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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «nous laissions partir les enfants des écoles » (Français → Néerlandais) :
Et vous devez vous poser la question : comment est-il possible qu'au 21ème siècle nous laissions partir les enfants des écoles alors qu'ils ne peuvent pas lire le diplôme qu'ils tiennent dans leurs mains ?
Je moet je dus de vraag stellen: hoe is het mogelijk dat we in de 21ste eeuw kinderen laten afstuderen van middelbare scholen die de diploma's die ze in de hand hebben, niet kunnen lezen.
E
t nous avons des difficulté
s dans tant de nos communautés
et dans tant de nos écoles dans lesquelles nos enfants entrent au CP, avec leurs yeux pétillants, ils ont leur petit sac à dos
et ils sont prêts à partir, et alors ils réalisent qu'ils ne sont pas comme les autres enfants de leur classe qui connaisse
...[+++]nt les livres, savent lire, récitent leur alphabet.
Wij hebben moeilijkheden in zoveel wijken. Veel kinderen die naar groep 3 gaan en met hun glinsterende oogjes en hun rugzakjes om klaarstaan, beseffen dan dat ze anders zijn dan de rest, die boeken lezen, zijn voorgelezen, het alfabet kunnen opzeggen.
Nous n’enseignons pas à nos
enfants. Il n’y a pas d’obligation légale à enseigner à nos enfants une bonn
e alimentation, à l’école élémentaire ou secondaire. D’accord ?
Nous n’enseignons pas à nos enfants ce qu’est une bonne alimentation. N’est-c
e pas ? Et voici un petit reportage tourné dans une école élémentaire, de ce qui est très fréquent en Angl
...[+++]eterre. Video: Qui sait ce que c’est ? L’enfant : des pommes de terre ? JO : Tu penses que ce sont des pommes de terre ? Est-ce que tu sais ce que c’est ? Est-ce que tu sais ce que c’est ? L’enfant : Du brocoli? JO : Et ça? Notre bon vieil ami. Est-ce que tu sais ce que c’est ma chérie ? L’enfant: Du céleri. JO: Non. Qu’est ce que tu crois que c’est ? L’enfant: Un oignon. JO : Un oignon. ? Non. Jamie Oliver: Vous voyez immédiatement si les enfants savent d’où viennent les aliments. Video : JO : Qui sait ce que c’est ? L’enfant : Euh, une poire. JO: Qu’est ce que tu crois que c’est? L’enfant : Je ne sais pas. JO : Si les enfants ne savent pas ce que c’est ils ne le mangeront jamais. (Rires) JO: C’est courant. En Angleterre et en Amérique. En Angleterre et en Amérique. Devinez ce qui a résolu le problème.
We voeden onze kinderen niet op. Er is geen wettelijk recht om kinderen over voedse
l te leren, primair noch secundair onderwijs. Oke? We leren kinderen niets over voedsel. Correct? En dit is een kort fragment van een lagere school, welke erg alledaags is in Engeland. Video: Wie weet wat dit is? Kind: Aardappelen. Jamie Oliver:
Aardappelen? Dus je denkt dat dit aardappelen zijn? Weten jullie wat dit is? Weten jullie wat dit is? Kind: Broccoli? JO: En dit? Onze goede vriend. Weet je wat dit is schat? Kind: Selderij. JO: Nee, wat denk je
...[+++] dat dit is? Kind: Uien. JO: Uien? Nee. Jamie Oliver: Meteen krijg je een erg duidelijk beeld of de kinderen iets weten over waar voedsel vandaan komt. Video: JO: Wie weet wat dit is? Kind: Euhm, peer. JO: Wat denk je dat dit is? Kind: Ik weet het niet. JO: Als de kinderen niet weten wat iets is, zullen ze het nooit eten. (Gelach) JO: Normaal. Engeland en Amerika, Engeland en Amerika. Raad eens wat dit opgelost heeft? Raad eens wat dit opgelost heeft.(Acclamations) Message numéro trois : ne
partez pas avant de partir. Je pense qu'il est profondéme
nt ironique que les actions entreprises par les femmes -- et je le const
ate tout le temps - dans le but de rester dans le monde du travail, les conduisent en fait à finir par partir. Voici
ce qui se passe ; nous sommes tous occupés ...[+++]; tout le monde est occupé, une femme est occupée. Et elle commence à penser à faire un enfant. Et à partir du moment où elle pense à faire un enfant, elle pense à faire de la place pour cet enfant.
(Gejuich) Boodschap nummer drie: ga niet weg voor je weggaat. Ik denk dat het diep ironisch is dat dingen die vrouwen doen -- en ik zie dit aldoor gebeuren -- om aan de slag te blijven, er uiteindelijk toe leiden dat ze vertrekken. Het gaat zo: we hebben het allemaal druk, iedereen druk, vrouwen druk. Ze begint te denken aan een baby. Zodra ze daaraan begint te denken, begint ze te denken aan plaats maken voor dat kind.
Sur scène pour TE
D2013, Sugata Mitra nous fait part de son audacieux projet : Aidez-moi à
construire l'Ecole dans le Cloud, un laboratoire d'apprentis
sage en Inde où les enfants reflechissent et s'entraident ensemble — en utilisant les ressources
et le parrainage à partir du Cloud. On y découvre sa ...[+++]vision pour les Self Organized Learning Environments (EAAO). Pour en savoir plus, rendez-vous sur tedprize.org.
