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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «peu plutôt » (Français → Néerlandais) :
Il a dit, il vaut mieux souffrir tous un peu plutôt que quelqu’un ait à souffrir beaucoup, et le moral est remonté.
Hij vond het beter dat iedereen een beetje zou lijden dan dat sommigen van ons een hele hoop zou moeten lijden. Het moreel ging omhoog.
(Rires) Les araignées, peut-être ? B
eaucoup de gens ont peur des araignées. Vous devriez avoir peur des araignées – elles sont terrifiantes et ont de longues jambes velues. Les araignées comme celle-ci, la recluse brune – c'est horrible. Si une recluse brune vous mord, vous développez une de ces horribles nécroses énormes à la jambe et il se pourrait qu'il y en ait une là tout de suite sur le fauteuil derrière vous. Comment savoir ? L'araignée vous tombe dessus, et vous contractez une grande panique parce que les araignées font peur. Mais vous vous demander s'il y a vraiment une recluse brune sur le fauteuil d'à côté. Je ne sais pas. Il
...[+++]y en a ici ? Si vous faites un peu de recherches, vous trouvez que dans le monde il y a environ 50 000 espèces différentes d'araignées et qu'à peu près deux douzaines sont venimeuses parmi ces 50 000. Si vous êtes au Canada, à cause des hivers froids, ici en Colombie-Britannique, il y a environ 720,730 espèces d'araignées et il y en a une – une seule – qui est venimeuse, et son venin n'est même pas mortel, c'est plutôt comme une méchante piqûre. Et cette araignée possède de magnifiques taches sur son dos, comme pour indiquer : je suis dangereuse, j'ai un gros symbole radioactif sur mon dos, c'est la veuve noire. Même si vous ne faites pas très attention, vous pouvez éviter de croiser une de ces araignées – elles vivent proche du sol, lorsque vous vous promenez, vous ne tomberez jamais sur une veuve noire qui va vous mordre. Elles ne tissent pas ce type de toile, elles les tissent plutôt dans des coins. On l'appelle « veuve noire » car la femelle dévore le mâle. Elle n'a que faire de vous. Alors en fait, la prochaine fois que vous rentrez dans une toile d'araignée vous n'avez pas besoin de paniquer et d'avoir une réaction primitive.
(Gelach) Misschien zij
n het spinnen. Velen zijn bang voor spinnen. En angst voor spinnen is goed -- ze zijn griezelig, met lange, harige benen. De vioolspin, bijvoorbeeld, is vreselijk. Als ze je bijt, krijg je een verschrikkelijke, necrotiserende wond op je been. Misschien zit er nu een vioolspin achter je stoel. Wie weet? Dus: er valt een spin op je, en je reageert heel spastisch want spinnen zijn eng. Maar hoe weet je nu of deze spin achter je zit? Ik weet het niet. Zijn hier vioolspinnen? Als je dit opzoekt, zul je vinden dat er wereldwijd 50.000 soorten spinnen zijn, waarvan er zo'n twee dozijn giftig zijn van de 50.000. En omdat in
...[+++] Canada de winters zo koud zijn, heb je hier in Brits-Columbia ongeveer een 720, 730 soorten spinnen en er is er eentje -- ééntje -- die giftig is. Niet eens fataal. Het is gewoon een nare beet. Daarnaast waarschuwt deze spin je met duidelijke kleuren op zijn lijf: Ik ben gevaarlijk . Het is de zwarte weduwe. Dus als je al maar een klein beetje oplet kun je haar vermijden -- en ze leeft dicht bij de grond, dus als je gewoon loopt, loop je nooit tegen haar web aan. Deze spinnenwebben vind je beneden in een hoekje. En ze wordt zwarte weduwe genoemd omdat ze het mannetje opeet; ze is niet geïnteresseerd in jou. Dus in feite, de volgende keer dat je tegen een web oploopt, hoef je niet in paniek te raken als een holbewoner.C'est effrayant. Vous savez, je continue de parler de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la pr
écision, où l'on ne peut pas simplement raconter une histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces conteurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous donnent des détails dont tout le monde se fiche, du genre : Oh, j'ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portait ce jean très moche. Enfin, ce n'était pas vraime
nt un jean, c'était plutôt comme un, ...[+++] une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging. un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het waren niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.” Dan denk ik: “God!
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes
et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et
...[+++]puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen.
Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...La prochaine exposition sur laquelle je vais travailler - j'ai déjà embêté beaucoup d'entre vous avec ça - sera sur les relations entre le design et la science. J'essaye de trouver, non pas les métaphores mais plutôt les points communs : les mêmes inconvénients, les mêmes problématiques, les mêmes préoccupations. Je pense que ça nous permettrait d'aller un peu plus loin dans l'idée que le design est un mode d'emploi, une direction plutôt qu'une manière de prescrire.
