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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «leurs habitudes aussi lent à répondre » (Français → Néerlandais) :
En fait, ils ne se seraient jamais pensé aussi fermés et ancrés dans leurs habitudes, aussi lent à répondre aux nouveaux défis, aussi petits et réticents au risque. Et en fait, ils l'étaient pas. Ils ont réinventé la charité à l'époque. Ce que Rockefeller appelait Les activités de bienfaisance. Mais à la fin du XXe siècle, une nouvelle génération de critiques et réformateurs en était venue à considérer la philanthropie exactement de cette manière.
Ze zouden zichzelf nooit beschouwd hebben als gesloten en op zichzelf geplooid, als traag in het aangaan van nieuwe uitdagingen, als klein en risico-vermijdend. Dat was ook niet zo. Liefdadigheid werd toen opnieuw gevonden. Rockefeller noemde het de markt van de welwillendheid . Tegen het einde van de 20e eeuw ging een nieuwe generatie critici en hervormers de filantropie ook werkelijk zo zien.
Que se passe-t-il quand on combine ces technologies ? Disponibilité croissante des données faciales ; capacité améliorée de reconnaissance faciale par les
ordinateurs ; mais aussi le cloud computing, qui donne à chacun de nous dans cette salle la puissance de calcul qui, il y a quelques années à peine, était du registre des services spéciaux ; et l'informatique omniprésente, qui permet à mon téléphone, pourtant pas un super-ordinateur, de se connecter à Internet et d'y réaliser des centaines de milliers de mesures faciales en quelques secondes. Et bien, nous émettons l'hypothèse que le résultat de cette combinaison de technologies ser
...[+++]a un changement radical de nos conceptions mêmes de la vie privée et de l'anonymat. Pour tester cela, on a réalisé une expérience sur le campus de l'Université Carnegie Mellon. On a demandé à des étudiants qui passaient de participer à une étude, on a pris une photo d'eux avec une webcam, et on leur a demandé de répondre à un sondage sur un PC portable. Pendant qu'ils répondaient au sondage, on a téléchargé leur photo sur un groupe de cloud-computing, et on a utilisé un outil de reconnaissance faciale pour faire correspondre cette photo à une base de données de centaines de milliers d'images, qu'on avait téléchargée depuis des profils Facebook.
Wat gebeurt er zodra je de volgende technologieën combineert: grotere beschikbaarheid van gezichtsdata, verbeterde gezichtsherkenning, én cloud computing, wat iedereen in deze zaal de rekenkracht geeft waarover een paar jaar geleden enkel age
ntschappen met drie letters beschikten, en alomtegenwoordig computergebruik, wat mijn telefoon in staat stelt, en dat is geen supercomputer, om verbinding te maken met het internet en daar honderdduizenden gezichtsberekeningen te maken in een paar seconden? We vermoeden dat als gevolg van de combinatie van deze technologieën onze opvattingen over privacy en anonimiteit radicaal zullen veranderen onze
...[+++] opvattingen over privacy en anonimiteit radicaal zullen veranderen Als test voerden we een experiment uit op de campus van Carnegie Mellon University. We vroegen studenten om deel te nemen aan een onderzoek, we namen hun foto met een webcam. Daarna moesten ze een vragenlijst invullen op een laptop. Terwijl zij de vragenlijst invulden, uploadden wij hun foto naar een cloud computing wolk. We gebruikten een gezichtsherkenner om de foto te vergelijken met honderdduizenden foto's die we hadden gedownload van Facebookprofielen.C'est leur problème. » On dit que l'on est triste, on dit que l'on est désolé, mais l'on dit aussi : « Et alors ? » Figurez-vous qu'il y a deux ans de cela, c'était mon problème, parce qu'en m’asseyant comme d'habitude sur le bord de mon lit, je me suis rendu compte que j'étais suicidaire.
Dat is hun probleem. We zeggen dat we triest zijn en dat het ons spijt, maar ook: En dan? Twee jaar geleden werd het mijn probleem. Ik zat op de rand van mijn bed waar ik al een miljoen keer eerder had gezeten en ik was suïcidaal.
Les gens disent : « Personne ne m'aime. » Et on leur dit : « Moi, je t'aime, ta femme t'aime, ta mère t'aime. » Cette réponse n'est pas dure à trouver, pour la plupart des gens, au moins. Mais le
s dépressifs disent aussi : « Quoi qu'on fasse, on va tout finir par mourir. » Ou ils disent : « Il ne peut pas y avoir de vraie communion entre deux êtres humains. Chacun est enfermé dans son propre corps.
