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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «nous était arrivé » (Français → Néerlandais) :
Et j'ai pensé: Wow, ça, c'est quelque chose qui doit être adopté par l'art cinématographique ». Alors, avec Terminator 2 , qui étai
t mon film suivant, nous avons poussé cela beaucoup plus loin. En travaillant avec ILM, nous avons créé le mec en métal liquide du film. Le succès tenait au fait que cet effet fonctionne ou pas. Et ça a marché. Et à nouveau nous avons créé la magie. Et nous avons eu le même résultat avec le public Même si nous avons fait un peu plus d'argent sur ce coup. Ainsi, en tirant un trait entre ces deux points d'expér
ience, ce à quoi on était arrivés ...[+++], que ça allait être un tout nouveau monde, c'était tout un nouveau monde de créativité pour les artistes du cinéma.
en ik dacht: Wow, dit is iets dat omhelsd moet worden in de filmkunst. Dus, met terminator 2 , wat mijn tweede film was, gingen we hier veel verder in. Werkend met ILM, creëerden we de vloeirbaar metalen gast in die film. Het succes hing ervan af of dat effect zou werken. En dat deed het. En we creëerden opnieuw magie. En we hadden hetzelfde resultaat met het publiek. Al verdienden we een beetje meer geld op die film. Dus, om een lijn te trekken tussen die twee punten van ervaring, leidde tot, dit wordt een hele nieuwe wereld, een hele nieuwe wereld van creativiteit voor filmartiesten.
Mais quand nous étions en transit à l'aéroport de Lisbonne prêt à s'envoler pour l'Angleterre, cette femme a vu ma mère porter cette robe qui avait été lavée tellement de fois qu'elle était pratiquement transparente, avec cinq enfants à l'air affamé, elle s'est approchée et lui a demandé ce qui nous était arrivé. Et elle lui expliqua. Et alors cette femme a vidé sa valisé et a donné tous ses vêtements à ma mère, et à nous les jouets de ses enfants qui n'avaient pas l'air d'apprécier, mais... (Rire) Ce fut l'unique fois où elle pleura.
Maar op het vliegveld van Lissabon, op weg naar Engeland, zag een vrouw mijn moeder een jurk dragen die zo vaak gewassen was dat je er doorheen kon kijken, met vijf hongerig kijkende kinderen. Ze kwam ons vragen wat er gebeurd was. Ze vertelde het. Deze vrouw leegde haar koffer en gaf al haar kleren aan mijn moeder en aan ons, en het speelgoed van haar kinderen, die dat niet leuk vonden, maar... (Gelach) Dat was de enige keer dat ze huilde.
Et lorsque je m’apitoyais sur moi-même, comme le font les filles de 10 ans, elle me disait : « Ma chérie, sur l’échelle des plus grandes tragédies du monde, la tienne n'atteint même pas trois. » (Rires) Et quand j’ai posé ma candidature à une école de commerce, en étant certaine de ne pas y arriver, aucune de me
s connaissances n’y était arrivé, je suis allé chez ma tante qui avait été battue par son mari pendant des années et avait fini par échapper à un mariage de violences avec seulement sa dignité intacte. Et elle m'a dit : « Ne fais jamais tiennes les limitations des autres. » Et quand je me plaignais à ma grand-
...[+++]mère, une vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, qui a travaillé dans le cinéma pendant 50 ans, et qui m’a soutenu dès l’âge de 13 ans, quand je me plaignais d'avoir peur que si je refusais un pont en or chez ABC pour une bourse à l'étranger, je ne retrouverai jamais, jamais un autre boulot, elle me disait : « Ma petite, je vais te dire deux choses. Tout d’abord, personne ne dit non à un Fullbright, et deuxièmement, il y a toujours de la place chez McDonald’s. » (Rires) « Tu trouveras un emploi. Fais le grand saut. » Les femmes de ma famille ne sont pas des exceptions. Les femmes dans cette salle, et celles qui nous regardent à L.A., et partout dans le monde, ne sont pas des exceptions. Nous ne sommes pas un groupe d’intérêt.
Als ik medelijden had met mezelf, zoals 9 of 10 jaar oude meisjes wel eens plegen te doen, zegde ze tegen mij: Liefje, op een schaal van de grote
wereldtragedies is jouw geval nog niet eens een drie. (Gelach) Toen ik me inschreef aan de businessschool en er zeker van was dat ik het niet aankon en niemand kende die het had gedaan, ging ik naar mijn tante die jaren door haar man was mishandeld en ontsnapt was aan een huwelijk vol geweld met alle
en haar waardigheid intact. Ze vertelde me: Importeer nooit de beperkingen van andere mensen.
