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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «pouvait écouter » (Français → Néerlandais) :
On pouvait écouter ça toute la journée pas vrai? (Rires) Ok, voici la version à l'envers, voyez si vous pouvez entendre les messages cachés qui sont supposés être là-dedans. Vous avez compris quoi? (Le public: Satan) Michael Shermer: Satan? Ok, nous avons au moins Satan. Maintenant, je vais conditionner la partie auditive de votre cerveau en vous disant ce que vous êtes censés entendre, et donc, écoutez à nouveau. (Rires) (Applaudissements) Vous ne pouvez pas le rater quand je vous dis ce qu'il y a à entendre.
Sjonge, kan je hier niet de hele dag naar luisteren? (Lachen) OK, hier komt de achterwaartse versie. en luister of je de verborgen boodschappen kan horen die er zouden inzitten. Wat hoorde je? (Publiek: Satan) Michael Shermer: Satan? OK, we hadden tenminste Satan. Nu ga ik het auditief gedeelte van jullie brein prikkelen om te horen wat je had moeten horen, en dan beluisteren we het opnieuw. (Lachen) (Applaus) Je kan het niet missen als ik het je voorkauw.
On pouvait écouter du son sur un ordinateur.
Geluid op de computer.
Elle m'a demandé si elle pouvait écouter ce qu'elle appelait ma musique tribale , et fut par conséquent très déçue quand j'ai sorti ma cassette de Mariah Carey.
Ze vroeg of ze naar muziek van mijn stam kon luisteren, en was bijgevolg erg teleurgesteld toen ik mijn Mariah Carey-cassette afspeelde.
Ils avaient des micros en eau profonde, ou hydrophones, reliés à la côte, et tous connectés à un central qui pouvait écouter les sons de tout l'Atlantique Nord.
Het bestond uit onderwatermicrofoons, hydrofoons, die verbonden waren met een centrale waar geluid uit de hele Noord-Atlantische Oceaan gehoord kon worden.
A l'époque ottomane, il y avait des conteurs itinérants appelés les meddah. Ils allaient dans des cafés, où ils racontaient une histoire devant un auditoire, en improvisant souvent. Avec chaque nouvelle personne dans l'histoire, le conteur changeait sa voix, imitant ce personnage. Tout le monde pouvait aller écouter, vous voyez - des gens ordinaires, même le sultan, les musulmans et les non-musulmans.
In de Ottomaanse tijden waren er rondtrekkende vertellers, zogenaamde meddah . Ze gingen naar koffiehuizen waar ze een verhaal vertelden voor een publiek, vaak al improviserend. Voor elk nieuw personage in het verhaal veranderde de meddah zijn stem, om het personage gestalte te geven. Iedereen kon gaan luisteren: gewone mensen, zelfs de sultan, moslims en niet-moslims.
On pouvait donc rouler dans la montagne en écoutant à plein volume The Police sur son nouveau Walkman Sony.
Dus je kon rijden in de bergen en The Police luidkeels laten klinken op de nieuwe Sony Walkman.
Lorsqu'on l'évoque au sein d'un débat, les gens le rejettent aussitôt sous prétexte qu'il n'est pas pertinent. Ils rétorquent : « Dans « 1984 », il y avait des caméras dans les foyers, les gens étaient observés à chaque instant, rien à voir avec le régime de surveillance auquel nous sommes confrontés.» Ceci est en fait une grossière méprise des avertissements lancés par Orwell dans « 1984 ». Le danger qu'il pointait n'était pas un régime de surveillance qui contrôle tout le monde à tout instant, mais un état où les gens ont conscience qu'ils peuvent être surveillés à tout moment. Voici comment le narrateur d'Orwell, Winston Smith, décrit le système de surveillance auquel il est confronté : « Évidemment, il n'y avait aucun moyen de savoir si
...[+++], à un moment donné, on était surveillé. » Il continue en disant : « Ils pouvaient nous mettre sur écoute quand ils le voulaient. On devait vivre, on vivait, l'habitude est devenue instinct, en admettant que tout son émis pouvait être entendu et, sauf dans l'obscurité, tout mouvement scruté. » Les religions abrahamiques prêchent, elles aussi, qu'il existe une autorité invisible et omnisciente qui, du fait de son omniscience, observe constamment ce que l'on fait, ce qui signifie que l'on n'a jamais de moment d'intimité : le moyen ultime d'imposer l'obéissance à leurs préceptes.
Als je het vermeldt in een debat over toezicht, wijst men het meteen af als niet-toepasselijk, want in '1984' stonden er monitors in de huizen van de mensen, ze stonden voortdurend onder toezicht, en dat heeft niets te maken met de toezichtsstaat die wij kennen. Dat is een fundamentele misvatting over de waarschuwingen van Orwell in '1984'. Die waarschuwing ging over een toezichtsstaat die niet iedereen altijd volgde, maar waarin mensen wisten dat ze altijd konden gevolgd worden. Dit is de beschrijving door Orwell's verteller, Winston Smith, van het toezichtssysteem in kwestie: Je kon natuurlijk niet weten of je op een bepaald moment bekeken werd. Hij gaat verder: Ze konden jouw systeem aanzetten naar eigen goeddunken. Je moest leven, en da
...[+++]t deed je, op basis van een gewoonte die een instinct werd, in de veronderstelling dat elk geluid dat je maakte, afgeluisterd werd en elk moment bekeken, behalve als het donker was. De Abrahamitische godsdiensten poneren op dezelfde manier dat er een onzichtbare, alziende overheid is die in haar alwetendheid altijd ziet wat je doet, waardoor je nooit een privé-moment hebt, wat de ultieme manier is om gehoorzaamheid af te dwingen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
pouvait écouter ->
Date index: 2022-11-25