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Vertaling van "mon père donc " (Frans → Nederlands) :
Parce que ma mère était une femme, elle n'avait le droit d'être propriétaire d'aucun bien, et par défaut, de toute façon tout dans ma famille appartient à mon père, donc il avait le droit.
Omdat mijn moeder een vrouw was, mocht ze geen eigen bezittingen hebben. In mijn familie was alles per definitie eigendom mijn vader, dus hij had het recht. In mijn familie was alles per definitie eigendom mijn vader, dus hij had het recht.
Et il y a les écoles nationales, qui sont les meilleures, et il y a les écoles d
e province. L'école dont je rêvais à cette epoque était le Lycée du Kenya, une école nationale. J'ai raté la note minimale à un point près. Et j'étais tellement désemparée, je me disais Mon Dieu, qu'est ce que je vais faire maintenant? Et mon pere a dit écoute allons à cette école et parlons à la directrice. C'est juste un point après tout, peut etre qu'elle te laissera entrer s'il reste des places Donc on est allé à l'école et parce que nous n'étions pas des gens importants, que nous n'avions aucun privilè
ge et parce que mon ...[+++]père n'avait pas le bon nom de famille il s'est fait traité comme un moins que rien. Et je me souviens être assise et entendre la directrice lui dire: vous vous prenez pour qui ? Vous êtes un rigolo pour penser que vous pourriez avoir une place Et dans mon collège, il y avait d'autres filles, elles étaient filles d'hommes politiques et leurs résultats étaient bien moins bons que les miens mais elles étaient rentree au Lycée du Kenya.
We hebben nationale scholen, die de beste zijn, en provinciale scholen. M
ijn droomschool was toen 'Kenia High School', een nationale school. Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en dacht: Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en
dacht: Wat ga ik nu doen? Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Het gaat maar over één punt. Misschien laat ze je toe als de plek er nog is. We gingen naar de school. Omdat we niet belangrijk en
...[+++] niet bevoorrecht waren en mijn vader niet de juiste achternaam had, werd hij als vuil behandeld. Ik hoorde de directrice zeggen: Wie denkt u dat u bent? Maakt u een grap of denkt u echt dat wij u die plek geven? Op mijn school zaten andere meisjes, kinderen van politici, die het veel slechter deden dan ik en zij werden toegelaten.Je parlais à mon père et à ma mère ce matin, et mon père a dit, je sais que tu as plein de choses à dire, mais tu dois parler de ton travail avec les enfants. Donc j'ai dit OK.
Ik was aan het praten met mijn moeder en vader deze morgen, en mijn vader zei, Ik weet dat je zoveel wil zeggen, maar je moet spreken over je werk met kinderen. Dus zei ik, oké.
Beaucoup de gens qui ont une paralysie cérébrale ne peuvent pas marcher, mais mes parents n'acceptaient pas qu'on leur dise « je ne peux pas
». Le mantra de mon père était, « Tu peux le faire, oui, tu peux
pouvoir. » (Rires) Donc, si mes trois sœurs aînées passaient la serpillière, je passais la serpillière. Si mes trois sœurs aînées allaient à l'école publique, mes parents portaient plainte contre le système scolaire pour obtenir que j'y aille aussi, et si nous n'avions pas tous des A, on se prenait tous les coup
...[+++]s de savate de ma mère. (Rires) Mon père m'a appris à marcher quand j'avais 5 ans en plaçant mes talons sur ses pieds et en marchant, simplement. Une autre tactique qu'il utilisait était d'agiter un billet de un dollar devant moi, et je devais l'attraper.
