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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «pour un éditeur » (Français → Néerlandais) :
J'ai appelé l'éditeur et demandé Qu'est ce qui se passe ? Comment est-ce possible ? L'éditeur a répondu, avec un dédain énorme, Je l'ai lu. Et nous n'allons pas le publier, parce que nous ne publions que ce qui a rapport avec la science . Et c'est un problème important parce que ça veut dire que nous devons, en tant que société, penser à c
e qui est important pour nous. Et si c'est juste les journaux et les publications scientifiques, nous avons un problème. Voici un autre exemple de quelque chose qui ... C'est un petit spectrophotomèt
...[+++]re. Cela mesure l'absorption de la lumière dans un échantillon. Ce qui est bien, c'est que vous avez une source lumineuse qui s'allume et s'éteint à 1.000 Hertz. Et une autre source lumineuse qui détecte cette lumière à 1.000 Hz. Et donc, vous pouvez utiliser ce système en plein jour.
Ik belde de redacteur en ik zei: Wat is er aan de hand? Hoe is dit mogelijk? De redacteur zei, met enorme minachting: Ik heb het gelezen. We gaan het niet publiceren, omdat we alleen wetenschap publiceren. Dit is een belangrijke kwestie omdat het betekent dat we, als samenleving, moeten nadenken over wat we waarderen. Als dat alleen maar papers en Physical Review Letters zijn hebben we een probleem. Hier nog een ander voorbeeld. Dit is een kleine spectrofotometer. Hij meet de lichtabsorptie in een monster. Het leuke hiervan is dat je een lichtbron hebt die aan en uit flikkert met een frequentie van 1000 hertz. Een andere lichtbron detect
...[+++]eert dat licht bij 1000 hertz. Je kunt dit systeem dus op klaarlichte dag gebruiken. Le Dallas Morning News a gagné un Prix Pulitzer en 1994 pour une série d'articles sur les femmes dans le monde, mais une des journalistes m'a dit qu'elle était convaincue que cela ne serait jamais arrivé s'ils n'avaient pas eu une assistante éditeur étrangère, et qu'ils n'auraient pas eu quelques uns de ces sujets sans des journalistes et éditeurs femmes sur le terrain, une en particulier sur les mutilation génitales des femmes. Les hommes ne seraient pas admis dans ces situations.
De Dallas Morning News won in 1994 een Pulitzer voor een reeks over vrouwen over de hele wereld. Eén van de verslaggevers zegde me dat ze overtuigd was dat dit niet zou zijn gebeurd zonder de vrouwelijke assistent-redacteur buitenland, en dat ze bepaalde verhalen niet zouden hebben gekregen zonder vrouwelijke reporters en redacteurs ter plekke, vooral dat over vrouwenbesnijdenis. Mannen zouden niet toegelaten zijn in die situaties.
J'ai ouvert un studio et j'ai essayé d'être publié. J'envoyais mes livres. J'envoyais des centaines de
cartes postales aux éditeurs et aux directeurs artistiques, mais il n'y avait aucune réponse. Et mon grand-père m'appelait toutes les semaines, et disait : « Jarrett, comment ça avance ? Est-ce que tu as un job ? » Parce qu'il avait investi une grosse somme d'argent dans mes études universitaires. Et je disais : « Oui, j'ai un job. J'écris et j'
illustre des livres pour enfants. » Et il disait : « Eh bien, qui te paie pour ça ? » Et j
...[+++]e répondais : « Personne. Personne pour le moment. Mais je sais que ça va arriver. » J'avais l'habitude de travailler le week-end à la programmation saison creuse de Hole in the Wall pour faire un peu d'argent tout en essayant de me lancer, et ce gamin qui était hyper-chargé d'énergie, j'ai commencé à l'appeler « Monkey Boy » (garçon-singe). Je suis rentré à la maison et j'ai écrit un livre appelé « Bonne nuit, Monkey Boy ». Et j'ai envoyé un dernier lot de cartes.
