Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «nous sommes tentés de dire que freud » (Français → Néerlandais) :
Nous sommes tentés de dire que Freud a juste tout inventé, et que la vie n'est pas si compliquée qu'il le fait paraître.
Er is een verleiding om te zeggen dat Freud alles verzon en dat het leven helemaal niet zo moeilijk is als dat hij zei dat het was.
Prenez le grand pr
oblème du corps des femmes. Que faut-il en faire? Et bien, voici l
'une des choses que vous pouvez faire, vous pouvez les couvrir entièrement. La position, de façon générale, de notre communauté intellectuelle est que même si on n'aime pas cela, on peut penser que c'est inapproprié à Boston or Palo Alto mais q
ui sommes-nous pour dire que les fiers habitants d'une culture ancienne ont tort de forcer leurs épouses et
...[+++] leurs filles à vivre dans des sacs de tissu? Et qui sommes-nous pour dire aussi qu'ils ont tort de les battre avec des câbles d'acier, ou de leur jeter aux visages de l'acide de batteries si elles déclinent le privilège de suffoquer de cette manière ?
Beschouw het grote probleem van het vrouwelijk lichaam. Wat moet je er mee? Dit is één van de mogelijkheden. Je kan het bedekken. Het standpunt van onze intellectuele gemeenschap is, ondanks dat we dit niet leuk vinden, en dit verkeerd vinden in Boston of Palo Alto, dat het niet aan ons is om te zeggen dat de trotse afstammelingen van een eeuwenoude cultuur fout zijn door hun vrouwen en dochters te dwingen in stoffen zakken te leven? En wie zijn wij om te beweren dat het fout is om ze te slaan met staalkabels of batterijzuur in hun gezicht te gooien, wanneer ze het privilege weigeren om zo ingepakt te worden?
L'expansion peut aussi être alimentée par le multiculturalisme ; par les histoires, le journalisme, les mémoires, la fiction réaliste, les voyages et l'a
lphabétisation, qui nous permettent de nous imaginer dans la vie d'autres personnes, qu'on aurait peut-être traité de sous-humains autrefois, et de se rendre compte des hasards qui nous o
nt menés là où nous sommes, de se dire c'est par chance que je suis là. Quelles qu'en soient les causes, le déclin de la violence a de p
...[+++]rofondes conséquences. Cela devrait nous forcer à nous demander non seulement Pourquoi la guerre ? mais aussi Pourquoi la paix ? . Pas seulement Que faisons-nous mal ? , mais aussi Que faisons-nous bien ?
Het kan ook aangedreven worden door kosmopolitisme: geschiedenissen, journalisme, memoires en realistische fictie en reizen en geletterdheid, waardoor je jezelf kunt projecteren op de levens van andere mensen die je voorheen wellicht als sub-humaan behandelde, en ook het je realizeren van de toevalligheid van je eigen omstandigheden in het leven; in de zin van dat een ieder voor het geluk gaat . Wat de oorzaken ook moge zijn, de afname van geweld heeft diepgaande implicaties. Het dwingt ons niet alleen te vragen Waarom is er oorlog? maar ook Waarom is er vrede? Niet alleen Wat doen we verkeerd? maar ook Wat hebben we goed gedaan?
Mes collégues d'Independ
ent Diplomat et moi sommes allés voir le Conseil de
Sécurité de l'ONU. Nous sommes allés rencontrés quelques 70 Etats membres -- les Kazakhes, les Ethiopiens, les Israeliens -- tous ceux que vous voulez, nous sommes allés les voir -- le Secrétaire général, tous, et nous avons dit : ça ne va pas du tout. C'est vraiment dommage de ne pas consulter ces peuples qui sont les premiers concernés. Vous devez mettre en pl
ace un système dans lequel vous invi ...[+++]tez effectivement les Kosovars à venir s'exprimer et dire ce qu'ils pensent. Cela vous permettra de me dire -- vous pourrez leur dire ce que vous pensez. Ce sera bien. Vous pourrez échanger. Vous pourrez tenir compte des points de vue de ces peuples dans vos décisions, ce qui rendra vos décisions plus efficaces et durables. Hyper-logique, pensez vous. Je veux dire, une logique implacable. Si évidente, n'importe qui peut comprendre ça. Et bien sûr, tout le monde l'a compris. Tout le monde a dit Oui, bien sûr, vous avez raison.
Mijn collega's en ik bij Independent Diplomat gingen rond bij de VN-Veiligheidsraad. We gingen langs 70 VN-lidstaten -- De Kazakken, de Ethiopiërs
, de Israëlieten -- noem maar op, we gingen bij hen langs -- de secretaris-generaal, iedereen, en zeiden: Dit is helemaal verkeerd. Het is verschrikkelijk dat je de mensen die worden beïnvloed, niet raadpleegt. Je moet een systeem institutionaliseren waarin je je de Kosovaren uitnodigt om je te vertellen wat ze erover denken. Dit geeft je de mogelijkheid om me te vertellen -- je kan hen vertellen wat je denkt. Dat wordt fantastisch. Je kan een uitwisseling hebben. Je
kan de men ...[+++]ingen van deze mensen in je beslissingen verwerken, hetgeen betekent dat je beslissingen doeltreffender en duurzamer zullen zijn. Superlogisch zou je denken. Ongelofelijk logisch bedoel ik. Zo voor de hand liggend, iedereen zou het kunnen. En natuurlijk snapte iedereen het. Iedereen zei: Ja natuurlijk, je hebt helemaal gelijk.On peut ainsi faire la différence entre notre perception consciente des choses et leur véritable existence, mais c'est impossible d'en faire de même avec la conscience, car lorsqu'il s'agit d
e la conscience, si nous avons l'impression consciente d'ê
tre conscient, nous sommes bien conscients. Je veux
dire, si un groupe d'experts venait me dire « Nous sommes des spécialistes en neurobiologie, nous avons étudié votre cas, Searle, et nous sommes convaincus que vous n'êtes pas
...[+++]conscient, mais que vous êtes en réalité un robot très sophistiqué, » je ne me dirais pas, « Peut être que ces gars ont raison ? » Ça ne me viendrait même pas à l'esprit, parce que même si Descartes a sûrement fait des erreurs, il avait complètement raison sur ce sujet.
