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 Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs.  Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple. 
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Traduction de «nous sommes obnubilés par cette façon de penser » (Français → Néerlandais) : 
Et c'est justement ça le système de santé centralisé. Et il y a juste 30 ans nous ne pouvions concevoir que nous pourrions avoir le pouvoir d'un Serveur Central qui sélectionnerait un grande chambre avec nos bourses et nos économies, que nous transportons partout aujourd'hui avec nos téléphones portables. Et tout d'un coup, l'informatique, qui était plutôt un système mené par des experts, devint un système personnel que nous pourrions nous approprier dans notre vie de tous les jours. Ce changement d'informatique centralisée à personnalisée est ce vers quoi nous devons tendre lorsque l'on pense au système de santé. Nous devons déplacer cette mentalité centralisée du système sanitaire vers u
n modèle personnel.   ...[+++]Nous sommes obnubilés par cette façon de penser.
Dat is mainframegezondheidszo
rg. Net zoals we 30 jaar geleden niet konden bevatten dat we de kracht van een mainframecomputer, die een zaal van deze omvang in beslag nam, in onze zak zouden kunnen steken, zoals onze mobiele telefoon vandaag. Plotseling werd computergebruik, waar vroeger een gespecialiseerd systeem voor nodig was, haalbaar op een persoonlijk systeem, een onderdeel van ons dagelijks leven. Die verschuiving van mainframe naar personal computers is waar we naartoe moeten met onze gezondheidszorg. We moeten van deze mainframementaliteit van gezondheidsz
org overga ...[+++]an op een meer persoonlijk model van gezondheidszorg. We zijn geobsedeerd door deze manier van denken.Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous
 avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu
  ...[+++] vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ... 
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En 
 ...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag  ...Nous sommes tous nés. Nous apportons nos enfants dans ce monde. Nous procédons à des rites d'initiations. Nous devons faire face à la séparation inexorable de la mort, cela ne devrait donc pas nous surprendre que nous chantions, nous dansions, nous 
sommes tou
s des artistes. Par contre, la cadence exceptionnelle de la chanson est intéressante, le rythme de la danse dans toutes les cultures. Et que ce soit le Penan dans les forêts du Bornéo, ou les acolytes Voodoo à Haïti, ou bien les guerriers dans le désert du Kaisut au nord du Kenya,
  ...[+++] le Curendero dans les montagnes des Andes, ou bien un caravansérail en plein milieu du Sahara. A propos, c'est la personne avec qui j'ai voyagé dans le désert il y un mois, ou effectivement, le gardien de troupeau de Yaks sur les flancs du Qomolangma, l'Everest, la déesse du monde. Tous ces peuples nous enseignent qu'il y a d'autres façons d'être, d'autres façons de penser, d'autres manières de s'orienter sur Terre. Et ceci est une idée, si on y réfléchit, qui ne peut que vous remplir d'espoir. Aujourd'hui, les innombrables cultures dans le monde constituent un tissu de vie spirituelle et culturelle qui enveloppe la planète, et qui est aussi important pour le bien-être de la planète que l'est également le tissu biologique de la vie que vous connaissez en tant que biosphère. Et vous pourriez considérer ce tissu culturel de la vie en tant qu'ethnosphère et vous pourriez définir l'ethnosphère comme étant la somme globale de toutes les pensées, les rêves, les mythes, les idées, les inspirations, les intuitions engendrées par l'imagination humaine depuis l'aube de la conscience. 
Worden geboren. Brengen kinderen ter wereld. We maken allen inwijdingsrites door. Omgaan met de onverbiddelijke scheiding door de dood. Het kan dus geen verrassing zijn dat we allen zingen, dans
en en kunst hebben. Maar interessant is de unieke kadans van het lied en het ritme van de dans in elke verschillende cultuur. Of dat nu gaat om de Penan in de wouden op Borneo, of de Voodoo-acolieten in Haïti, of de strijders in de Kaisut-woestijn in Noord-Kenia, de Curandero in het Andes-gebergte of de Caravanserai in het hart van de Sahara. -- Dit is de man met wie ik reisde door de woestijn, een maand geleden. -- of nu een yakherder op de helli
 ...[+++]ngen van Qomolangma, Everest, de godin-moeder van de wereld. Zij leren ons allemaal dat we anders kunnen zijn, anders kunnen denken, ons anders op aarde kunnen oriënteren. Als je erover nadenkt, kan dit idee je alleen maar hoop geven. Samen vormen de ontelbare culturen ter wereld een web van spiritueel en cultureel leven dat de planeet omhult en voor haar net zo belangrijk is als het biologische levensweb: de biosfeer. Dit culturele levensweb kun je je voorstellen als een etnosfeer. De etnosfeer kun je definiëren als het totaal van alle gedachtes, dromen, mythes, ideeën, inspiraties en intuïties die voortgebracht zijn door de menselijke verbeelding sinds het begin van ons bewustzijn.Et cette nouvelle façon de penser est essentielle pour nous aider à résoudre les problèmes complexes auxquels nous sommes confrontés comme décoder le cerveau humain, ou comprendre le vaste univers qui nous entoure.