» Ce à quoi il faut ...[+++]répondre : « Oui, en effet, mais là maintenant il vaut mieux se concentrer sur ce qu'on va prendre au petit déjeuner. » (Rires) Souvent, ce qu'ils expriment, ce n'est pas la maladie, mais la perspicacité, et on arrive à penser que l'extraordinaire, c'est que la plupart d'entre nous sont au courant de ces questions existentielles mais elles ne nous troublent pas trop.
Ze zeggen: Niemand houdt van me. Je antwoordt: Ik hou van je, je vrouw houdt van je, je moeder houdt van je. Daarop kan je vrij gemakkelijk een antwoord geven, voor de meeste mensen dan toch. Maar wie depressief is, zal ook zeggen: Wat we ook doen, op het einde gaan we allemaal dood. Of: Er kan geen echte c
ommunicatie bestaan tussen twee menselijke wezens. Ieder van ons zit gevangen in zijn eigen lichaam. Daarop moet je zeggen: D
at is waar, maar ik denk dat we ons nu moeten concentreren over wat gaan hebben als ontbijt. (Gelach) Heel
...[+++]veel tijd besteden ze niet aan het uitdrukken van ziekte, maar van inzicht. Wat zo raar is, is dat de meesten onder ons deze existentiële vragen kennen, maar er niet veel aandacht aan schenken.O
n le trouve aussi bien sur la côte est que la côte oue
st, et les symboles sont souvent très bien conservés, chacun de ces symboles a quatre bits -- c'est un mot binaire à quatre bits -- on dessine aléatoirement ces lignes dans le sable, et ensuite on les compte, si le nombre est impair, on fait une marque, et s'il est pair, on en fait deux, Et ils le faisaient très rapidement, et je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient en faire -- ils ne dessinaient les lignes aléatoires que quatre fois -- Je ne comprenais pas comment ils obtenaient
...[+++] les 12 autres symboles. Et ils ne voulaient pas me le dire. « Non, non. Je ne peux pas vous en parler », disaient-ils. Et moi de répondre : « Bon, je vous paierai, vous serez mon professeur, et je viendrai chaque jour et je vous paierai. » « Ce n'est pas une histoire d'argent. C'est une histoire de religion », disaient-ils. Et finalement, désespéré, j'ai dit : « Laissez-moi vous expliquer Georg Cantor en 1877. » Et j'ai commencé à leur expliquer pourquoi j'étais en Afrique, et ils devinrent très excités quand ils virent l'ensemble de Cantor. L'un d'eux a dit : « Venez. Je pense que je peux vous aider. » Et donc il me fit passer le rituel initiatique des prêtres bamanas.
Je vindt het op de Oostkust en op de Westkust, en de symbolen zijn vaak goed bewaard, ze hebben elk vier bits -- het is een binair woord van vier bits -- je trekt deze lijnen willekeu
rig in het zand, en telt dan terug. Is het oneven, dan trek je één lijn, is het even, dan trek je twee lijnen. Ze deden dit heel snel en ik snapte niet waar ze heengingen -- ze deden het willekeurige stuk maar vier keer -- ik snapte niet waar de andere 12 symbolen vandaan kwamen. Ze wilden het me niet zeggen. Ze zeiden: Nee, nee, ik kan het je niet vertellen. Ik zei: Kijk, ik betaal je, je kan mijn leraar zijn en ik zal je elke dag komen betalen. Ze zeiden:
...[+++]Het is geen kwestie van geld. Het is een kwestie van religie. Ten einde raad zei ik: Laat me jullie Georg Cantor in 1877 uitleggen. Ik begon uit te leggen waarom ik in Afrika was, en ze werden opgewonden toen ze de Cantorverzameling zagen. Eén van hen zei: Kom hier, ik denk dat ik je kan helpen. Hij leidde me door het initiatieritueel van een Bamanapriester.LT : J'utilise beaucoup les média sociaux -- Tais-toi, c'est bon -- (Rires) LT : Je surveille mes mails et mes SMS pour voir mes amies et leur répondre aussi vite que possible, car je sais qu'elles ont besoin de mes conseils,
LT: Ik zit vaak op social media -- Wees jij nou even rustig. (Gelach) LT: Ik zoek naar vrienden tussen m'n emails en m'n sms-berichtjes, zodat ik ze zo snel mogelijk antwoord kan geven, want ik weet dat ze mijn raad nodig hebben.
