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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «mes petites-filles elles se battent parfois » (Français → Néerlandais) :
(Audio) Alexis Martinez : L'une des choses les plus difficiles pour moi était ma peur de ne plus pouvoir faire partie de la vie de mes petites-filles, et vous l'avez écartée complètement, ton mari et toi. L'une des conséquences est ma relation avec mes petites-filles. Elles se battent parfois pour déterminer si je suis un homme ou une femme.
(Audio) Alexis Martinez: Een van de moeilijkste dingen voor mij was de angst geen deel te mogen uitmaken van mijn kleindochters levens. Jij maakte daar korte metten mee, jij en je man. Een van de vruchten daarvan is, in mijn relatie met mijn kleindochters, dat ze soms ruzie maken over of ik een hij of een zij ben.
Et le gars m'a dit : Ce n'est pas possible. Cette grand-mère ne voudra mêm
e pas - vous savez, elle ne te laissera jamais rencontrer cette fille qu'elle élève. J'ai pris une traductrice avec moi, et je suis allé dans ce village trouver la grand-mère, je me suis assis avec elle. Et à mon grand étonnement, elle a accepté de me laiss
er photographier sa petite-fille. Et je payais de ma poche , alors j'ai demandé à la traductrice si c'était d'accord pour que je reste pour la semaine. J'avais un sac de couchage. La famille avait une petite r
...[+++]emise à côté de la maison, alors j'ai dit: Pourrais-je dormir dans mon sac de couchage le soir? Et j'ai dit à la petite fille, dont le nom était Hyun Sook Lee, que si jamais je faisais quelque chose qui la gênait - elle ne parlait pas un mot d'anglais, même si elle avait l'air très américaine - elle pouvait simplement lever la main et dire: Stop. Et j'arrêterais de prendre des photos. Et puis ma traductrice est partie. J'étais donc là, je ne parlais pas un mot de coréen, et c'était la première nuit que je voyais Hyun Sook. Sa mère était encore en vie. Sa mère ne l'élevait pas, sa grand-mère l'élevait. Et ce qui m'a frappé immédiatement c'était combien ces deux personnes s'aimaient.
De man verzekerde me: Dat gaat je nooit lukken. De oma zal nooit
toelaten dat je dit meisje ook maar ziet. Ik nam een tolk mee en ging naar het dorp, vond de grootmo
eder, ging bij haar zitten. Tot mijn verbijstering kreeg ik toestemming van haar om haar kleindochter te fotograferen. Ik betaalde dit zelf, dus ik vroeg aan de tolk of ik een week ter plekke mocht logeren. Ik had een slaapzak. De familie had een klein schuurtje naast het huis, dus ik vroeg: Kan ik daar 's nachts in mijn slaapzak slapen? Ik vertelde het meisje, dat Hyun-So
...[+++]ek Lie heette, dat als ik haar ooit in verlegenheid bracht -- ze sprak geen woord Engels, hoewel ze er Amerikaans uitzag -- ze haar hand kon opsteken en zeggen: Stop . Dan zou ik stoppen met het nemen van foto's. Toen vertrok mijn tolk. Daar zat ik dan, ik sprak geen woord Koreaans. Dit is op de avond dat ik Hyun-Soek ontmoette. Haar moeder leefde nog. Haar moeder voedde haar niet op, dat deed haar oma. Wat me onmiddellijk opviel, was hoezeer deze twee mensen van elkaar hielden.L'une de mes citations favorites de la littérature a été écrite par Tillie Olsen, la grande écrivain du sud des États
-Unis. Dans une nouvelle intitulée « Oh Yes », elle parle d'une femme blanche dans les années 1950 qui a une fille qui est amie avec une petite fille afro-américaine. Elle regarde sa fille avec un s
entiment de fierté, mais elle se demande également, quelle prix devra-t-elle payer ? « L'immersion est préférable à une vie sans contact. » Mais la vraie question est : Qu'est-ce que c
ela coûte de ne pas ...[+++]oser ? Qu'est-ce que cela coûte de ne pas essayer ?