Veel mensen met hersenverlammi
ng lopen niet, maar mijn ouders geloofden niet in kan niet'. Mijn vaders mantra was: Je kan het, ja, je kan kunnen. (Gelach) Dus als mijn drie oudere zussen dweilden, dweilde ik. Als mijn drie oudere zussen naar de openbare school gingen, klaagden mijn ouders het schoolsysteem aan tot ik ook ging. En als we niet allemaal tienen haalden, voelden we allemaal mijn moeders slof. (Gelach) Mijn vader leerde me lop
en toen ik vijf was door mijn hielen op zijn voeten te zetten en gewoon te lopen. Bij een van zijn
...[+++]andere tactieken hield hij een dollarbiljet voor me en liet mij het achtervolgen.je sautais au volant et je faisais faire le tour de la rue au nouveau modèle, et c'était géant. Et ça a duré environ deux ans, jusqu'à ce que - je crois que j'avais environ 12 ans -- m
on père ramène à la maison une Lincoln Mark III. Et il
neigeait ce jour-là Donc maman et lui sont allés diner, Et je suis sorti en douce et j'ai pensé que ce serait vraiment cool de faire des ronds ou même des 8 dans la neige. Mo
n père a terminé son repas tôt ce soir-là.
...[+++]Et il se dirigeait vers l'entrée et il a ouvert la porte au moment même ou j'ai glissé sur du verglas et je l'ai retrouvé devant la porte d'entrée avec la voiture -- et j'ai presque fini dans le hall d'entrée. Les test de conduite ont été plutôt refroidis pendant un moment.
Ik kroop achter het stuur van de nieuwe auto en reed lekker een rondje. Het was geweldig. Dat deed ik zo'n twee jaar lang, tot - ik geloof tot m'n twaalfde - toen m'n vader een Lincoln Mark III mee naar huis nam. Het sneeuwde die dag. Hij en m'n moeder gingen uit eten en ik glipte er tussenuit om wat gave rondjes te rijden of zelfs achten te draaien in de sneeuw. M'n vader was die avond vroeg klaar met eten. Hij liep vanuit onze hal naar de voordeur net op het moment dat ik slipte op een ijsplek. Ik ontmoette hem bij de deur toen ik de auto bijna onze hal inreed. Sindsdien heb ik wel wat rustiger aan gedaan met mijn testritjes.
Je me suis faite engueuler comme jamais, je suis partie me cacher dans ma chambre, me cacher sous la couverture, et puis
j'attendais que mon père rentre du travail avec, on peut le dire, beaucoup d'appréhension. Je l'ai entendu rentrer, je suis restée sous les couvertures, il est rentré dans ma chambre, il
s'est assis sur le coin du lit, et puis il n
e disait rien donc j'ai retiré la tête de sous les couvertures, et quand il m'a vue
...[+++] il a éclaté de rire.
Ze schreeuwde naar me zoals ze nooit tevoren had gedaan. Ik ging me verstoppen in mijn slaapkamer, onder de lakens. Ik wachtte tot mijn vader terugkwam van zijn werk, met, dat mag je wel zeggen, een bang hartje. Ik hoorde hem binnenkomen. Ik bleef onder te dekens. Hij kwam mijn kamer binnen, ging op de hoek van het bed zitten, en bleef stil. Dus ik trok het laken van mijn hoofd, en toen hij me zag begon hij te lachen.
Donc j'étais impatient de commencer ce projet pour que Kevin puisse faire la connaissance de mon robot. (Rires) (Sons de robot) Mais ce n'était pas ce genre de robot auquel pensait mon père. En fait, il avait une entreprise faisant du plaquage de chrome, et ils devaient déplacer de lourdes pièces métalliques entre des cuves chimiques, et donc il avait besoin d'un robot industriel comme celui-ci qui pouvait simplement soulever de lourdes charges.
Dus ik kon niet wachten om hieraan te beginnen zodat ik Kevin aan mijn robot kon voorstellen. (Gelach) (Robotgeluiden) Maar het was niet zo'n robot die mijn vader in gedachten had. Hij had een verchroombedrijf, en zij moesten zware stalen onderdelen verplaatsen tussen chemicaliëntanks, dus hij had een industriële robot als deze nodig die het zware tilwerk kon doen.
Donc le petit Billy va à l'école, il s'assoit et l'enseignant dit, Que fait ton père ? Et le petit Billy dit : Mon père joue du piano dans un salon d'opium. Alors l'enseignant appelle les parents et leur dit, Billy nous a raconté une histoire choquante aujourd'hui.
