présenter une nouvelle idée sur un vieux sujet : la fission. Wilson qui a obtenu un financement pour créer une entreprise pour réaliser sa vision, explique pourquoi il est si enthousiaste de sa création innovante d'un petit réacteur à fission modulaire — et pourquoi ça pourrait être la prochaine étape dans la résolution des problèmes mondiaux de la crise énergétique.
Taylor Wilson was 14 toen hij een kernfusiereactor in de garage van zijn ouders bouwde. Nu is hij 19 en komt hij terug naar het TED-podium voor een nieuwe kijk op een oud thema: kernsplijting. Wilson, die steun heeft gekregen om een bedrijf op te richten om zijn visie te realiseren, legt uit waarom hij zo enthousiast is over zijn innovatief ontwerp voor kleine modulaire kernreactoren - en waarom het de volgende grote stap bij het oplossen van de wereldwijde energiecrisis zou kunnen zijn.
Ca, c'est le monde réel, et à moins qu'on trouve le moyen de mondialiser la démocratie, ou de démocratiser la mondialisation, nous allons non seulement risquer de plus en plus d'échouer dans la résolution de tous ces problèmes transnationaux, mais on va risquer de perdre la démocratie elle-même, enfermés dans la boîte du vieil État-Nation, incapable de gérer les problèmes mondiaux de façon démocratique.
Dat is de echte wereld, en tenzij we een manier vinden om democratie de globaliseren of om globalisatie te democratiseren zullen we niet alleen meer en meer het risico lopen dat we falen aandacht te geven aan deze grensoverschrijdende problemen, maar we riskeren zelfs de democratie zelf te verliezen, zo lang we opgesloten blijven in onze oude nationale doos, incapabel om wereldwijde problemen democratisch aan te pakken.
Seulement alors, on présente cette structure mathématique. Les maths alimente la conversation. Pas l'inverse. Ici, je vous informe que 9 classes sur 10 sont prête
s à embrayer sur le problème de pente en entier. Mais si c'est nécessaire, vos étudiants peuvent a
lors développer ces étapes ensemble. Voyez-vous comment ceci, ici, comparé à
cela -- lequel des deux crée le raisonneme
nt mathématique, la ...[+++]résolution de problème?
En enkel dan, gooien we de wiskundige structuur erin. Wiskunde is ondergeschikt aan de dialoog. De dialoog dient de wiskunde niet. En op dat punt garandeer ik jullie dat negen op de tien klassen het hele concept van helling en steilheid beet hebben. En indien nodig, kunnen uw studenten deze stappen samen vinden. Zien jullie hoe dit hier, in vergelijking daarmee - welke maakt het geduldige probleemoplssen mogelijk, het wiskundig rederen?
La première étape dans la résolution d'un problème quelconque est d'admettre qu'il en est un. Nous n'avons pas fait cela. Alors comment peut-on espérer trouver une réponse, quand on a encore peur de poser la question.
De eerste stap bij het oplossen van een probleem is erkennen dat het bestaat. Zover zijn we nog niet. We kunnen geen antwoord verwachten zolang we bang zijn voor de vraag.
Où est-ce qu'on veut que notre monde arrive ? Et vous savez quoi ? Quelle que soit la manière dont on comprend les arts et la science - qu'elles soient séparées o
u différentes - les deux sont en train d'être influencés à présent,
et les deux ont des problèmes. J'ai exécuté un projet appelé S.E.E.ing the Future : Sciences, Ingénierie et Education, qui considérait comment mettre en lumière un usage plus effectif du financement gouvernemental. Plusieurs scientifiques ont particip
é, dans ...[+++] différentes étapes de ses carrières. Ils sont venus à la Faculté de Dartmouth, où j'étais professeur, et ils ont parlé avec des théologiens et des financiers à propos des problèmes du financement gouvernemental en ce qui regarde la recherche en science et l'ingénierie. Quelles sont les questions plus importantes ? Quelques idées se sont révélées dont je crois qu'on peut trouver des parallèles très forts dans les arts. La première chose qu'ils ont dit c'était que les circonstances où l'on se trouve aujourd'hui dans la science et les arts, qui ont fait
de nous des leaders mondiaux, sont très différentes des circonstances des années 40, 50, 60 et 70, quand nous nous sommes révélés des leaders mondiaux. Car on ne rivalise plus avec le fascisme, avec le communisme à la soviétique, et par ailleurs la compétition n'était que militaire. Il s'agissait aussi d'une compétition sociale, d'une compétition politique, qui nous a permis de regarder l'espace comme un trampoline vers la preuve que notre système social était le meilleur.
