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Vertaling van "pour une somme qui aujourd " (Frans → Nederlands) :
Ce n'est qu'à notre époque que la course est devenue associée à la peur et à la douleur. Géronimo disait que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo ne disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une semaine ou je dois faire des exercices différents. Je n'ai pas
fait de yoga. Je ne suis pas prêt. De tout temps, les humains ont couru enc
ore et enc ...[+++]ore. Nous sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos ancêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon besto
nd uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan een vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem deze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend. We zijn nu hier. We h
...[+++]ebben onze digitale technologie. Al onze wetenschap stamt uit het feit dat onze voorvaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voeten en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien. Adrian Kohler : Donc, nous sommes ici aujourd'hui pour parler de l'évolution d'une marionnette de cheval.
Adrian Kohler: We zijn hier vandaag om over het ontwikkelingsproces van een paardenmarionet te praten.
Nous somme confrontés aujourd'hui à l'un des plus grands défis de toute l'histoire de l'Humanité : le besoin de nourrir 9 milliards de personnes et ce, de manière durable, équitable et juste, et en protégeant en même temps notre planète pour cette génération et les suivantes.
We worden vandaag geconfronteerd met een van de grootste uitdagingen in de menselijke geschiedenis: de noodzaak om negen miljard mensen te voeden en wel duurzaam, billijk en rechtvaardig. En tegelijkertijd van onze planeet bewaren voor deze en toekomstige generaties.
Jeanny Yao : Miranda et moi, nous sommes ici aujourd'hui parce que nous aimerions vous expliquer comment nos accidents ont permis de faire des découvertes.
Jeanny Yao: Miranda en ik zijn hier vandaag om jullie te vertellen hoe onze ongelukken tot ontdekkingen hebben geleid.
Phyllis Rodriguez : Nous en sommes là aujourd’hui parce que nous entretenons une amitié considérée étrange par la plupart des gens.
Phyllis Rodriguez: Wij zijn hier vandaag vanwege onze, in de ogen van de meeste mensen, ongewone vriendschap.
C'est l'équivalent de ce à quoi nous sommes confrontés aujourd'hui.
Dat is het equivalent van wat we nu tegemoet zien.
Donc, ça c'est un problème philosophique
. Mais aujourd'hui, pour mon intervention, je vais supposer que la plupart des personnes dans ce public ont une conscience, et que je n'ai pas besoin de m'en soucier. Il y a un second problème qui nous est plus familier en tant que parents, professeurs, conjoints, et romanciers. Qui est, Pourquoi est-ce si difficile de savoir ce que l'autre veut ou croit ? Ou peut-être une question plus pertinente, Pourquoi est-ce si difficile de changer ce que l'autre veut ou croit ? Je pense que ce sont les romanciers qui le disent le mieux. Comme Philip Roth, qui a dit, Cependant, que pouvons-nous faire à propos
...[+++] de ce problème d'une importance si terrible, le problème des autres personnes? Nous sommes tous si mal équipés pour imaginer la vie intérieure et les objectifs invisibles les uns des autres. Alors en tant que professeur, et en tant qu'épouse, c'est, bien sûr, un problème auquel je suis confrontée tous les jours. Mais en tant que scientifique, je m'intéresse à un problème différent au sujet des autres, et c'est celui que je vais vous présenter aujourd'hui.
Dus dat is een probleem in
de filosofie. Maar voor vandaag neem ik aan dat velen in dit publiek een geest hebben en dat ik me hierover geen zorgen hoef te maken. Er is een tweede probleem dat ons misschien even bekend voorkomt als ouders en leraren en echtgenoten en schrijvers. En dat is: Waarom is het zo moeilijk om te weten wat iemand wil of denkt? Of misschien, meer relevant, Waarom is het zo moeilijk om te veranderen wat iemand wil of denkt? Ik denk dat schrijvers dit het best stellen. Zoals Philip Roth, die zei: En nu, wat gaan we doen aan deze verschrikkelijk belangrijke zaak van andere mensen? We zijn allemaal zo slecht uitgerust
...[+++]om elkaars interne werking en onzichtbare doelen in te beelden. Dus als een lerares en als een echtgenote, is dit, natuurlijk, een probleem waarmee ik elke dag geconfronteerd wordt. Maar als wetenschapper, ben ik geïnteresseerd in een heel ander probleem van andere geesten, en dat is wat ik vandaag ga introduceren.N
ous sommes tous nés. Nous apportons nos enfants dans ce monde. Nous procédons à des rites d'initiations. Nous devons faire face à la séparation inexorable de la mort, cela ne devrait donc pas nous surprendre que nous chantions, nous dansions, nous sommes tous des artistes. Par contre, la cadence exceptionnelle de la chanson est intéressante, le rythme de la danse dans toutes les cultures. Et que ce soit le Penan dans les forêts du Bornéo, ou les acolytes Voodoo à Haïti, ou bien les guerriers dans le désert du Kaisut au nord du Kenya, le Curendero dans les montagnes des Andes, ou bien un caravansérail en plein milieu du Sahara. A propos, c'est la personne av
...[+++]ec qui j'ai voyagé dans le désert il y un mois, ou effectivement, le gardien de troupeau de Yaks sur les flancs du Qomolangma, l'Everest, la déesse du monde. Tous ces peuples nous enseignent qu'il y a d'autres façons d'être, d'autres façons de penser, d'autres manières de s'orienter sur Terre. Et ceci est une idée, si on y réfléchit, qui ne peut que vous remplir d'espoir. Aujourd'hui, les innombrables cultures dans le monde constituent un tissu de vie spirituelle et culturelle qui enveloppe la planète, et qui est aussi important pour le bien-être de la planète que l'est également le tissu biologique de la vie que vous connaissez en tant que biosphère. Et vous pourriez considérer ce tissu culturel de la vie en tant qu'ethnosphère et vous pourriez définir l'ethnosphère comme étant la somme globale de toutes les pensées, les rêves, les mythes, les idées, les inspirations, les intuitions engendrées par l'imagination humaine depuis l'aube de la conscience.
