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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «nous sommes allés dans la salle de conférence pour » (Français → Néerlandais) :
Ensuite, nous sommes allés dans la salle de conférence pour se détendre et déjeuner ensemble, et l'équipe a offert un cadeau d'anniversaire à Callum.
Daarna gingen we naar de vergaderkamer, ontspanden we wat en lunchten samen, en Callum kreeg een verjaardagscadeau van de labmedewerkers.
Nous sommes revenus à la Salle des Cinq-Cents en 2011, et cette fois, avec un grand groupe d'étudiants et mon collègue le Professeur Falko Kuester, qui est maintenant le directeur du CISA3. Nous sommes revenus exactement à l'endroit déjà identifié pour découvrir s'il y restait encore quelque chose.
In 2011 keerden we terug naar de Zaal van de 500, deze keer met een grote groep studenten en mijn collega, Professor Falko Kuester, nu directeur van CISA3. We wisten al waar we moesten zoeken en kwamen kijken of er nog iets over was.
(Rires) L'autre chose qui s'est produite -- et même à ce moment-là, j'ai dit : « Bon, c'est peut-être un bo
n ajout. C'est bien pour les étudiants motivés. C'est peut-être aussi bien pour ceux qui sont scolarisés chez eux. » Mais je ne pensais pas que ça deviendrait quelque chose qui s'infiltrera
it en quelque sorte dans la
salle de classe. Mais j'ai ensuite commencé à recevoir des lettres d'enseignants. Et les enseignan
ts m'écriv ...[+++]aient : « Nous utilisons vos vidéos pour faire bouger la classe. Vous donnez les cours, donc maintenant nous... » et cela pourrait arriver dans toutes les classes d'Amérique aujourd'hui, « ... maintenant je donne vos cours comme devoirs à la maison. Et ce qu'étaient les devoirs à la maison, les étudiants les font maintenant dans la salle de classe. » Je veux m'arrêter là-dessus -- (Applaudissements) Je veux m'arrêter là-dessus un instant, parce qu'il y a deux ou trois choses intéressantes. Premièrement, quand ces enseignants font cela, il y a l'avantage évident -- l'avantage que maintenant leurs étudiants peuvent apprécier les vidéos de la même façon que mes cousins. Ils peuvent mettre en pause, reprendre à leur propre rythme, à leur convenance. Mais la chose la plus intéressante est -- et ça ne va pas de soi quand on parle de technologie dans les salles de classe -- en enlevant les cours à modèle unique de la classe et en laissant les élèves auto-réguler leurs cours à la maison, quand vous entrez alors dans la classe, en les laissant faire le travail, avec l'enseignant à proximité, en donnant aux enfants des moyens réels d'interagir entre eux, ces enseignants ont utilisé la technologie Ils ont pris une expérience fondamentalement déshumanisante -- pour humaniser la classe. 30 enfants avec leur index sur les lèvres, n'ayant pas le droit d'interagir entre eux. Un enseignant, peut importe sa qualité, doit donner ces cours à modèle unique à 30 élèves -- des visages vides, légèrement antagonistes -- c'est désormais une expérience humaine. Mainten ...
(Gelach) Er gebeurde nog iets. Op dit punt zei ik: Oké, misschien is het een goede aanv
ulling. Het is goed voor gemotiveerde leerlingen. Het is misschien goed voor het thuisonderwijs. Maar ik had niet gedacht dat het op een of andere manier zou doordringen tot in de klas. Maar toen begon ik brieven te krijgen van leerkrachten. De leerkrachten schreven: Wij gebruiken je video's om de klas 180 graden te draaien. Jij hebt de les gegeven, dus wat we nu doen is ... en dit zou morgen in elk klaslokaal in Amerika kunnen gebeuren - ... we geven je les als huiswerk op. Wat vroeger huiswerk was, laat ik de leerlingen nu in de klas doen. Ik wil hie
...[+++]r even pauzeren. (Applaus) Ik wil hier even pauzeren, omdat ik een paar interessante dingen zie. Een, wanneer deze leraren dat doen, is er het onmiskenbare voordeel - het voordeel dat hun leerlingen nu de video's kunnen gebruiken zoals mijn neefjes dat deden. Ze kunnen pauzeren, herhalen op hun eigen tempo, binnen hun eigen tijd. Wat nog interessanter is -- en dit gaat tegen de intuïtie in, als het over technologie in de klas gaat -- je stapt af van de eenheidsworst -les voor de klas en laat leerlingen op hun eigen tempo thuis les volgen. Dan ga je naar de klas, laat ze werken, laat de leerkracht rondlopen, laat de kinderen er met elkaar over praten. Zo hebben deze leerkrachten technologie gebruikt Ze namen een fundamenteel ontmenselijkende ervaring - om de klas menselijker te maken. 30 kinderen met hun vingers op de lippen, die niet met elkaar mochten praten. Een leerkracht, hoe goed hij ook is, moet een eenheidsworst -les geven aan 30 leerlingen -- uitdrukkingsloos gezicht, ietwat vijandig. Nu is het een menselijke ervaring. Nu is er echt onderlinge interactie. Zodra de Khan Academy -- Ik gaf mijn job op en we werden een echte organisatie. We zijn een organisatie zonder winstbejag. De vraag is, hoe brengen we dit naar een hoger niveau?Une des rais
ons pour lesquelles nous nous éloignons des salles de banquets comme celle
dans laquelle nous sommes, des salles de banquets avec des images extraordinaires au plafond de rois sur leur trônes, le drame qui s'est déroulé à cet endroit, là où le roi d'Angleterre s'est fait coupé la tête, la raison
pour laquelle nous avons quitté les endroits comme celui-ci, le
...[+++]s trônes comme celui-là, pour l'hôtel de ville, est qu'ainsi nous allons de plus en plus vers les énergies de notre peuple, et c'est ça que nous devons puiser.