De volgende tentoonstelling waar ik aan ga werken -- en ik heb al veel mensen hier ermee lastig gevallen -- gaat over de relatie tussen design en wetenschap. Ik probeer niet de metaforen te vinden maar liever de overeenkomsten: de gemeenschappelijk bezwaren, kwesties en zorgen. En ik denk dat het ons in staat zal stellen iets verder te gaan in het idee van design als een instructie, een richting, eerder dan het voorschrijven van een vorm.
Alors je me suis dit qu'aujourd'hui je ferai quelque chose d'un peu différent, et que j'allais parler de ce que l'on recherche, plutôt que, comment dire, plutôt que donner des exemples qui ont déjà fait leurs preuves.
Dus dacht ik, ik doe het eens anders, en vertel over wat we zoeken, in plaats van vertellen, in plaats van je de belegen antwoorden te geven.
Donc quand vous parlez d'apprentissage à rythme individuel, tout le monde comprend -- en termes d'éducation, d'apprentissage différ
encié -- mais c'est plutôt impressionnant de voir ça survenir dans une salle de classe. Parce qu'à chaque fois qu'on a fait cela, dans chaque classe, encore et encore, si vous y passez cinq jours, il y a un groupe d'enfants qui prend vite la tête et il y a un grou
pe d'enfants un peu plus lent. Et dans un modèle traditionnel, si vous faites une évaluation à un instant donné, vous diriez : « Voici les enfant
...[+++]s doués, voici les enfants lents. Peut-être devraient-ils être suivis différemment. Peut-être devrions-nous les mettre dans des classes séparées. » Mais quand vous laissez chaque élève travailler à son propre rythme -- et nous l'avons vu maintes et maintes fois -- vous voyez que les étudiants qui ont mis un peu plus de temps sur un concept ou un autre, une fois ce concept acquis, font directement la course en tête. Donc les mêmes enfants que vous pensiez êtres lents six semaines plus tôt, vous penseriez qu'ils sont désormais doués. Et nous le voyons sans arrêt, encore et encore. Cela vous fait vraiment songer que toutes les distinctions dont peut-être beaucoup d'entre nous ont profité n'étaient en fait que dues à une coïncidence temporelle.
Als je praat over leren op je eigen tempo, dan is dat zinvol voor iedereen -- in onderwijsjargon: gedifferentieerd leren -- maar het is nogal gek als je het in een klas ziet. Elke keer als we dit deden, in elke klas waarin we het deden, telkens opnieuw, zie je dat na vijf dagen een groep kinderen pijlsnel vooruitgaan en een groep kindere
n een beetje trager zijn. Als je in een traditioneel model een momentopname zou maken, zou je zeggen: Dat zijn de getalenteerde kinderen. Dat zijn de trage kinderen. Misschien moeten we ze anders opvolgen. Misschien moeten we ze in afzonderlijke klassen stoppen. Maar als je elke leerling op zijn eigen tem
...[+++]po laat werken -- we zien dat keer op keer -- dan zie je leerlingen die wat meer tijd besteedden aan het ene of het andere concept, maar als ze dat doorhebben, gaan ze pijlsnel vooruit. Dezelfde kinderen waarvan je 6 weken geleden dacht dat ze traag waren, zou je nu als begaafd beschouwen. We zien dat keer op keer. Het doet je echt bedenken hoezeer alle etiketten waarvan velen van ons hebben geprofiteerd, eigenlijk gewoon aan een toevallige momentopname te danken waren.Dans l'oc
éan, c'est la norme plutôt que l'exception. Si je plonge dans l'océan, pratiquement n'importe où dans le monde, et que je traine un filet à 3 000 pieds sous la surface, la plupart des animaux, en fait dans beaucoup d'endroits de 80 à 90 pour cent des animaux que je ramènerai dans ce filet créeront de la lumière. Et cela crée des spectacles de lumières vraiment spectaculaires. Maintenant je voudrais partager avec vous une petite vidéo que j'ai faite depuis un sous-marin. J'ai commencé à développer cette technique dans un petit sous-marin individuel appelé nomade des profondeurs et je l'ai ensuite adaptée pour l'utiliser à bord du
...[+++] Johnson Sea-Link, que vous voyez ici. Donc, il y a un panier d'un mètre de diamètre avec un écran tendu au travers attaché devant la sphère d'observation. Et à l'intérieur de la sphère j'ai une caméra hyper sensible qui est à peu près aussi sensible qu'un oeil humain adapté à l'obscurité, même si elle est un peu floue. Donc vous mettez la caméra en marche et vous éteignez les lumières. L'étincelle que vous voyez n'est pas de la luminescence ; c'est juste du bruit electronique capturé par ces appareils hyper sensibles. Vous ne voyez pas la luminescence avant que le sous-marin ne commence à évoluer dans l'eau, et quand il le fait, les animaux qui touchent l'écran sont stimulés et créent de la luminescence. Quand j'ai commencé à faire cela, j'essayais seulement de compter le nombre de sources. Je connaissais ma vitesse, je connaissais l'endroit. Donc je pouvais estimer combien de centaines de sources il y avait par mètre cube. Mais j'ai commencé à réaliser que je pouvais en fait identifier les animaux par le genre de flash qu'ils produisaient. Et donc, ici dans le golfe du Maine à 740 pieds, je peux quasiment nommer tout ce que vous voyez ici comme espèces,