Op het podium op TED2013 doet Sugata Mitra zijn gedurfde TED Prize-wens: help me een School in de Wolken ontwerpen, een leerlab in India waar kinderen op verkenning kunnen gaan en van elkaar kunnen leren, met middelen en mentoren in de wolk. Luister naar zijn inspirerende visie over Zelf-organiserende leeromgevingen (Self Organized Learning Environments , SOLE) en verneem meer op tedprize.org.
Si nous voulons vraiment faire un réel progrès en s'attaquant à la pauvreté, alors nous devons nous assurer que chaque école où il y a des enfants dans la pauvreté est une vraie école, une école, une école -- (Applaudissements) -- une école qui leur fournit les connaissances et l'entraînement mental pour naviguer dans le monde qui les entoure.
Als we echt vooruitgang boeken in het aanpakken van de armoede, dan moeten we er zeker van zijn dat elke school die voorziet in onderwijs aan arme kinderen ook een echte school is, een school, een school -- (Applaus) een school die hen van kennis voorziet en mentale training om zich staande te houden in de wereld om hen heen.
Et tacitement, nous envoyons tous nos enfants, ou petits-enfants, ou nièces, ou neveux, à l'école et nous leur disons d'apprendre, vous le savez, d'apprendre ce qu'il y a dans ces écoles.
Als vanzelfsprekend sturen wij allemaal onze kinderen, kleinkinderen, nichtjes en neefjes naar school, en vertellen ze om te leren wat ze op school wordt aangeboden.
En fait, c'est plutôt intéressant. Juste
la formulation des badges ou le nombre de poin
ts que vous gagnez, nous le voyons à l'échelle du système étendu, comme des dizaines de milliers d'élèves de CM2 ou de sixième se dirigeant dans un sens ou un autre, en fonction du badge que vous leur donnez. (Rires) BG : Et votre association avec Los Altos, comment cela s'est-il fait ? SK : Los Altos, c'était un peu fou. Encore une fois, je ne m'attendais pas à une utilisation en classe. Une personne de chez eux est venue et a dit : « Qu'est-ce que vous f
eriez si v ...[+++]ous aviez carte blanche dans une classe ? » J'ai dit : « Eh bien, je laisserais tous les élèves travailler à leur propre rythme sur quelque chose comme ça et nous leur donnerions un tableau de bord. » Ils ont dit : « Oh, c'est un peu radical. Nous devons y réfléchir. » Et le reste de l'équipe et moi nous sommes dit : « Ils ne voudront jamais faire ça. » Mais dès le lendemain, ils nous ont dit : « Pouvez-vous commencer dans deux semaines ? » (Rires) BG : Donc cela concerne les cours de maths de CM2 maintenant ? SK : Deux classes de CM2 et deux classes de quatrième. Et ils le font à l'échelle du district. Je pense qu'ils sont exaltés par le fait qu'ils peuvent suivre les enfants désormais. Ce n'est pas cantonné à l'enceinte de l'école. Nous avons même vu qu'à Noël, certains enfants s'exerçaient. Et nous pouvons tout suivre. Donc ils peuvent vraiment les suivre alors qu'ils parcourent tout le district. Pendant l'été, ou alors qu'ils passent d'un enseignant à un autre, vous avez cette continuité des données qu'ils peuvent voir, même à l'échelle du district. BG : Donc certaines des fonctionnalités sont pour les enseignants pour qu'ils suivent l'évolution des enfants.
Het is heel interessant. De naam van de badge, of hoeveel
punten je krijgt om iets te doen, maken dat we over het hele systeem zien hoe tienduizenden kinderen van 10 of 11 jaar de ene of de andere richting uitgaan, afhankelijk van de badge die je ze geeft. (Gelach) BG: Je samenwerking met Los Altos, hoe is die tot stand gekomen? SK: Los Altos is een beetje een gek verhaal. Nogmaals, ik had niet verwacht dat dit gebruikt zou worden in de klas. Iemand van het bestuur kwam me zeggen: Wat zou je doen als je de vrije hand kreeg in een klas? Ik zei: Ik zou elke leerling op zijn tempo laten werken aan zoiets, en we zouden een dashboard maken. Z
...[+++]ij zeiden: Dat is nogal radicaal. We moeten erover nadenken. De rest van het team en ik hadden zoiets van: Dat gaan ze nooit willen doen. Maar letterlijk de volgende dag klonk het: Kun je over twee weken starten? (Gelach) BG: Dus dat gebeurt momenteel voor wiskunde voor 10-jarigen? SK: Het zijn twee klassen van 10-jarigen en twee van 12-jarigen. Ze doen het op districtsniveau. Volgens mij zijn ze enthousiast omdat ze de kinderen nu kunnen opvolgen. Dit gaat verder dan alleen op school. Zelfs met kerstmis zagen we dat sommige kinderen aan de slag waren. We kunnen alles volgen. Ze kunnen ze dus volgen over het hele district heen. Gedurende de vakantie, als ze naar de volgende leerkracht overgaan, is er een continuïteit van gegevens die ze zelfs op districtsniveau kunnen zien. BG: Dus een aantal van die gegevensoverzichten waren voor de leraar, om op te volgen wat er aan de hand is met de kinderen.Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous
avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Parad
is! Ca n'e ...[+++]xiste que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoo
fd dan een leven in deze hel! In dit leven z ...[+++]ijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'opti
misme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation la
mentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het besl
issende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
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Date index: 2024-01-25