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Vertaling van "pour dire nous " (Frans → Nederlands) :
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le
général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégi
e et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie
, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar
. Of in 2007, Espen Eide ...[+++], de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Bon, je me disperse, là. NM : Non, je veux que tu leur parles de Leahy. DL : Eh bien quoi, Leahy ? (Rires) NM : Dis leur ce que... DL : Elle veut
que je parle de ... Nous avons un groupe qui s'appelle Leahy. Il y a 11 frères et sœurs. Nous, e
uh... Qu'est ce que pourrais leur dire ? (Rires) Nous avons ouvert - NM : Pas un cabinet médical. DL : Pas un cabinet médical, oh non. Nous avons eu une grande chance. Nous avons fait la première partie de Shania Twain pendant deux ans, lors de sa tournée
...[+++]internationale. C'était génial pour nous, et maintenant, toutes mes sœurs se sont arrêtées pour avoir des bébés, et les garçons se marient tous, alors nous restons près de chez nous pour, je suppose, encore deux semaines. Qu'est-ce que je peux dire ? Je ne sais pas quoi dire, Natalie. Nous, euh ... (Rires) (Rires) NM : C'est ça, le mariage ? (Applaudissements) J'aime ça. (Applaudissements) (Rires) DL : Ah oui, ok, dans ma famille il y avait sept filles, quatre garçons, il y avait deux violons et un piano, et bien sûr nous nous battions tous pour jouer des instruments, alors papa et maman ont établi une règle selon laquelle on ne pouvait pas pour jouer quelqu'un d'un instrument. On devait attendre qu'il ait fini, alors bien sûr, ce qu'on faisait, c'est qu'on se mettait au piano, et et on ne le quittait même pas pour manger, parce qu'on ne voulait pas céder sa place à un frère ou une sœur, et ils attendaient encore et encore, et arrivait minuit, et vous étiez encore là au piano, mais c'était leur façon de nous amener à pratiquer.
Hoe dan ook, ik blijf maar doorbabbelen. NM: Nee, Ik wil dat je hen vertelt over Leahy. DL: Wat is er met Leahy? (Gelach) NM: Vertel ze gewoon wat -- DL: Ze wil dat ik vertel over -- We hadden een band genaamd Leahy. We waren met 11 broers en zussen. We, eh -- Wat zal ik ze vertellen (Gelach) We begonnen -- NM: Geen operaties. DL: Geen operaties, oh ja. We kregen een geweldige kans. We speelden tw
ee jaar lang in het voorprogramma van Shania Twain. Die internationale tournee was erg belangrijk voor ons. Al mijn zussen krijgen nu kinderen en de jongens gaan allemaal trouwen, dus we blijven dicht bij huis, denk ik, voor een aantal weken. Wa
...[+++]t moet ik zeggen? Ik weet niet wat ik moet zeggen, Natalie. Wij, eh...(Gelach) (Gelach) NM: Is dit waar het huwelijk over gaat? (Applaus) Ik vind het leuk. (Applaus) (Gelach) DL: Oh ja, oke, in mijn familie hadden we zeven meisjes, vier jongens, we hadden twee violen en één piano, en natuurlijk ruzieden we allemaal over wie er op de instrumenten mocht spelen, dus pa en ma hadden de regel geïntroduceerd dat we niemand het instrument af mochten pakken. Je moest wachten totdat ze klaar waren. Wat deden we dus? We gingen achter de piano zitten en je ging er niet eens af om te eten omdat je je plekje niet op wilde geven aan je broer of zus. Zij moesten wachten en wachten. Om middernacht zat je nog steeds achter de piano, maar het was hun manier om ons aan het oefenen te krijgen.Au Burundi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était
un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je su
is allée trouver le directeur de la prison, ...[+++]j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a dit : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar
een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was gee
n baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We
...[+++]kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...C'était le genre de combat et de choix pour lequel tout le monde ici, s'accorde à dire qu'il augmente le coût des soins de fin de vie, et des soins de santé pour nous tous. Et pour moi, pour nous, nous avons poussé le combat jusqu'à la limite, je n'ai jamais eu la possibilité de lui dire ce que je lui dit maintenant tous les jours : « Hey l'ami, c'était un sacré parcours. » Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous dire au revoir.