...[+++] Ooit ging ik klagen bij mijn grootmoeder, een Tweede-Wereldoorlogveteraan die 50 jaar lang voor de film werkte en me steunde van toen ik 13 was. Ik zei dat ik bang was dat als ik een droomjob bij ABC zou afslaan voor een beurs in het buitenland, ik nooit meer een andere baan zou vinden. Ze zei: Kindje, ik ga je twee dingen vertellen. Ten eerste, niemand scheept een Fulbright af en ten tweede, McDonald's werft altijd aan. (Gelach) Je vindt wel een baan. Riskeer het maar. De vrouwen in mijn familie zijn geen uitzonderingen. De vrouwen in deze kamer en toekijkend in L.A. en in de rest van de wereld zijn geen uitzonderingen. Wij zijn geen 'speciale gevallen'.A
ussi, pendant qu'on était à la table, il y avait un rituel dans la famille, quand quelque chose de particulier éta
it arrivé à l'un de nous, que ça soit maman qui ait été élue présidente de la PTA, ou que papa ait eu une affectation à notre collège, ou que quelqu'un ait gagné le concours de talent de jabberwocky, le rituel de la famille était que, une fois que l'annonce avait été faite, on devait prendre 5, 10 minutes pour célébrer cette personne, c'est à dire, en faire toute une histoire conc
...[+++]ernant celui qui a été honoré d'une quelconque manière,
Als we aan tafel zaten was er ook het ritueel in ons gezin dat wanneer er voor iemand van ons iets belangrijks gebeurd was, variërend van mijn moeder die net gekozen was tot president van de PTA (Parent Teacher Association), tot mijn vader die benoemd was in het bestuur van ons kerkgenootschap, of dat iemand een of andere rare talentenjacht had gewonnen, het ritueel in ons gezin was dat zodra dit bekend gemaakt was, we die persoon vijf à tien minuten lang zoals wij dat noemden moesten ‘vermaken’ wat wil zeggen dat we overdreven veel ophef maakten over degene die op de een of andere manier geëerd was,
Dans le monde des blogs, il va y avoir l’avant et l’après tsunami, parce q
u’une chose qui est arrivée dans le sillage du tsunami est que, bien qu' au début – c'est-à-dire ce premier jour -- il y avait une espèce de manque de reportage en direct, de reportage video en direct -- et certains s’en sont plaints. Ils ont dit, en quelque s
orte, les blogueurs nous ont laissé tomber. C
e qui était clair c’est que en l’espace de quelques jours le déballage d’info
...[+++]rmations était immense, et on a eu une vision complète et puissante de ce qui était arrivé d'une manière inédite.
De wereld van de blogs zal worden verdeeld in vóór en na de tsunami, omdat er in de nasleep van de tsunami iets gebeurde. Hoewel er in het begin, op die eerste dag juist een gebrek was aan live verslagen en videobeelden. Sommige mensen beklaagden zich daarover. Zij vonden dat de bloggers ze in de steek hadden gelaten. Het werd overduidelijk dat binnen een paar dagen het internet werd overspoeld met informatie en we kregen een volledig en duidelijk beeld van de gebeurtenissen op een heel nieuwe manier.
Et nous avons reçu un rapport -- quelque chose comme une analyse d'ingénierie de ce qui était arrivé -- disant qu'en fait, des vigiles de diverses compagnies pétrolières rivales avaient garé des camions à cet endroit et les avaient fait sauter.
En wij kregen een rapport -- een soort technische analyse van wat er gebeurd was -- waarin stond dat, in feite, beveiligingsbeambten van verschillende concurrerende olieconcerns, hun vrachtwagens daar parkeerden en opbliezen.
Au Burundi je suis entrée dans
une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je suis allée trouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » E
t il a dit ...[+++] : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was geen baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen h
ier hebben geen advocaat. Wat kunnen we ...[+++]doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004,
chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...(Rires) Vous savez, C'est ce qu'on appelle une incitation (Rires) Vous - maintenant v
ous dites, eh bien, nous allons voir si je peux mettre la main sur du chlorate de potassium et du sucre, du perchlorate et du sucre, et chauffer le mélange, il serait intéressant de voir ce qu'ils ne veulent pas que je fasse, et ce qu'il va - et comment ça va fonctionner. Et nous n'avions pas - ma mère regardait la cour arrière depuis une fenêtre à l'étage, où elle repassait ou quelque chose comme ça. Et d'habitude elle surveillait du coin de l'oeil, et s'il y avait des bouffées de fumée dehors, elle se penchait pour nous exhorter de ne pas nous faire expl
oser les y ...[+++]eux. Elle était comme ça -- Vous savez, c'était la pire chose qui pouvait nous arriver. C'est pourquoi je pensais, du moment que je ne me fais pas exploser les yeux ... Je me fiche peut-être qu'il soit interdit de chauffer cette solution. je vais le faire avec prudence, mais je vais le faire. C'est comme tout ce qui est interdit: vous le faites derrière le garage. (Rires) Donc, je suis allé à la pharmacie et j'ai essayé d'acheter du perchlorate de potassium et ce n'était pas déraisonnable pour un enfant à l'époque d'entrer dans un drugstore et d'acheter des produits chimiques.
