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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «peur et elle se demandait si je » (Français → Néerlandais) :
Et elle a dit, Je suis vraiment angoissée, je viens de déménager dans une nouvelle ville, j'ai ce nouveau boulot, et je suis juste incroyablement anxieuse. Et elle avait vu la chanson J'ai peur et elle se demandait si je pouvais faire quelque chose.
Ze zei: Ik ben echt bang, ik ben pas verhuisd, heb een nieuwe baan, en ik heb een hoop angsten. Ze had het Bang -lied gezien en vroeg of ik iets kon doen.
Et elle ne savait pas ce qu'il se passait. Elle se demandait si elle ne devenait pas folle, ou si elle ne perdait pas la boule. Et bien je l'ai examinée avec attention. Elle était une vieille dame à l'esprit vif. En parfaite santé. Elle n'avait aucun problème d'ordre médical.
En ze wist niet wat er aan de hand was. Ze vroeg zich af of ze gek aan het worden was, of haar geest achteruitging. Ik onderzocht haar zorgvuldig. Ze was een pientere oude dame. Mentaal volledig gezond. Zonder medische problemen.
Ma mère s'est battue, je suis restée avec elle, et toutes les nuits après la chimio elle me parlait, elle me parlait de ce gouffre devant elle, elle me parlait du froid dans ses os, elle me disait qu'elle avait peur, et elle se battait, et le lendemain, courageusement, elle me disait en se réveillant : « Chaque jour est une vie. » Et voyez-vous, les deux mois au final ont duré six ans.
Mijn moeder heeft zich geweerd. Ik ben bij haar gebleven. Elke nacht, na de chemo, sprak ze met mij. Ze sprak over de afgrond voor haar, over de kou in haar botten, ze zei me dat ze bang was, en ze weerde zich. Toen ze de volgende dag wakker werd, zei ze me dapper: Elke dag is een leven. En zie, die twee maanden duurden uiteindelijk zes jaar.
J'ai peur qu'elle pense que je suis un monstre. Je l'ai pris dans mes bras, bien entendu, et j'ai dit, ça va aller. Et il a dit, Je vais l'amener voir votre film.
Ik ben bang dat ze me een monster zal vinden. Ik omhelsde hem, natuurlijk, en ik zei: Het komt goed. Hij zei: Ik ga haar meenemen naar jouw film.
Et puis ils devaient me redresser le nez et ils ont pris des tiges et me les ont rentrées dans le nez et me les ont remontées jusqu'au cerveau à tel point que j'avais peur qu'elles ressortent par la tête et tout le monde disait que ça aurait dû me tuer, mais ce ne fut pas le cas ,car je pense que j'ai une grande endurance à la douleur.
En ze moesten m'n neus rechtzetten dus pakten ze die staven en schoven ze m'n neus in dwars door m'n hersens. Het voelde alsof ze uit de bovenkant van m'n hoofd kwamen, iedereen zei dat ik het m'n dood zou zijn geweest, maar dat was niet zo, vast omdat ik veel pijn kan verdragen.
Ils demandent aux gens dans les régions impaludées du monde : « Que pensez-vous du paludisme ? » Et la réponse n'est pas : « C'est une mal
adie mortelle. On a peur d'elle. » La réponse est : « Le paludisme est un problème ordinaire de la vie. » Et ça rejoint mon expérience personnelle. Quand j'ai dit à ma famille en Inde que j'écrivais un livre sur le paludisme, ils m'ont regardée un peu comme si je leur avais dit que j'écrivais un livre surles verrues ou quelque chose dans le genre. Du genre, pourquoi veux-tu écri
...[+++]resur un sujet aussi ennuyeux, aussi ordinaire ? Vous voyez ? Il s'agit vraiment de la perception du risque.