Het was het soort gevecht en het soort keuzes waarvan iedereen weet dat ze de kosten opdrijven van de zorg rond het levenseinde, en van de gezondheidszorg voor ons allen. En ik, of wij, gingen door tot het bittere einde. Ik heb nooit de kans gekregen om hem te zeggen wat ik nu bijna elke dag tegen hem zeg: Hey, maat, dat was me het ritje wel. We hebben nooit de kans gekregen om afscheid te nemen.
C'est là que ça se complique. Nous devons dire à nos filles et à nos collègues, nous devons nous dire à nous-mêmes de croire que nous avons eu 20/20, pour atteindre une promotion, pour nous asseoir à la table. Et nous devons le faire dans un monde où, pour elles, il y a des sacrifices qu'elle devront faire pour ça, même si ce n'est pas le cas pour leurs frères.
Dat maakt het ingewikkeld. We moeten onze dochters en collega's vertellen, we moeten onszelf verplichten te geloven dat we top zijn, dat we promotie willen, dat we aan tafel gaan zitten. We moeten het doen in een wereld waarin ze daar offers voor moeten brengen, zelfs als hun broers dat niet moeten.
Et bien j
e me contenterai de dire que nous nous sentions un peu écrasées par la testostérone.
Je ne suis pas ici pour vous dire que les hommes sont responsables de la crise et ce qui s'est passé dans mon pays. Mais je peux certainement vous dire que dans mon pays, tout comme à Wall Street et dans la City à Londres et ailleurs, les hommes sont les maîtres du jeu dans le secteur financier. Et ce genre de manque de diversité et de monotonie conduit à des problèmes désastreux. (Applaudissements) D
...[+++]onc nous avons décidé, un peu fatiguées de ce monde et aussi avec une impression profonde et viscérale que cela ne pouvait pas durer, de fonder une entreprise de services financiers basée sur nos valeurs. Et nous avons décidé d'incorporer des valeurs féminines dans le monde de la finance. Ça a fait froncer plus d'un sourcil en Islande. Nous n'étions pas connues comme des femmes femmes typiques en Islande jusque là. Alors c'était presque comme sortir du placard pour réellement parler du fait que nous étions des femmes et que nous croyons que nous avions des valeurs et une manière de faire des affaires qui seraient plus durables que ce que nous avions connu jusqu'alors.
Laat ik me beperken door te zeggen dat we ons nogal overrompeld voelden door testosteron. Ik wil hier niet zeggen dat mannen de schuld moeten krijgen voor de crisis en voor wat er gebeurde in mijn land. Maar ik kan jullie zeker vertellen dat in mijn land, eigenlijk net als op Wall Street en in de Londense City en elders, de mannen aan het roer stonden van het spel in de financiële sector. En dat gebrek aan diversiteit, die gelijkheid, dat leidt tot rampzalige problemen. (Applaus) Met de buik vol van die wereld besloten we, ook met een sterk onderbuikgevoel dat dit niet vol te houden was, om een bedrijf voor financiële diensten te starten
...[+++] op basis van onze waarden. We besloten vrouwelijke waarden toe te passen op de financiële wereld. Dat wekte nogal wat verbazing in IJsland. We stonden niet bekend als typische vrouwen-vrouwen tot dat moment in IJsland. Het was bijna alsof we uit de kast kwamen door het feit te benoemen dat we vrouwen zijn en dat we geloofden in onze verzameling waarden en in een bepaalde manier van zakendoen die duurzamer zou worden dan wat we tot dan toe hadden meegemaakt. Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abo
...[+++]rd, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen va
n dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door
deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsh
...[+++]eid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre?
Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humains dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un
...[+++] ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is:
Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch
...[+++] fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen.On s’est dit, plutôt que de faire sorti
r le texte complet, nous allons faire sortir des statistiques sur les livres. Prenez par exemple, « Une étincelle de bonheur ». Quatre mots ; on l’appelle quadri-gramm
e. Nous allons vous dire combien de fois un quadri-gramme en particulier est apparu dans les livres en 1801, 1802, 1803, jusqu’à 2008. Cela nous donne une série temporelle sur la fréquence avec laquelle cette phrase en particulier a été utilisée dans le tem
ps. Nous le faisons pour ...[+++] tous les mots et les phrases qui apparaissent dans ces livres, ce qui nous donne un tableau de deux milliards de lignes qui nous raconte les changements culturels. ELA : Donc ces deux milliards de lignes, nous les appelons les deux milliards d’n-grammes. Qu’est ce qu’ils nous disent? L’n-gramme individuel mesure les tendances culturelles. Prenons un exemple. Supposez que je sois épanoui, et demain matin je veux vous raconter comme j’étais bien. Je pourrai donc dire, « Yesterday, I throve. » [Hier j’étais épanoui] Sinon, je pourrai dire, « Yesterday, I thrived.» Laquelle devrais-je utiliser ?
