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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «nous connaissons est vraiment » (Français → Néerlandais) :
et par conséquent, les gens la choisissaient. L'idée générale ici, au fait, est que nous ne connaissons pas vraiment bien nos préférences. Et parce que nous ne connaissons pas bien nos préférences nous sommes influençables par toutes les forces extérieures. Et par les choix qui nous sont présentés par défaut, etc.
En als gevolg kozen mensen die. Het overkoepelende idee hier, trouwens, is dat we onze voorkeuren eigenlijk niet zo goed kennen. En omdat we onze voorkeuren niet zo goed kennen zijn we bevattelijk voor al deze invloeden van externe krachten. De standaard-waarden, de individuele opties die ons gepresenteerd worden, en zo voort.
Et beaucoup ont demandé : « Connaissons-nous vraiment ce virus ?
En ze vroegen zich af hoe goed we dit virus kennen.
Donc ce que nous voyons ici est un système qui vit de façon très simi
laire à ce que nous connaissons comme étant la vie. Mais ce que les gens de la
NASA me demandaient vraiment était : Est-ce que ces trucs ont une sig
nature biologique ? Peut-on mesurer ce genre de vie ? Parce que si on peut, nous avons peut-être une chance de vr
...[+++]aiment découvrir de la vie ailleurs sans être influencés par des références comme les acides aminés. Donc j'ai dit : Eh bien, nous devrions peut-être construire une signature biologique basée sur la vie en tant que processus universel.
Wat we hier zien, is een systeem dat leeft op een manier die erg lijkt op het leven dat we kennen. Maar wat de NASA-mensen me echt hadden gevraagd, was: 'Hebben deze jongens een biosignatuur? Kunnen we dit soort van leven meten? Want als we dat kunnen, hebben we misschien kans om elders leven te ontdekken zonder vooroordelen over dingen als aminozuren.' Ik zei: ‘Misschien moeten we een biosignatuur construeren gebaseerd op leven als universeel proces.
Jusqu'à peu, ce que nous connaissions du cerveau c'était ce que le cerveau d'autres animaux pouvait faire aussi. Ainsi nous pouvions utiliser des modèles animaux. Nous savions comment les cerveaux voient, et comment ils contrôlent le corps, et comment ils entendent et ressentent. Et tout le projet de compréhension de la façon dont les cerveaux font des choses spécifiquement humaines, apprendre le langage, et les concepts abstraits, et réfléchir aux pens
ées des autres, est vraiment très nouveau. Et nous ne connaissons ...[+++] pas encore les implications de cette compréhension. C.A. : Alors j'ai encore une dernière question. Il y a ce qu'on appelle le problème épineux de la conscience, qui préoccupe beaucoup de gens. La notion qu'on puisse comprendre pourquoi le cerveau fonctionne, peut-être. Mais pourquoi les gens ressentent-ils des choses ?
Tot voor kort was onze kennis over het brein dingen die elk ander dierlijk brein ook kon doen. Dus we konden het in dierenmodellen bestuderen. We wisten hoe hersenen kijken en hoe ze het lichaam besturen, en hoe ze horen en voelen. En het hele project van begrijpen hoe hersenen de unieke menselijke dingen doen, taal leren, en abstracte concepten, en denken over andermans gedachten, dat is geheel nieuw. En we weten nog niet wat de implicaties zullen zijn van het begrijpen hiervan. C.A.: Ik heb nog een vraag. Er bestaat iets genaamd het moeilijke probleem van bewustzijn, dat veel mensen bezighoudt. Het besef dat je kunt begrijpen waarom ee
...[+++]n brein werkt, misschien. Maar waarom moet iemand iets voelen? C'est effrayant. Vous savez, je continue de parler de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la pr
écision, où l'on ne peut pas simplement raconter une histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces cont
eurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous donnent des détails dont tout le monde se fiche, du genre : Oh, j'ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portait ce jean très moche. En
fin, ce n'était pas ...[+++]vraiment un jean, c'était plutôt comme un, une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging. un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het waren niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.” Dan denk ik: “God!