In de oceaan is het eerder regel dan uitzonderi
ng. Als ik me op de open oceaan begeef, vrijwel overal ter wereld, en ik sleep een net van 900 meter naar de oppervlakte, zijn de meeste dieren, op veel plekken 80 tot 90 procent van de dieren die naar boven komen, lichtgevend. Dat staat garant voor behoorlijk spectaculaire lichtshows. Nu laat ik jullie een klein filmpje zien dat ik opnam vanuit een onderzeeër. Ik ontwikkelde deze techniek met een kleine éénpersoons duikboot genaamd Deep Rover, en heb haar toen aangepast voor de Johnson Sea-Link, die je hier ziet. Vóór de observatiekoepel is een ring van 90cm diameter met daarvoor een gaas g
...[+++]espannen. In de koepel heb ik een versterkte camera die ongeveer zo gevoelig is als een aan donker aangepast menselijk oog, alleen een beetje wazig. Dus je zet de camera aan, doet de lichten uit. Die glinstering die je ziet, is geen luminescentie; dat is elektronische ruis op deze geïntensiveerde camera's. Je ziet geen luminescentie totdat de onderzeeër begint te bewegen door het water, maar als hij dat doet, worden tegen het scherm botsende dieren gestimuleerd om licht te geven. Toen ik dit voor het eerst deed, probeerde ik enkel het aantal bronnen te het tellen. Ik kende mijn snelheid; ik kende het gebied. Dus kon ik uitrekenen hoeveel honderden bronnen er waren per kubieke meter. Maar ik begon te beseffen dat ik dieren kon identificeren door de soort flitsen die ze produceerden. Hier, in de Golf van Maine op 225 meter, kan ik vrijwel alles wat je ziet benoemen tot op soort-niveau,Je répands un petit peu de pétrole dans le golfe du Mexique, et je découvre, ou plutôt je confirme cette hypothèse : l’eau et l’huile ne se mélangent pas à moins qu’on ajoute un dispersant. À ce moment, elles commencent à se mélanger. Créez un peu de mouvement avec du vent et des vagues, et vous obtenez une saloperie. Une grosse saloperie impossible à nettoyer car on ne peut ni la toucher, ni l’extraire et, surtout -- c’est surtout cela qui compte, selon moi --, on ne peut pas la voir. Je crois qu’on cherche à dissimuler tout cela.
Ik knoeide wat met olie in de Golf van Mexico. En ik leerde --eigenlijk bevestigde ik de hypothese -- dat olie en water niet mengen tot je een oplosmiddel gebruikt. En dan beginnen ze wél te mengen. Je voegt wat energie toe van de wind en de golven. En je krijgt een grote rotzooi. een grote rotzooi die je onmogelijk kan schoonmaken, die je niet kan aanraken, niet kan extraheren en die je, volgens mij het belangrijkste, niet kunt zien. Ik denk dat hij met opzet wordt verborgen.
Une
autre possibilité, plus subtile, est qu'ils prennent du poids, et que cela change votre opinion de ce qu'est un poids acceptable. Et là, ce qui se propage d'une personne à l'autre, ce n'est pas un
comportement, mais plutôt une norme. Une idée se propage. Et puis les chroniqueurs se sont bien amusés avec notre étude. Je crois que le titre dans le New York Times était Vous vous empâtez ? La faute à vos amis gros ! Ce qu'on a trouvé intéressant, c'est que les chroniqueurs européens avaient une attaque différente, ils écrivaient Vos a
...[+++]mis prennent du poids ? C'est peut-être votre faute. (Rires) On a trouvé que c'était un commentaire très intéressant sur les USA, une attitude un peu égoïste, un peu du genre c'est pas de ma faute . Mais bon, je veux être clair là-dessus, on ne pense pas que notre travail devrait, ou pourrait, justifier le moindre préjugé envers les gens de tel ou tel poids.
E
en andere, meer subtiele mogelijkheid: zij beginnen te verdikken en dit verandert jouw opvattingen over wat een aanvaardbaar lichaamsgewicht is. In dit geval verspreidt een norm zich van persoon tot persoon, niet een gedrag. Een opvatting verspreidt zich. Schrijvers van krantenkoppen hadden een topdag aan ons onderzoek. ik denk dat de kop in de New York Times was: Ben je bijgekomen? De schuld van je dikke vrienden. (Gelach) Interessant voor ons was: de Europese krantenkoppen hadden een andere insteek. Zij schreven: Komen je vrienden bij? Misschien jouw schuld. (Gelach) Wij vonden dit een heel interessante commentaar op Amerika, een soor
...[+++]t eigenbelang, een van 'niet-mijn-verantwoordelijkheid'-verschijnsel. Ik wil heel duidelijk stellen dat wij niet denken dat ons werk een vooroordeel tegen mensen met wat voor gewicht dan ook, kan of mag goedpraten. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
peu plutôt ->
Date index: 2023-02-04