Ik begon een studio en probeerde een uitgever te vinden. Ik verstuurde mijn boeken. Ik stuurde honderden briefkaarten naar redacteuren en art directors, maar die werden niet beantwoord. Mijn opa belde mij elke week, en vroeg dan: Jarret, hoe gaat het? Heb je al een baan? Want hij had net een grote som geld geïnvesteerd in mijn universitaire opleiding. Want hij had net een grote som geld geïnvesteerd in mijn universitaire opleiding. Dan zei ik: Ja, ik heb een baan. Ik schrijf en illustreer
kinderboeken. Hij zei: Maar wie betaalt je daarvoor? Ik zei: Op dit moment nog niemand. Maar ik weet dat het gaat gebeuren. Ik zei: Op dit moment nog n
...[+++]iemand. Maar ik weet dat het gaat gebeuren. Ik werkte in de weekends bij Hole in the Wall in het laagseizoenprogramma om wat bij te verdienen terwijl ik van de grond probeerde te komen. Een van de kinderen was zo hyperactief dat ik hem Monkey Boy noemde (Apenjoch) Een van de kinderen was zo hyperactief dat ik hem Monkey Boy noemde (Apenjoch) Thuisgekomen schreef ik een boek met als titel: Welterusten, Apenjoch . Ik verstuurde een laatste stapel kaarten.Chaque fois que rentre chez moi, je fais face aux habituelles
causes d'irritation pour la plupart des Nigérians: notre infrastructure en échec, notre gouvernement en échec. Mais je vois aussi la ténacité incroyable des gens qui s'épanouissent malgré le gouvernement, plutôt que grâce au gouvernement. Chaque été, j'anime des ateliers d'écriture à Lagos. Et je trouve formidable le nombre de personnes qui s'inscrivent, le nombre de personnes qui ont hâte d'écrire, pour raconter des
histoires. Avec mon éditeur nigérian, nous venons de lanc
...[+++]er une ONG qui s'appelle Farafina Trust. Et nous avons de beaux rêves de construire des bibliothèques et de rénover celles qui existent déjà. Nous allons fournir des livres aux écoles gouvernementales qui n'ont rien dans leurs bibliothèques. Nous voudrions aussi organiser plein d'ateliers de lecture et d'écriture, pour toutes les personnes qui ont envie de raconter nos nombreuses histoires.
Telkens ik thuis ben, word ik geconfronteerd met de gebruikelijke oor
zaken van irritatie voor de meeste Nigerianen: onze gebrekkige infrastructuur, onze mislukte regering. Maar ook met de ongelofelijke veerkracht van de mensen die opbloeien ondanks de overheid, eerder dan dankzij. Elke zomer geef ik schrijfworkshops in Lagos. Het is ongelofelijk hoeveel mensen zich ervoor opgeven, hoeveel mensen popelen om te schrijven, om verhalen te vertellen. Mijn Nigeriaanse uitgever en ik hebben net een stichting opgezet die Farafina Trust heet. We hebben grootse plannen om bibliotheken te bouwen en bestaande bibliotheken te renoveren, en boeken te
...[+++]voorzien voor openbare scholen die niks in hun bibliotheken hebben staan, en ook heel veel workshops te organiseren, over lezen en schrijven, voor alle mensen die hongerig zijn om onze vele verhalen te vertellen.Alors on s'est dit, On aura to
us ces écrivains et éditeurs et tout le monde - une espèce de communauté d'écrivains venant au bureau tous les jo
urs de toute façon, pourquoi nous n'ouvrons pas tout simplement l'entrée de l'immeuble pour qu'ils viennent après l'école, recevoir de l'aide supplémentaire pour leurs devoirs écrits, et donc essentiellement ne plus avoir de barrière entre ces deux communautés ? Et donc l'idée c'était que l'on pouvait travailler sur ce qu'on était en train de faire, mais à 14h30 les élèves débarquent et on arrê
...[+++]te de faire ce qu'on fait, ou on l'échange, ou on travaille un peu plus tard après ou quoi que ce soit.
Dus dachten wij: We hebben straks al die schrijvers en redacteuren enzo -- een soort schrijfgemeenschap die toch elke dag op kantoor komt, waarom openen we niet gewoon de voordeur voor leerlingen zodat die daar na schooltijd extra hulp kunnen krijgen met hun schrijftaken, op die manier is er geen barrière tussen die twee gemeenschappen. Het idee was dus dat we zouden werken waaraan we aan het werk waren, om 14.30 stromen de leerlingen binnen en leg je neer waar je mee bezig bent, of je ruilt of je doet het later op de dag of wat dan ook.