Een van mijn favoriete citaten uit de literatuur werd geschreven door Tillie Olsen, de grote Amerikaanse schrijfster uit het Zuiden. In een kortverhaal genaamd Oh Yes , vertelt ze over een blanke vrouw in de jaren '50 die een dochter heeft die bevriend raakt met een klein Afrikaans-Amerikaans meisje. Ze kijkt naar haar kind met een gevoel van trots, maar ze vraagt zich ook af: welke prijs zal ze daarvoor betalen? Diepgang is beter dan onaangeroerd te leven. Maar de echte vraag is: wat zijn de kosten van het niet-durven? Wat zijn de kosten van het niet-proberen?
M
ais parfois il ne savait pas s'il hallucinait ou non. Parce que les hallucinations étaient cohérentes dans le contexte de ses visions. Ainsi à
une occasion où ses petites filles lui rendirent visite, il demanda, Et qui sont c
es charmants jeunes hommes qui vous accompagnent ? Et
elles répondirent, Malheureusement, Grand Père, il n'y a pas de charmants jeunes hommes. Et de suite les ravissan
...[+++]ts jeunes garçons disparurent.
Maar soms was hij niet zeker of hij aan het hallucineren was of niet. Omdat de hallucinaties pasten in de context van wat hij kon zien. Op een bepaald ogenblik, terwijl zijn kleindochters op bezoek waren, zei hij: En wie zijn die knappe jonge mannen die bij jullie zijn? En zij zeiden: Helaas, grootvader, er zijn geen knappe jonge mannen. En dan verdwenen de knappe jonge mannen.
Chaque jour, je vois mes petits-enfants, du même âge que ces jeunes filles, et je me pose des questions, et je me mets parfois en colère, ça m'arrive.
Elke dag zie ik mijn kleinkinderen, ongeveer zo oud als deze jonge meisjes, en ik vraag het me af, en soms word ik echt boos.
Je me souvenais du temps quand ma mère s'amusait à m'habiller en petite fille -- c'est moi ici -- parce qu'elle voulait une fille, et qu'elle n'a eu que des garçons.
Ik herinnerde me de tijd dat mijn moeder mij verkleedde als een klein meisje -- dat ben ik daar -- omdat ze een meisje wilde, en ze heeft alleen jongens.
Tu penses que ça va me manquer de ne pas savoir si mes enfants vont rentrer à la maison à la fin de la journée ? Et de conclure : Si tu me donnes 10 minutes, mes valises seront prêtes. à la fin de la journée ? Et de conclure : Si tu me donnes 10 minutes, mes valises seront prêtes. Je lui ai demandé : Et à propos de tes rêves ? et elle m’a répondu : C'est vrai que, mes rêves ne ressemblent pas exactement à ce que j'avais imaginé étant petite fille.
Dat ik niet weet of mijn kinderen thuis zullen komen aan het einde van de dag? Ze zei Als je me 10 minuten gaf zouden mijn koffers gepakt zijn. Ik zei, En je dromen dan? En zei zei, Nou, weet je, mijn dromen zijn niet dezelfde als ik dacht dat ze zouden zijn toen ik een meisje was.
Et lorsque je m’apitoyais sur moi-même, comme le font les filles de 10 ans, elle me disait : « Ma chérie, sur l’échelle des plus grandes tragédies du
monde, la tienne n'atteint même pas trois. » (Rires) Et quand j’ai posé ma candidature à une école de commerce, en étant certaine de ne pas y arriver, aucune de mes connaissances n’y était arrivé, je suis allé chez ma tante qui avait été battue par son mari pendant des années et avait fini par échapper à un mariage de violences avec seulement sa dignité intacte. Et elle m'a dit : « Ne fais jamais tiennes les limitations des autres. » Et quand je me plaignais à ma grand-
...[+++]mère, une vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, qui a travaillé dans le cinéma pendant 50 ans, et qui m’a soutenu dès l’âge de 13 ans, quand je me plaignais d'avoir peur que si je refusais un pont en or chez ABC pour une bourse à l'étranger, je ne retrouverai jamais, jamais un autre boulot, elle me disait : « Ma petite, je vais te dire deux choses. Tout d’abord, personne ne dit non à un Fullbright, et deuxièmement, il y a toujours de la place chez McDonald’s. » (Rires) « Tu trouveras un emploi. Fais le grand saut. » Les femmes de ma famille ne sont pas des exceptions. Les femmes dans cette salle, et celles qui nous regardent à L.A., et partout dans le monde, ne sont pas des exceptions. Nous ne sommes pas un groupe d’intérêt.