Maar dat onderscheid tussen hoe dingen bewust lijken en hoe ze werkelijk zijn, bewijst het bestaan van bewustzijn niet. Wat het bestaan van bewustzijn betreft: als je je ervan bewust bent dat je bewust bent, ben je bewust. Stel dat een hoop deskundigen tegen mij zouden zeggen: Wij zijn topneurobiologen en we hebben gevonden dat u, meneer Searle, niet bewust bent, meer een knap in elkaar gestoken robot. Ik denk dan niet: Nou, misschien hebben deze jongens wel gelijk. Voor geen moment. Descartes mag dan een boel fouten hebben gemaakt, maar hierover had hij gelijk.
Nous y sommes allés. Nous nous sommes installés devant l'une des barricades, et un peu après, une colonne de chars est arrivée. Le soldat dans le char de devant a dit : « Nous avons ordre strict de détruire cette barricade. Si vous partez, nous ne vous ferons pas de mal mais si vous ne bougez pas, nous n'aurons d'autre choix que de vous écraser. » Les artistes avec qui j'étais ont dit : « Donnez-nous juste une minute. Donnez-nous juste u
ne minute pour vous dire pourquoi nous sommes ici. » Le soldat a croisé les bras, et l'artiste s'es
...[+++]t lancé dans un panégyrique jeffersonnien de la démocratie, un éloge que ceux d'entre nous qui vivent dans une démocratie jeffersonnienne auraient bien du mal à présenter.
We gingen ernaartoe en stelden ons op voor een van de barricades. Een tijdje later kwam een kolonne tanks aangerold. De soldaat op de eerste tank zei: We hebben onvoorwaa
rdelijke bevelen om deze barricade op te ruimen. Als jullie weggaan, hoeven we jullie geen pijn te doen, maar als je niet weggaat, hebben we geen ande
re keuze dan jullie omver te rijden.” De kunstenaars zeiden: Geef ons één minuut. Geef ons één minuut om je te vertellen waarom we hier zijn.” De soldaat kruiste zijn armen, en de kunstenaar stak een Jeffersoniaanse lofr
...[+++]ede op de democratie af zoals wij, die in een Jeffersoniaanse democratie leven, er moeilijk een zouden kunnen afsteken.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant
. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le
général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar
. Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Retour sur Johannesburg, parfois appelé Egoli, ce qui veut dire la Cité d'Or. Non seulement le portable est l'or d'aujourd'hui, je ne pense pas que l'or soit enfoui sous terre. Je pense que nous sommes l'or. Vous avec entendu les autres économistes dire : nous sommes au même stade que la Chine quand ses années de boom économique ont commencé. Et c'est vers où nous nous dirigeons. Donc vous entendez l'Occident parler de la pointe de l'innovation.
Terug naar Joburg, dat soms Egoli, de stad van goud, genoemd wordt. Niet alleen is mobiel het goud van vandaag. Ik geloof niet dat het goud onder de grond zit. Ik denk dat wij het goud zijn. Van de andere economen kon je horen dat wij nu staan waar China stond toen het ging openbloeien. Daar staan wij nu voor. In het Westen praten ze over innovatie aan de rand.
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les m
urs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et
...[+++]puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door
deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de
grot naar de vrije ...[+++]wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...CA: Mais est-ce qu'il n'y a pas un peu de rationalité dans cette
peur, à savoir que nous sommes effrayés, car nous pensons qu'une attaque ultime est à venir? DG : Oui, bien sûr. Si nous étions sûrs que c'était la pire attaque que nous aurons, il pourrait y avoir davantage de bus de 30 personnes -- et nous ne seriez pas si effrayés.
Je ne cherche pas à dire -- Je vous en prie, je vais être cité quelque part comme disant le terrorisme ce n'est rien, nous ne devrions pas être si inquiets . Ce n'est pas ce que j'essay
...[+++]e de dire. Ce que je cherche à dire est que, de façon rationnelle notre souffrance par rapport aux événements futurs, aux menaces, devrait être proportionnelle à l'importance de ces menaces et des menaces à venir. Je pense que dans le cas du terrorisme, ce n'est pas le cas.
CA: Maar is er ook een reële grond voor onze angsten, de reden dat we bang zijn, is omdat we denken dat er nog een veel
grotere aanslag zal komen? DG: Ja natuurlijk: als we wisten dat dit de grootste aanslag ooit was en er nog meer bussen van 30 mensen doelwit waren -- dan zouden we wellicht niet zo bang zijn. Ik wil hier niet zeggen -- straks gaan ze me citeren met “Niets mis met terrorisme, waar maken we ons druk om.” Maar dat bedoel ik echt niet. Mijn punt is dat, rationeel gezien, onze zorgen over gebeurtenissen, bedreigingen, ongeveer in verhouding moeten zijn met de omvang van bedreigingen, nu en in de toekomst. Met terrorisme is d
...[+++]at niet het geval, volgens mij. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
nous sommes tentés de dire que freud ->
Date index: 2021-04-24