Worden geboren. Brengen kinderen ter wereld. We maken al
len inwijdingsrites door. Omgaan met de onverbiddelijke scheiding door de dood. Het kan dus geen verrassing zijn dat we allen zingen, dansen en kunst hebben. Maa
r interessant is de unieke kadans van het lied en het ritme van de dans in elke verschillende cultuur. Of dat nu gaat om de Penan in de wouden op Borneo, of de Voodoo-acolieten in Haïti, of de strijders in de Kaisut-woestijn in Noord-Kenia, de Curandero in het Andes-gebergte of de Caravanserai in het hart van de Sahara. -
...[+++]- Dit is de man met wie ik reisde door de woestijn, een maand geleden. -- of nu een yakherder op de hellingen van Qomolangma, Everest, de godin-moeder van de wereld. Zij leren ons allemaal dat we anders kunnen zijn, anders kunnen denken, ons anders op aarde kunnen oriënteren. Als je erover nadenkt, kan dit idee je alleen maar hoop geven. Samen vormen de ontelbare culturen ter wereld een web van spiritueel en cultureel leven dat de planeet omhult en voor haar net zo belangrijk is als het biologische levensweb: de biosfeer. Dit culturele levensweb kun je je voorstellen als een etnosfeer. De etnosfeer kun je definiëren als het totaal van alle gedachtes, dromen, mythes, ideeën, inspiraties en intuïties die voortgebracht zijn door de menselijke verbeelding sinds het begin van ons bewustzijn.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive
». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégi
e et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie
, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Ecrire ce genre de choses n'est pas accepté
dans les classes d'aujourd'hui. Alors c'était la première raison: les politiques de tolérance zéro et la façon dont elles ont dégénéré. L'autre raison qui explique le fait que la culture des garçons ne soit pas en phase avec la culture de l'école: il y a moins de professeurs masculins. Tous ceux qui ont plus de 15 ans ne savent pas ce que cela signifie, parce que durant les 10 dernières années, le nombre d'enseignants dans les classes d'école primaire a été divisé par deux. Nous
sommes passés de 14 pour ...[+++] cent à 7 pour cent. Cela signifie que 93 pour cent des enseignants dont héritent nos jeunes garçons en primaire sont des femmes. Alors maintenant, quel est le problème? Les femmes sont super. Oui, absolument. Mais des modèles de rôle pour les garçons qui disent que c'est bien d'être intelligent -- ils ont des pères, ils ont des pasteurs, ils ont des leaders de groupe scout, mais en fin de compte, six heures par jour, cinq jours par semaine, ils passent leur temps dans une salle de classe. Et la plupart de ces salles de classe sont des endroits dépourvus de présence masculine. Et alors ils disent, je suppose que ce n'est pas vraiment un endroit pour les garçons.
D
it soort dingen hoor je tegenwoordig niet te schrijven op school. Dus dat is de eerste reden: een nultolerantiebeleid en hoe het wordt nageleefd. De volgende reden dat jongenscultuur niet aansluit op schoolcultuur: er zijn minder mannelijke leraren. Iedereen die ouder is dan 15 weet niet wat dit betekent, want in de laatste 10 jaar, is het aantal onderwijzers op de basisschool gehalveerd. Het ging van 14 procent naar zeven procent. Dat betekent dat 93 procent van
de leraren van wie onze jongemannen les krijgen op de basisschool vrouw
...[+++]en zijn. Maar wat is het probleem daarmee? Vrouwen zijn geweldig. Ja, absoluut. Maar mannelijke rolmodellen voor jongens, die zeggen dat het prima is om slim te zijn -- ze hebben vaders, ze hebben pastoors, ze hebben scoutsleiders, maar uiteindelijk zitten ze zes uur per dag, vijf dagen per week op school. En op de meeste scholen lopen geen mannen rond. En dus zeggen ze, volgens mij is dit geen plek voor jongens. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
pour une somme qui aujourd ->
Date index: 2024-01-27