We willen weg van receptiezalen zoals waar we nu zijn, banketzalen met buitengewone beelden op het plafond van op een troon gezeten koningen, het hele drama dat zich hier op deze ruimte heeft gespeeld, waar de koning van Engeland zijn hoofd werd afgehakt. We zijn verhuisd vanuit ruimten als deze, weg van tronen als deze, naar het stadhuis, omdat we daar kunnen putten uit de gedrevenheid van onze mensen.
Ecrire ce genre de chose
s n'est pas accepté dans les classes d'aujourd'hui. Alors c'était la première raison
: les politiques de tolérance zéro et la façon dont elles ont dégénéré. L'autre raison qui explique le fait que la culture des garçons ne soit pas en phase avec la culture de l'école: il y a moins de pro
fesseurs masculins. Tous ceux qui ont plus de 15 ans ne savent pas ce que cela signifie, parce que dura
nt les 10 ...[+++]dernières années, le nombre d'enseignants dans les classes d'école primaire a été divisé par deux. Nous sommes passés de 14 pour cent à 7 pour cent. Cela signifie que 93 pour cent des enseignants dont héritent nos jeunes garçons en primaire sont des femmes. Alors maintenant, quel est le problème? Les femmes sont super. Oui, absolument. Mais des modèles de rôle pour les garçons qui disent que c'est bien d'être intelligent -- ils ont des pères, ils ont des pasteurs, ils ont des leaders de groupe scout, mais en fin de compte, six heures par jour, cinq jours par semaine, ils passent leur temps dans une salle de classe. Et la plupart de ces salles de classe sont des endroits dépourvus de présence masculine. Et alors ils disent, je suppose que ce n'est pas vraiment un endroit pour les garçons.
D
it soort dingen hoor je tegenwoordig niet te schrijven op school. Dus dat is de eerste reden: een nultolerantiebeleid en hoe het wordt nageleefd. De volgende reden dat jongenscultuur niet aansluit op schoolcultuur: er zijn minder mannelijke leraren. Iedereen die ouder is dan 15 weet nie
t wat dit betekent, want in de laatste 10 jaar, is het aantal onderwijzers op de basisschool gehalveerd. Het ging van 14 procent naar zeven procent. Dat betekent dat 93 procent van de leraren van wie onze jongemannen les krijgen op de basisschool vrouw
...[+++]en zijn. Maar wat is het probleem daarmee? Vrouwen zijn geweldig. Ja, absoluut. Maar mannelijke rolmodellen voor jongens, die zeggen dat het prima is om slim te zijn -- ze hebben vaders, ze hebben pastoors, ze hebben scoutsleiders, maar uiteindelijk zitten ze zes uur per dag, vijf dagen per week op school. En op de meeste scholen lopen geen mannen rond. En dus zeggen ze, volgens mij is dit geen plek voor jongens.Et lorsque je m’apitoyais sur moi-même, comme le font les filles de 10 ans, elle me disait : « Ma chérie, sur l’échelle des plus grandes tragédies du monde, la tienne n'atteint même pas trois. » (Rires) Et quand j’ai posé ma candidature à une école de commerce, en étant certaine de ne pas y arriver, aucune de mes connaissances n’y ét
ait arrivé, je suis allé chez ma tante qui avait été battue par son mari pendant des années et avait fini par échapper à un mariage de violences avec seulement sa dignité intacte. Et elle m'a dit : « Ne fais jamais tiennes les limitations des autres. » Et quand je me plaignais à ma grand-mère, une vétéran de
...[+++]la Seconde Guerre Mondiale, qui a travaillé dans le cinéma pendant 50 ans, et qui m’a soutenu dès l’âge de 13 ans, quand je me plaignais d'avoir peur que si je refusais un pont en or chez ABC pour une bourse à l'étranger, je ne retrouverai jamais, jamais un autre boulot, elle me disait : « Ma petite, je vais te dire deux choses. Tout d’abord, personne ne dit non à un Fullbright, et deuxièmement, il y a toujours de la place chez McDonald’s. » (Rires) « Tu trouveras un emploi. Fais le grand saut. » Les femmes de ma famille ne sont pas des exceptions. Les femmes dans cette salle, et celles qui nous regardent à L.A., et partout dans le monde, ne sont pas des exceptions. Nous ne sommes pas un groupe d’intérêt.