Zij vragen mensen in malariage
bieden: “Wat vinden jullie van malaria?” Ze zeggen niet: “Het is een levensbedreigende ziekte, we zijn er bang voor.” Maar wel: “Malaria is een probleem dat bij het leven hoort.” Dat was ook mijn persoonlijke ervaring. Toen ik mijn familie in India vertelde dat ik een boek over malaria aan het schrijven was, keken ze me aan alsof ik zei dat ik een boek over wratten of zo aan het schrijven was. “Waa
rom schrijf je over iets dat zo alledaags is?” “Waa
rom schrijf je over ...[+++]iets dat zo alledaags is?” Eigenlijk gaat het over het inschatten van risico's.(Rires) Les araignées, peut-être ? B
eaucoup de gens ont peur des araignées. Vous devriez avoir p
eur des araignées – elles sont terrifiantes et ont de longues jambes velues. Les araignées comme celle-ci, la recluse brune – c'est horrible. Si une recluse brune vous mord, vous développez une de ces horribles nécroses énormes à la jambe et il se pourrait qu'il y en ait une là tout de suite sur le fauteuil derrière vous. Comment savoir ? L'araignée vous tombe dessus, et vous contractez une grande panique parce que les araignées font p
eur. Mais ...[+++]vous vous demander s'il y a vraiment une recluse brune sur le fauteuil d'à côté. Je ne sais pas. Il y en a ici ? Si vous faites un peu de recherches, vous trouvez que dans le monde il y a environ 50 000 espèces différentes d'araignées et qu'à peu près deux douzaines sont venimeuses parmi ces 50 000. Si vous êtes au Canada, à cause des hivers froids, ici en Colombie-Britannique, il y a environ 720,730 espèces d'araignées et il y en a une – une seule – qui est venimeuse, et son venin n'est même pas mortel, c'est plutôt comme une méchante piqûre. Et cette araignée possède de magnifiques taches sur son dos, comme pour indiquer : je suis dangereuse, j'ai un gros symbole radioactif sur mon dos, c'est la veuve noire. Même si vous ne faites pas très attention, vous pouvez éviter de croiser une de ces araignées – elles vivent proche du sol, lorsque vous vous promenez, vous ne tomberez jamais sur une veuve noire qui va vous mordre. Elles ne tissent pas ce type de toile, elles les tissent plutôt dans des coins. On l'appelle « veuve noire » car la femelle dévore le mâle. Elle n'a que faire de vous. Alors en fait, la prochaine fois que vous rentrez dans une toile d'araignée vous n'avez pas besoin de paniquer et d'avoir une réaction primitive.
(Gelach)
Misschien zijn het spinnen. Velen zijn bang voor spinnen. En angst voor spinnen is goed -- ze zijn griezelig, met lange, harige benen. De vioolspin, bijvoorbeeld, is vreselijk. Als ze je bijt, krijg je een verschrikkelijke, necrotiserende wond op je been. Misschien zit er nu een vioolspin a
chter je stoel. Wie weet? Dus: er valt een spin op je, en je reageert heel spastisch want spinnen zijn eng. Maar hoe weet je nu of deze spin achter je zit? Ik weet het niet. Zijn hier vioolspinnen? Als je dit opzoekt, zul je vinden dat er w
...[+++]ereldwijd 50.000 soorten spinnen zijn, waarvan er zo'n twee dozijn giftig zijn van de 50.000. En omdat in Canada de winters zo koud zijn, heb je hier in Brits-Columbia ongeveer een 720, 730 soorten spinnen en er is er eentje -- ééntje -- die giftig is. Niet eens fataal. Het is gewoon een nare beet. Daarnaast waarschuwt deze spin je met duidelijke kleuren op zijn lijf: Ik ben gevaarlijk . Het is de zwarte weduwe. Dus als je al maar een klein beetje oplet kun je haar vermijden -- en ze leeft dicht bij de grond, dus als je gewoon loopt, loop je nooit tegen haar web aan. Deze spinnenwebben vind je beneden in een hoekje. En ze wordt zwarte weduwe genoemd omdat ze het mannetje opeet; ze is niet geïnteresseerd in jou. Dus in feite, de volgende keer dat je tegen een web oploopt, hoef je niet in paniek te raken als een holbewoner.Alors, je vais commencer par ceci : il y a deux ans, l'organisatrice d'un événement m'a téléphoné parce que je devais don
ner une conférence. Elle m'a appelé et m'a dit : J'ai vraiment du mal à trouver comment vous décrire sur notre petit p
rospectus. Et je me suis dit : Et bien, où est le problème ? Et elle m'a dit : Et bien, je vous ai déjà vu parler, et je vais vous désigner comme une chercheuse,
je crois, mais j'ai peur que si je vous dési ...[+++]gne comme chercheuse, personne ne vienne, parce que tout le monde pensera que vous êtes ennuyeuse et hors sujet. (Rires) Ok. Et elle a dit : Mais ce que j'ai aimé dans votre conférence, c'est que vous êtes une conteuse d'histoires. Alors je pense que ce que je vais faire, c'est juste dire que vous êtes une conteuse. Et bien sûr, mon côté universitaire, qui manque d'assurance, a dit : Vous allez dire que je suis quoi ?! Et elle a dit : Je vais dire que vous êtes une conteuse. Et moi : Et pourquoi pas fée Carabosse ? (Rires) J'ai fait : Laissez-moi réfléchir une seconde. J'ai essayé de rassembler tout mon courage.