En deze nieuwe manier van denken is heel belangrijk bij het oplossen van veel complexe problemen die we tegenwoordig zien, van het ontcijferen van het menselijk brein, tot het begrijpen van het immense heelal.
Et je pense que 
ce que -- ce que ça nous fait psychologiquement c'est que -- ça crée une équ
ation. Le temps est rare, donc que faisons-nous ? Eh bien -- eh bien, nous accélérons, n'est-ce pas ? Nous essayons de faire de plus et plus de choses avec de moins en moins de temps. Nous transformons chaque moment de chaque journée en une course jusqu'à la ligne d'arrivée. Une ligne d'arrivée, d'ailleurs, que nous n'atteignons jamais, mais une ligne d'arrivée quand même. Et je pense que la question est, est-il possib
le de se l  ...[+++]ibérer de cette façon de penser? Et heureusement, la réponse est oui, car ce que j'ai découvert, quand j'ai commencé à regarder autour de moi, c'est qu'il y a -- une réaction violente, globale, contre cette culture qui nous dit que plus vite est toujours mieux, et qu'être plus occupé c'est le mieux.
En wat dat -- wat dat psychologisch met ons doet is dat het -- het creëert een vergelijking. Tijd is schaars, dus wat doen we? Wel -- wel, we versnellen, niet?
 We proberen steeds meer te doen met steeds minder tijd. We maken elk moment van el
ke dag tot een race naar de aankomstlijn. Een aankomstlijn, trouwens, die we nooit bereiken, maar niettemin een aankomstlijn. En ik denk dat de vraag is, is het mogelijk om ons te bevrijden van die ingesteldheid? En gelukkig, het antwoord is ja, want wat ik ontdekte, toen ik begon rond te kijken, 
 ...[+++]is dat er een -- een globale terugslag is tegen deze cultuur die ons vertelt dat sneller altijd beter is, en dat druk altijd goed.On appelle ça «l'effet Flynn»: le fait que chaque génération obtienne des résultats plus élevés aux tests de Q.I. que la génération pré
cédente. Est-ce que nous devenons effectivement plus intelligents, ou bien pensons-nous 
différemment ? Dans cette visite au pas de charge de l'histoire cognitive du 20ème siècle, le phil
osophe de la morale James Flynn nous suggère que les cha
ngements dans notre   ...[+++]façon de penser ont eu des conséquences surprenantes (et pas toujours bénéfiques).
Het wordt het 'Flynn-effect' genoemd - het feit dat iedere generatie hoger scoort op een IQ-test dan de vorige generatie. Worden we inderdaad slimmer of denken we alleen maar anders? In deze snelle rondgang door de cognitieve geschiedenis van de 20ste eeuw, oppert moreel filosoof James Flynn dat veranderingen in onze manier van denken verrassende (en niet altijd positieve) consequenties hebben gehad.
Et cette façon de penser nous permet d'envisager nos différences avec respect, plutôt qu'en ayant peur.
Deze manier van denken helpt ons om onze verschillen met respect te bekijken, in plaats van met angst.
Mais pourquoi donc avons-nous cette façon de penser ?
Waarom denken we zo?
S
i nous voulons penser à une 
façon de conserver une touche de cette conscience de bébé en tant qu'adultes, je crois que la meilleure chose à faire est de pen
ser aux cas où nous sommes face à une nouvelle situation que nous n'avons jamais expérimentée avant -- quand nous tombons amoureux de quelqu'un, ou quand nous sommes dans
 une nouvelle ville pour la premiè  ...[+++]re fois.
Als we willen denken aan een manier om, als volwassene, een indruk te krijgen van dat soort babybewustzijn, kunnen we het beste denken aan die keren dat we in een nieuwe, totaal onbekende situatie worden gezet, dat we verliefd worden op iemand nieuw, of dat we voor de eerste keer in een nieuwe stad zijn.
Il n'y a pas de lum
ière naturelle dans cette caverne, les m
urs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animau
x, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce 
  ...[+++]ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ;  il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van
 dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurli
jk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsh
 ...[+++]eid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...      datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
nous sommes obnubilés par cette façon de penser -> 
Date index: 2024-12-08