Et j'étais très content de cette idée. J'allais parler un peu de recherche, un peu de cuisine. Vous savez, nous faisons tellement de choses dans la cuisine, je pensais que ce serait intéressant. Et j'ai écrit quelques chapitres. Et je les ai présentés aux éditions MIT qui m'ont dit, C'est mignon
, mais ce n'est pas pour nous, Cherchez un au
tre éditeur. J'ai essayé auprès d'autres gens, et tous m'ont dit la même chose, Mignon. Pas pour nous. Jusqu'à ce que quelqu'un me dise, Ecoutes. Si tu es sérieux avec ce truc, il faut d'abord que tu écrives un livre sur
...[+++] tes recherches. Tu dois publier quelque chose. Et ensuite, tu auras l'occasion d'écrire quelque chose d'autre. Si c'est vraiment ce que tu veux faire, il faut le faire comme cela. Alors j'ai dit, Mais je n'ai pas vraiment envie d'écrire sur mes recherches.
En ik was hier erg enthousiast over. Ik zou het een beetje hebben... ... over onderzoek, een beetje over de keuken. Weet je, we doen zo veel in de keuken, ik dacht dat het interessant zou zijn.
Dus ik schreef een paar hoofdstukken, en ik bracht het naar de MIT uitgeverij en die zeiden Schattig, maar niks voor ons. Zoek maar iemand anders. Ik probeerde het bij andere uitgeverijen en ze zeiden allemaal hetzelfde Schattig, niks voor ons. . Totdat iemand zei: Luister, als je dit serieus wil, moet je eerst een boek over je onderzoek schrijven. Je moet iets publiceren. en dan krijg je de kans om iets anders te schrijven. als je het echt wil, m
...[+++]oet je dat doen. Dus ik zei Maar ik wil helemaal niet over mijn onderzoek schrijven.C'est du jamais vu, à la fois pour nous l'éditeur et pour l'auteur.
Dat is ongehoord, voor ons, de uitgever, en voor de auteur.
Et je veux que tu arrêtes de dire ça. » Il y a environ 20 ans, mes éditeurs au New York Times Magazine m'ont demandé d'écrire un article sur la culture sourde. Et j'en suis resté déconcerté. Je n'avais pensé à la surdité qu'en tant que maladie. Ces pauvres gens qui ne pouvaient pas entendre. Ils avaient cette surdité, que pouvions-nous faire pour eux ?
Hou alsjeblieft op dat te zeggen. Twintig jaar geleden, werd me door NY Times Magazine gevraagd te schrijven over de dovencultuur. Ik was vrij onthutst. Ik zag doofheid als een ziekte. Arme, dove mensen, wat konden we voor ze doen?
J'avais gagné un prix qui m'amenait à New York, pour y rencontrer des éditeurs, des agents et d'autres auteurs.
De prijs was een reis naar New York om topredacteurs, topvertegenwoordigers en andere auteurs te ontmoeten.
Ca me tue. Je ne plaisante pas. J'ai travaillé pour un éditeur de manuel, et en tant qu'écrivain, on me disait toujours de ne jamais utiliser d'histoire de plaisanterie, de langage séduisant, parce que mon travail pourrait ne pas être pris au sérieux et comme scientifique . N'est-ce pas ? Je veux dire, parce que Dieu interdit à quelqu'un de s'amuser quand on étudie les sciences. Donc nous avons ce domaine scientifique qui concerne les gelées, et les changements de couleurs. Regardez.
Ik knap erop af. Ik meen het. Ik heb gewerkt voor een educatieve uitgeverij. Ze vroegen me altijd om geen verhalen of leuke, boeiende taal te gebruiken, omdat mijn werk dan niet kan worden beschouwd als ‘ernstig’ en ‘wetenschappelijk’. Je mag dus geen plezier beleven aan het leren van wetenschap. Er is een domein in de wetenschap waar alles draait om slijm en kleuromslagen. Kijk maar.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
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Date index: 2022-09-27