Kleine Billy gaat naar school en de leraar vraagt: Wat doet je vader? Kleine Billy zegt: “Mijn vader speelt piano in een opiumhol. De leraar belt de ouders op en zegt: Kleine Billy vertelt me een zeer choquerend verhaal.
Donc pendant 30 ans, je n'ai pas revu mon père.
Dus drie decennia lang heb ik mijn vader niet gezien en hij mij niet.
Nous avons grandi en jouant de la musique - Maman est du Cap-Breton, comme par hasard. Maman et la mère de Natalie se connaissaient. Nous avons grandi en jouant, et nous avions l'habitude de danser ensemble, oui, c'est vrai. (Rires) Nous avons grandi en jouant tout un tas de... Nous jouions de mémoire, et je pense que c'est important dans notre cas, parce que nous n'étions pas vraiment exposés à beaucoup de différents styles de musique. Nous avons appris à jouer des instruments, mais nous devions trouver ça en nous-mêmes, parce que nous ne regardions pas la télévision, nous n'écoutions pas beaucoup la radio. Nous allions à l'église, et à l'école, parfois, travaillions à la ferme, et jouions de la
musique, nous avons ...[+++]donc pu, je pense, à un âge très critique, développer notre propre style, notre propre personnalité ; ma mère joue, mon père joue, et le style qui est venu de la vallée d'Ottawa, en Ontario, nous l'appelons le style franco-Canadien, mais il trouve son origine dans les camps de bûcherons. Il y a des années, des centaines d'hommes allaient passer l'hiver dans les camps dans le Nord de l'Ontario et au Québec, et ils étaient tous de cultures différentes, et les irlandais, les français, les écossais, les allemand, ils se rencontraient, et bien sûr, la nuit, ils jouaient aux cartes, et dansaient et jouaient du violon, et au fil de nombreuses années, le style de violon de la vallée d'Ottawa a évolué, et la danse de la vallée d'Ottawa a évolue, alors j'ai en quelque sorte commencé avec ce style, et je me suis vite mis à faire mon propre truc, et puis j'ai rencontré Natalie, et j'ai été exposé au style génial du Cap-Breton.
We groeiden op met muziek spelen -- ma komt toevallig uit Cape Breton. Ma en de moeder van Natalie kenden elkaar. We groeiden op met muziek spelen, en we dansten samen, ja, natuurlijk. (Gelach) We groeiden op en we speelde
n op het gehoor. Ik denk dat dat belangrijk voor ons was omdat we niet blootgesteld werden aan veel verschillende muziekstijlen. We leerden de instrumenten te bespelen, maar het moest van binnen komen omdat we geen televisie keken en niet veel naar de radio luisterden. We gingen naar de kerk en soms naar school, we werkten op de boerderij en speelden muziek. Zo waren we in staat om op een erg kritische leeftijd onze eig
...[+++]en stijl te ontwikkelen, ons eigen ik. Mijn moeder speelt, mijn vader speelt, in de stijl die zijn oorsprong heeft in de Ottawavallei in Ontario. Wij noemen het de Frans-Canadese stijl maar het kwam oorspronkelijk uit de houthakkerskampen. Jaren geleden gingen honderden mannen gedurende de winter naar kampen in het noorden van Ontario en in Quebec. Ze kwamen uit verschillende culturen. De Ieren, de Fransen, de Schotten, de Duitsers, ze kwamen allemaal samen, en 's avonds gingen ze kaarten, deden ze aan stepdansen en speelden ze viool. Na velen jaren is de Ottawa Valley-vioolmuziek ontstaan, en ontstond het Ottawa Valley-stepdansen. Dat is hoe ik ongeveer begonnen ben met die stijl. Al snel begon ik mijn eigen ding te doen. Toen ontmoette ik Natalie, en ik kwam in contact met de geweldige Cape Breton vioolmuziek. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
mon père donc ->
Date index: 2021-09-26