Ik
begin hiermee: een paar jaar geleden belde een organisator van een evenement me omdat ik een lezing zou geven.
Ze belde en zei: Ik weet niet goed hoe ik over jou moet schrijven in de kleine flyer. Ik dacht: hoezo, je weet het niet? Ze antwoordde: Nou, ik zag je spreken en ik ga je een onderzoeker noemen, denk ik, maar ik ben bang dat er dan niemand komt. Ze z
ullen denken dat je saai en onbelangrijk ben ...[+++]t. (Gelach) Oké. Ze zei: Wat ik zo leuk vond aan jouw lezing is dat je een verhalenverteller bent. Dus ik denk dat ik je gewoon een verhalenverteller noem. En de academische, onzekere kant van mij zegt: Je gaat me wàt noemen? Ik ga je een verhalenverteller noemen. Ik dacht: Waarom niet de toverfee? (Gelach) Ik zeg: Laat me hier even over nadenken. Ik probeerde diep van binnen de moed te vinden.Mais je crois que la plus mauvaise peur est celle -- comme Samia, une femme de Bosnie, me l'a dit, qui a survécu le siège de quatre ans de Sarajevo. Elle a dit, La peur de perdre le Je en moi, la peur de perdre le Je en moi. C'est ce que ma mère en Irak avait l'habitude de me dire. C'est comme mourir de l'intérieur.
Volgens mij is de ergste angst de angst -- zoals Samia, een Bosnische vrouw, me ooit zei, die het vierjarige beleg van Sarajevo overleefde. Ze zei: De angst om de Ik in mezelf kwijt te geraken, de angst om de Ik in mezelf kwijt te geraken. Dat is wat mijn moeder mij in Irak vertelde. Het is als sterven van binnenuit.
Et lorsque je m’apitoyais sur moi-même, comme le font le
s filles de 10 ans, elle me disait : « Ma chérie, sur l’échelle des plus grandes tragédies du monde, la tienne n'atteint même pas trois. » (Rires) Et quand j’ai posé ma candidature à une école de commerce, en étant certaine de ne pas y arriver, aucune de mes connaissances n
’y était arrivé, je suis allé chez ma tante qui avait été
battue par son mari pendant des années et avait ...[+++] fini par échapper à un mariage de violences avec seulement sa dignité intacte. Et elle m'a dit : « Ne fais jamais tiennes les limitations des autres. » Et quand je me plaignais à ma grand-mère, une vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, qui a travaillé dans le cinéma pendant 50 ans, et qui m’a soutenu dès l’âge de 13 ans, quand je me plaignais d'avoir peur que si je refusais un pont en or chez ABC pour une bourse à l'étranger, je ne retrouverai jamais, jamais un autre boulot, elle me disait : « Ma petite, je vais te dire deux choses. Tout d’abord, personne ne dit non à un Fullbright, et deuxièmement, il y a toujours de la place chez McDonald’s. » (Rires) « Tu trouveras un emploi. Fais le grand saut. » Les femmes de ma famille ne sont pas des exceptions. Les femmes dans cette salle, et celles qui nous regardent à L.A., et partout dans le monde, ne sont pas des exceptions. Nous ne sommes pas un groupe d’intérêt.
Als ik medelijden had met mezelf, zoals 9 of 10 jaar oude meisjes wel eens plegen te doen, zegde ze tegen mij: Liefje, op een schaal van de grote wereldtragedie
s is jouw geval nog niet eens een drie. (Gelach) Toen ik me inschreef aan de businessschool en er zeker van was dat ik het niet aankon en niemand kende die het had gedaan, ging ik naar mijn tante die jaren door haar man was mishandeld en ontsnapt was aan een huwe
lijk vol geweld met alleen haar waardigheid intact. Ze vertelde me: Importeer nooit de beperkingen van andere mensen.
...[+++] Ooit ging ik klagen bij mijn grootmoeder, een Tweede-Wereldoorlogveteraan die 50 jaar lang voor de film werkte en me steunde van toen ik 13 was. Ik zei dat ik bang was dat als ik een droomjob bij ABC zou afslaan voor een beurs in het buitenland, ik nooit meer een andere baan zou vinden. Ze zei: Kindje, ik ga je twee dingen vertellen. Ten eerste, niemand scheept een Fulbright af en ten tweede, McDonald's werft altijd aan. (Gelach) Je vindt wel een baan. Riskeer het maar. De vrouwen in mijn familie zijn geen uitzonderingen. De vrouwen in deze kamer en toekijkend in L.A. en in de rest van de wereld zijn geen uitzonderingen. Wij zijn geen 'speciale gevallen'. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
peur et elle se demandait si je ->
Date index: 2021-09-17