Als ik medelijden had met mezelf, zoals 9 of 10 ja
ar oude meisjes wel eens plegen te doen, zegde ze tegen mij: Liefje, op een schaal van de grote wereldtragedies is jouw geval nog niet eens een drie. (Gelach) Toen ik me inschreef aan de businessschool en er zeker van was dat ik het niet aankon en niemand kende die het had gedaan, ging ik naar mijn tante die jaren door haar man was mishandeld en ontsnapt was aan een huwe
lijk vol geweld met alleen haar waardigheid intact. Ze vertelde me: Importeer nooit de beperkingen van andere mensen.
...[+++] Ooit ging ik klagen bij mijn grootmoeder, een Tweede-Wereldoorlogveteraan die 50 jaar lang voor de film werkte en me steunde van toen ik 13 was. Ik zei dat ik bang was dat als ik een droomjob bij ABC zou afslaan voor een beurs in het buitenland, ik nooit meer een andere baan zou vinden. Ze zei: Kindje, ik ga je twee dingen vertellen. Ten eerste, niemand scheept een Fulbright af en ten tweede, McDonald's werft altijd aan. (Gelach) Je vindt wel een baan. Riskeer het maar. De vrouwen in mijn familie zijn geen uitzonderingen. De vrouwen in deze kamer en toekijkend in L.A. en in de rest van de wereld zijn geen uitzonderingen. Wij zijn geen 'speciale gevallen'.Alors pendant que les médecins continuaient à m'opérer, et remettre mon corps d'aplomb, j'étudiais la théorie, et finalement, j'ai miraculeusement passé l'examen médical, j'avais le feu vert pou
r voler. J'ai passé autant de temps que possible dans cette l'école d'aviation, bien loin de ma zone de confo
rt, tous ces jeunes gens qui voulaient devenir pilote pour Qantas, vous voyez, et moi la petit claudicante dans mon plâtre au début et ensuite avec mes prothèses, la large salopette, mon sac de médicaments et de cathéters, mon boitilleme
...[+++]nt, ils avaient l'habitude de me regarder et de penser, « Oh, de qui se moque-t-elle ? Elle n'en sera jamais capable. » Et parfois, je partageais leur avis. Mais ça n'avait pas d'importance, j'avais maintenant un feu intérieur bien plus important que mes blessures.
Terwijl de dokters bleven opereren en mijn lichaam weer bijeenpuzzelden, ging ik verder met theorie studeren, en uiteindelijk, miraculeus, slaagde ik
voor mijn medische test. Ik kreeg groen licht om te vliegen. Ik besteedde elk vrij moment op d
ie vliegschool, ver buiten mijn comfortzone, met al die jonge kerels die Qantaspiloot wilden worden, en ik als kleine oude spring-in-'t-veld eerst in mijn gipsharnas, dan in mijn stalen brace, mijn slodderende overall, mijn tas met medicijnen en katheters en mijn mankepoot. Ze keken me na en dac
...[+++]hten: Wie maakt zij wat wijs? Dat lukt haar nooit. Soms dacht ik dat ook. Maar dat was niet belangrijk, want nu brandde er een vuur vanbinnen dat veel sterker was dan mijn kwetsuren.Agnès, que pourrions-nous faire d'autre pour vous? et elle a répondu: Eh bien, Eve, vous savez, si vous me donniez de l'argent, je pourrais ouvrir une maison et les filles pourraient se réfugier et pourraient être sauvées. Et je veux raconter cette petite histoire de mes propres débuts parce qu'elle est très liée au bonheur et, et à Agnès.
Agnes, wat kunnen we nog voor je doen? Ze zei: Eve, weet je, als je mij wat geld gaf, zou ik een huis kunnen openen en zouden meisjes kunnen weglopen en gered worden. Ik wil dit verhaaltje vertellen over mijn eigen begin, want het heeft veel te maken met geluk, en met Agnes.
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Date index: 2022-06-15