Quand nous connaissons l'imminence d'un désastre, et que nous savons comment le résoudre à un coût moindre que celui du désastre lui-même, alors il n'y aura guère de polémique, vraiment.
Als we weten dat een ramp eraan komt en hoe ze op te lossen voor een kost die lager is dan de kost van de ramp zelf dan hoef je niet verder te discussiëren.
Pour se moquer des stéréotypes : [#SilAfriqueEtaitUnBar le Nigeria serait dehors à expliquer qu’il va payer l'entrée et que pour cela il a besoin des coordonnées bancaires du videur.] (Rires) Pour critiquer les dépenses publiques : [#SilAfriqueEtaitUnBar l'Afrique du Sud commanderait des alcools impron
onçables qu’elle ne peut pas se payer.] Pour faire la lumière sur les tensions géopolitiques : [#SilAfriqueEtaitUnBar le Soudan du Sud ser
ait le nouveau gars vraiment tr
ès colérique.] Pour nous rappeler ...[+++]que même en Afrique, il y a des pays que nous ne connaissons pas : [#SilAfriqueEtaitUnBar le Lesotho serait ce type que personne ne connaît mais qui est sur toutes les photos.] Et aussi pour se moquer des pays qui ne se considèrent pas en Afrique : [#SilAfriqueEtaitUnBar l’Égypte, la Libye, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc se demanderaient : « Mais qu’est-ce qu'on fait là ? »] (Rires) Et pour mettre en avant les pays qui se sont bien redressés : [#SilAfriqueEtaitUnBar le Rwanda serait cette fille sans argent ni moyen de transport qui repart ivre, heureuse et riche.] Mais plus important encore, les gens utilisèrent le hashtag pour entrer en contact.
Om de spot te drijven met hun stereotypen: [dan zou Nigeria buiten staan uitleggen dat hij het entreegeld zal betalen, zodra de portier hem zijn bankgegevens vertelt.] (Gelach) Om te lachen met overheidsuitgaven: [dan zou Zuid-Afrika flessen bestellen waarvan het de naam niet kan uitspreken en een onbetaalbare rekening krijgen] Om geopolitieke spanningen te verduidelijken: [dan zou Zuid-Soedan de nieuwkomer zijn met een ernstig woedebeheersingsprobleem.] Ter herinnering dat er zelfs in Afrika landen zijn waar we het bestaan niet van kennen: [dan was Lesotho die
persoon die niemand echt kent maar die op alle foto's staat.] Om te lachen me
...[+++]t de landen die niet willen weten dat ze in Afrika liggen: [dan zouden Egypte, Libië, Tunesië, Algerije en Marokko iets hebben van Wat doen wij hier?!! ] (Gelach) En om landen op te merken die een grote verandering hebben ondergaan: [dan zou Rwanda dat meisje zijn dat zonder geld en transport aankomt en tipsy, gelukkig en rijk naar huis gaat] Maar het allerbelangrijkste: mensen gebruikten de hashtag om verbinding te maken.Nous ne connaissons pas l'avenir de la bibliothèque, nous ne connaissons pas l'avenir du livre, nous adopterons donc cette approche.
We kennen de toekomst van de bibliotheek niet, ook niet van het boek, dus gaan we deze benadering gebruiken.
Puis un jour, le 28 août 1854, une petite fille de 5 mois dont nous ne connaissons pas le nom, nous la connaissons seulement sous le nom de Bébé Lewis, a attrapé le choléra. Elle avait le choléra au 40 Broad Street.
Toen was er op een dag, 28 augustus 1854, een meisje van 5 maanden - haar voornaam is onbekend, we kennen haar alleen als Baby Lewis - dat op een of andere manier cholera kreeg. Zij kreeg cholera op Broad Street 40.
Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre? Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie
sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humains dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un
...[+++] ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is: A
ls er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch
...[+++] fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
nous connaissons est vraiment ->
Date index: 2022-05-30