Waar willen we heen met de wereld? Weet je wat? Hoe we er ook naar kijken, of we kunst en wetenschap nou zien als gescheiden of verschillend; ze worden beide beïnvloed,
en ze hebben beide problemen. Ik heb meegedaan aan het project 'S.E.E.ing the Future'. Hoe ga je effectief om met overheidsbestedingen? Er waren veel wetenschappers in verschillende fases van hun carrière. Ze kwamen naar Darthmouth College, waar ik lesgaf. Ze bespraken met theologen en financiers wat er kwam kijken bij het investeren in wetenschappelijk onderzoek. Wat is daarin belangrijk? Er doken ideeën op die sterke parallellen vertonen met kunst. Ze zeiden dat de oms
...[+++]tandigheden waarin we ons momenteel bevinden, met betrekking tot wetenschap en technologie, die ons de wereldleiders hebben gemaakt, anders zijn dan in de jaren 40, 50, 60 en 70, toen we opkwamen als wereldleiders. We hoeven niet meer te concurreren met het fascisme of het Sovjet-communisme. Die concurrentie was trouwens niet alleen militair, maar ook sociaal en politiek, waardoor we de ruimte gingen zien als een platform waarmee we konden aantonen dat ons sociale systeem beter was.Mais l'idée ici est que nous allons générer autant de questions que besoin jusqu'à ce que vous ayez compris le concept, jusqu'à ce que vous répondiez à 10 questions sans faute. Les vidéos de la Khan Academy sont ici. Vous av
ez des indices, les étapes réelles du problème, si v
ous ne savez pas le résoudre. L'idée ici est plutôt très simple : 10 bonnes réponses d'affilée, et vous passez à la suite. Mais c'est fondamentalement différent
de ce qui se passe dans ...[+++] les classes maintenant. Dans une salle de classe traditionnelle, vous avez des devoirs à la maison, des devoirs, des cours, des devoirs, des cours, puis vous avez un contrôle à un instant donné. Et ce contrôle, que vous le réussissiez à 70, 80, 90, ou 95%, la classe passe au chapitre suivant. Et même pour ceux qui le réussissent à 95%, quels étaient les 5% qu'ils ne connaissaient pas ? Peut-être qu'ils ne savaient pas ce qui arrive quand on élève un nombre à la puissance nulle. Ensuite vous construisez sur ces connaissances dans le prochain chapitre. C'est comme si vous appreniez mentalement à faire du vélo, et peut-être que je vous donnerais des cours à l'avance, et que je vous donnerais ce vélo pendant deux semaines. Puis je reviens après deux semaines, et je dis : « Eh bien, voyons voir. Vous avez des problèmes avec le virage à gauche. Vous ne pouvez pas tout à fait vous arrêter. Vous êtes cycliste à 80%. » Donc je tamponne votre front d'un grand C, et ensuite je dis : « Voilà un monocycliste. » Mais aussi ridicule que cela puisse paraître, c'est exactement ce qui arrive dans nos classes en ce moment. L'idée est que vous avanciez rapidement et les bons élèves commencent à échouer soudainement en algèbre et commencent à échouer soudainement en calcul, bien qu'ils soient intelligents, bien qu'ils aient de bons professeurs. C'est généralement parce qu'ils ont des lacunes grosses comme des trous de gruyère qui continuent de s'élargir le long de leurs fondations. Notre modèle consiste à apprendre les maths comme vou ...
Het paradigma is dat we zoveel vragen genereren als jij nodig hebt tot je het concept snapt, tot je er 10 na elkaar goed hebt. Daar zijn de video's van de Khan Academy. Je krijgt tips, de stappen om het vraagstuk op te lossen als je niet w
eet hoe je het moet doen. Het paradigma is erg eenvoudig: 10 na elkaar goed, op naar de volgende. Het verschilt fundamenteel van wat tegenwoordig in de klas gebeurt. In een traditionele klas krijg je afwisselend huiswerk, lessen, huiswerk, lessen en dan een examen - een momentopname. Of je op dat examen 70 ha
alt of 80, 90 of 95 procent, de klas ...[+++]gaat door naar het volgende onderwerp. Zelfs voor de leerling die 95 procent haalde, geldt: wat was de 5 procent die hij niet kende? Misschien wist hij niet wat er gebeurt als je iets tot de nulde macht verheft. En dan bouw je daarop verder bij het volgende onderwerp. Dat is alsof je leert fietsen en ik je vooraf les geef, en je dan twee weken lang een fiets geef, en ik dan na twee weken terugkom en zeg: Even kijken. Jij hebt moeite met links afslaan. Je kan niet echt stoppen. Je bent een 80-procent-fietser. Dus zet ik een grote C-stempel op je voorhoofd en zeg ik: Hier is een eenwieler. Hoe belachelijk dat ook klinkt, dat is precies wat er gebeurt in onze klaslokalen tegenwoordig. Het idee is: als je verder doorspoelt en goede leerlingen plots problemen krijgen met algebra, en met analyse, ondanks het feit dat ze slim zijn en goede leerkrachten hebben, dan is het meestal omdat hun basis een Zwitserse kaas met gaten is. Ons model is dus: leer wiskunde zoals je alles leert, zoals je leert fietsen. Blijf op je fiets rijden. Val van die fiets. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
prochaine étape dans la résolution des problèmes mondiaux ->
Date index: 2022-08-12