Als ik medelijden had met mezelf, zoals 9 of 10 ja
ar oude meisjes wel eens plegen te doen, zegde ze tegen mij: Liefje, op een schaal van de grote
wereldtragedies is jouw geval nog niet eens een drie. (Gelach) Toen ik me inschreef aan de businessschool en er zeker van was dat ik het niet aankon en niemand kende die het had gedaan, ging ik naar mijn tante die jaren door haar man was mishandeld en ontsnapt was aan een huwe
lijk vol geweld met alleen ...[+++] haar waardigheid intact. Ze vertelde me: Importeer nooit de beperkingen van andere mensen. Ooit ging ik klagen bij mijn grootmoeder, een Tweede-Wereldoorlogveteraan die 50 jaar lang voor de film werkte en me steunde van toen ik 13 was. Ik zei dat ik bang was dat als ik een droomjob bij ABC zou afslaan voor een beurs in het buitenland, ik nooit meer een andere baan zou vinden. Ze zei: Kindje, ik ga je twee dingen vertellen. Ten eerste, niemand scheept een Fulbright af en ten tweede, McDonald's werft altijd aan. (Gelach) Je vindt wel een baan. Riskeer het maar. De vrouwen in mijn familie zijn geen uitzonderingen. De vrouwen in deze kamer en toekijkend in L.A. en in de rest van de wereld zijn geen uitzonderingen. Wij zijn geen 'speciale gevallen'.
Ma femme a acheté un tableau de conférence. Et nous avons eu une grande conversation, comme « Qu'est-ce qui est important pour nous ? Quelles sont les valeurs qui comptent pour nous ? » Et finalement, nous avons 10 déclarations. « Nous sommes des voyageurs, pas des touristes. » « Nous n'aimons pas les problèmes, nous aimons les solutions. »
Mijn vrouw kocht een flip-over. We stelden ons de vraag: wat is belangrijk voor ons? Welke waarden willen we hooghouden? We eindigden met 10 uitspraken. Wij zijn reizigers, geen toeristen. We houden niet van dilemma's, we willen oplossingen.
Nous y sommes allés. Nous nous sommes inst
allés devant l'une des barricades, et un peu après, une colonne de chars est
arrivée. Le soldat dans le char de devant a dit : « Nous avons ordre strict de détruire cette barricade. Si vous partez, nous ne vous ferons pas de mal mais si vous ne bougez pas, nous n'aurons d'autre choix que de vous écraser. » Les artistes avec qui j'étais ont dit : « Donnez-nous juste une minute. Donnez-no
us juste une minute pour ...[+++] vous dire pourquoi nous sommes ici. » Le soldat a croisé les bras, et l'artiste s'est lancé dans un panégyrique jeffersonnien de la démocratie, un éloge que ceux d'entre nous qui vivent dans une démocratie jeffersonnienne auraient bien du mal à présenter.
We gingen ernaarto
e en stelden ons op voor een van de barricades. Een tijdje lat
er kwam een kolonne tanks aangerold. De soldaat op de eerste tank zei: We hebben onvoorwaardelijke bevelen om deze barricad
e op te ruimen. Als jullie weggaan, hoeven we jullie geen pijn te doen, maar als je niet weggaat, hebben we geen ande
re keuze dan jullie omver te rijden ...[+++].” De kunstenaars zeiden: Geef ons één minuut. Geef ons één minuut om je te vertellen waarom we hier zijn.” De soldaat kruiste zijn armen, en de kunstenaar stak een Jeffersoniaanse lofrede op de democratie af zoals wij, die in een Jeffersoniaanse democratie leven, er moeilijk een zouden kunnen afsteken.Le Brésil s'est radical
isé très fortement. Nous nous sommes battus violemment contre la dictature, au moment où
c'était nécessaire pour nous tous. Il fallait soit vivre dans la clandestinité, les armes à la main, soit quitter le Brésil. Nous étions trop jeunes, et notre organisation pensait qu'il était mieux pour nous
de partir, et nous sommes allés ...[+++] en France, où j'ai fait un doctorat en économie, et Léila est devenue architecte. J'ai ensuite travaillé pour une banque d'investissement.
Brazilië radicaliseerde zeer sterk. We vochten heel hard tegen de dictatuur. Op zeker moment moesten we kiezen: verdwijnen in de gewapende illegaliteit, of vertrekken uit Brazilië. Omdat we nog zo jong waren, besliste de organisatie dat we weg moesten. We gingen naar Frankrijk, waar ik een graad in economie behaalde. Léila werd architecte. Daarna werkte ik voor een investeringsbank.
Au Bur
undi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était
un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit
: « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches
...[+++]et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je suis allée trouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a dit : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jar
ige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was geen baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer
voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig p
...[+++]rocent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
nous sommes allés dans la salle de conférence pour ->
Date index: 2024-06-25