We zeiden, in plaats van de hele tekst uitgeven, gaan we statistieken uitgeven over de boeken. Neem bijvoorbeeld A gleam of happiness . Vier woorden; we noemen dat een four-gram. We gaan laten zien hoe vaak een specifiek four-gram verscheen in boeken in 1801, 1802, 1803, tot en met 2008. Dat levert een tijdverloop
op van hoe frequent deze specifieke zin gebruikt werd. We doen dat met alle woorden en zinnen die in die boeken voorkomen, wat een lijst van twee miljard zinnen oplevert die laat zien hoe onze cultuur veranderd is. ELA: Die 2 miljard zinnen noemen we 2 miljard n-grams. Wat vertellen ze ons? De individuele n-grams meten culture
...[+++]le trends. Ik zal een voorbeeld geven. Stel dat ik geluk ervaar, en morgen vertel ik je daarover. Dan kan ik zeggen: Gisteren ervoer ik geluk. Of: Gisteren ervaarde ik geluk. Wat moet ik gebruiken?Bon, qu’avons-nous trouvé ? Qu’avons-nous trouvé dans ce gang
? Laissez-moi vous dire que nous avons eu un accès complet à tout le monde dans le gang. Nous avons pu le voir intégralement, de la base au sommet. Ils ont eu confiance en Sudhir, une confiance que jusqu’ici aucun chercheur, qu’aucun étranger au gang, n’avait jamais réussi à obtenir de ces gangs. À tel point qu’ils nous ont laissé consulter ce qui était
le plus intéressant pour moi : leur comptabi ...[+++]lité, les rapports financiers qu’ils tenaient. Et ils nous les ont fournis. Et pas seulement pour les étudier : nous pouvions aussi leur poser des questions sur leur contenu. Si je devais résumer rapidement, dans le peu de temps qu’il me reste, les conclusions qu’on peut tirer de ce gang, c’est que s’il fallait comparer le gang à une autre organisation, on pourrait dire qu’un gang, c’est comme McDonald’s. Malgré des différences évidentes, comme les restaurants McDonald’s D’abord, d’une manière qui n’est peut-être pas la plus intéressante, mais qui permet de poser des bonnes bases, dans son organisation. Dans la hiérarchie du gang, ce à quoi il ressemble. Voici donc à quoi ressemble l’organigramme du gang.
Wat waren onze bevindingen? Wat vonden we in de bende? Laat me één ding zeggen, we hadden toegang tot echt iedereen in de bende. We hebben een kijkje kunnen nemen in de bende, van de laagste ranken tot de top. Zij vertrouwden Sudhir, zoals geen enkele academicus ooit - of andere buitenstaander - ooit het vertrouwen heeft kunnen winnen van deze bendes, tot aan het punt waar zij openstelden wat he
t meest interessant voor mij was: hun boeken, de financiële verslagen die zij bijhielden. En uiteindelijk stelden zij die beschikbaar voor ons
...[+++]. We konden ze niet alleen bestuderen, maar we konden ook vragen stellen over wat er in stond. Dus als ik het allemaal heel snel samenvat in de korte tijd die ik heb, wat ik heb meegenomen uit de ervaringen met de bende, is dat als ik een parallel moet trekken tussen de bende en elke andere organisatie, dan zou het zijn dat de bende is als McDonald's. Op heel veel manieren, net als McDonald's. Ten eerste, is op een bepaalde manier, misschien niet de meest interessante, maar het is een goede manier om te beginnen, is de manier waarop het is georganiseerd. De hiërarchie van de bende, de manier waarop ze eruit ziet. Dus dit is hoe een organigram van hoe de bende eruit ziet. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
pour dire nous ->
Date index: 2021-09-17