(Gelach) Je weet wel, dat is wat je een tip noemt. (Gelach) Dan wil
je natuurlijk in het bezit komen van wat kaliumchloraat en suiker, perchloraat en suiker, en het verwarmen. Het zou interessant zijn om te zien wat het was dat ze niet wilden dat ik deed, en hoe ging het werken. Maar mijn moeder hield de achtertuin vanuit een bovenraam in de gaten. Ze stond daar te strijken of zoiets. Ze hield ons meestal in de gaten en als er wat rookwolkjes waren te zien, riep ze dat we onze ogen er niet moesten uitblazen. Dat was haar manier - dat was zowat het ergste dat ons kon overkomen. Daarom dacht ik, zolang ik mijn ogen er niet uitblaas ... hoe
...[+++]f ik me geen zorgen te maken dat het verboden is deze oplossing te verwarmen. Ik ga het voorzichtig doen maar ik zal het doen. Het was net zoals met alles wat verboden was: je deed het achter de garage. (Gelach) Dus ging ik naar de drogist en ik probeerde wat kaliumperchloraat kopen. Het was toen niet ongewoon voor een kind om bij een drogist binnen te lopen en wat chemicaliën te kopen.Où est-ce qu'on v
eut que notre monde arrive ? Et vous savez quoi ? Quelle que soit la manière dont on comprend les arts et la science - qu'elles soient séparées ou différentes - les deux sont en train d'être influencés à présent, et les deux ont des problèmes. J'ai exécuté un projet appelé S.E.E.ing the Future : Sciences, Ingénierie et Education, qui considérait comment mettre en lumière un usage plus effectif du financement gouvernemental. Plusieurs scientifiques ont participé, dans différentes étapes de ses carrières. Ils sont venus à la Faculté de Dartmouth, où j'étais professeur, et ils ont parlé avec des théologiens et des financier
...[+++]s à propos des problèmes du financement gouvernemental en ce qui regarde la recherche en science et l'ingénierie. Quelles sont les questions plus importantes ? Quelques idées se sont révélées dont je crois qu'on peut trouver des parallèles très forts dans les arts. La première chose qu'ils ont dit c'était que les circonstances où l'on se trouve aujourd'hui dans la science et les arts, qui ont fait de nous des leaders mondiaux, sont très différentes des circonstances des années 40, 50, 60 et 70, quand nous nous sommes révélés des leaders mondiaux. Car on ne rivalise plus avec le fascisme, avec le communisme à la soviétique, et par ailleurs la compétition n'était que militaire. Il s'agissait aussi d'une compétition sociale, d'une compétition politique, qui nous a permis de regarder l'espace comme un trampoline vers la preuve que notre système social était le meilleur.
Waar willen we heen met de wereld? Weet je wat? Hoe we er ook naar kijken, of we kunst en wetenschap nou zien als gescheiden of verschillend; ze worden beide beïnvloed, en ze hebben beide problemen. Ik heb meegedaan aan het project 'S.E.E.ing the Future'. Hoe ga je effectief om met overheidsbestedingen? Er waren veel wetenschappers in verschillende fases van hun carrière. Ze kwamen naar Darthmouth College, waar ik lesgaf. Ze bespraken met theologen en financiers wat er kwam kijken bij het investeren in wetenschappelijk onderzoek. Wat is daarin belangrijk? Er doken ideeën op die sterke parallellen vertonen met kunst. Ze zeiden dat de omstandigheden waarin we ons momenteel bevinden, met betrekking tot wetenschap en technologie, die ons de wereldleide
rs hebben ...[+++]gemaakt, anders zijn dan in de jaren 40, 50, 60 en 70, toen we opkwamen als wereldleiders. We hoeven niet meer te concurreren met het fascisme of het Sovjet-communisme. Die concurrentie was trouwens niet alleen militair, maar ook sociaal en politiek, waardoor we de ruimte gingen zien als een platform waarmee we konden aantonen dat ons sociale systeem beter was. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
nous était arrivé ->
Date index: 2022-10-14