Vous savez, nous fournissons des servi
ces de santé et les gens sont toujours en train de rouspéter après moi là-dessus, parce que, vous
savez, je suis pour rendre des comptes et tout ça, mais nous fournissons des services de santé et je dois collecter des fonds importants. Les gens disaient
quand ils donnaient leur argent : « Geoff, pourquoi fournis-tu ces services de
santé ? » J'avais l'habitude ...[+++] d'inventer un truc. Je disais : « Et bien, vous savez, un enfant qui a des caries ne sera pas, euh, capable d'étudier aussi bien. » Et je devais le faire car je devais trouver l'argent.
We bieden gezondheidszorg en mensen zeuren er altijd over tegen me, omdat ik me bezighoud met verantwoordelijkheid en gegevens en dat soort dingen, maar we bieden gezondheidszorg en ik moet een hoop geld ophalen. Mensen die ons financiëren, zeiden tegen ons: Geoff, waarom bied je deze mensen gezondheidszorg? Ik verzon altijd maar wat. Ik zei Nou ja, een kind met gaatjes, dat, eh, kan niet zo goed studeren. En dat moest ik doen om geld op te halen.
Lorsqu'on l'évoque au sein d'un débat, le
s gens le rejettent aussitôt sous prétexte qu'il n'est pas pertinent. Ils rétorquent : « Dans « 1984 », il y avait des caméras dans les foyers, les gens étaient observés à chaque instant, rien à voir avec le régime de surveillance auquel nous sommes confrontés.» Ceci est en fait une grossière méprise des avertissements lancés par Orwell dans « 1984 ». Le danger qu'il pointait n'était pas un régime de surveillance qui contrôle tout le monde à tout instant, mais un état où les gens ont conscience qu'ils peuvent être surveillés à tout moment. Voici comment le
...[+++] narrateur d'Orwell, Winston Smith, décrit le système de surveillance auquel il est confronté : « Évidemment, il n'y avait aucun moyen de savoir si, à un moment donné, on était surveillé. » Il continue en disant : « Ils pouvaient nous mettre sur écoute quand ils le voulaient. On devait vivre, on vivait, l'habitude est devenue instinct, en admettant que tout son émis pouvait être entendu et, sauf dans l'obscurité, tout mouvement scruté. » Les religions abrahamiques prêchent, elles aussi, qu'il existe une autorité invisible et omnisciente qui, du fait de son omniscience, observe constamment ce que l'on fait, ce qui signifie que l'on n'a jamais de moment d'intimité : le moyen ultime d'imposer l'obéissance à leurs préceptes.
Als je het vermeldt in een debat over toezicht, wijst men het meteen af als
niet-toepasselijk, want in '1984' stonden er monitors in de huizen van de mensen, ze stonden voortdurend onder toezicht, en dat heeft niets te maken met de toezichtsstaat die wij kennen. Dat is een fundamentele misvatting over de waarschuwingen van Orwell in '1984'. Die waarschuwing ging over een toezichtsstaat die niet iedereen altijd volgde, maar waarin mensen wisten dat ze altijd konden gevolgd worden. Dit is de beschrijving door Orwell's verteller, Winston Smith, van het toezichtssysteem in kwestie: Je kon natuurlijk niet weten of je op een bepaald moment bek
...[+++]eken werd. Hij gaat verder: Ze konden jouw systeem aanzetten naar eigen goeddunken. Je moest leven, en dat deed je, op basis van een gewoonte die een instinct werd, in de veronderstelling dat elk geluid dat je maakte, afgeluisterd werd en elk moment bekeken, behalve als het donker was. De Abrahamitische godsdiensten poneren op dezelfde manier dat er een onzichtbare, alziende overheid is die in haar alwetendheid altijd ziet wat je doet, waardoor je nooit een privé-moment hebt, wat de ultieme manier is om gehoorzaamheid af te dwingen.Je pense que ce nombre va probablemen
t augmenter. Ils ne sont pas le plus grand nombre de personnes, mais ils sont parmi ceux qui coûtent le plus cher. Et en termes de probabilité de violence domestique, de drogue et d'abus d'alcool, de mauvai
ses performances de leurs enfants à l'école et
aussi de mauvaise santé en raison du stress. Donc, ces trois personnes comprennent tous comment canaliser les dollars de façon productive grâce à l'é
conomie locale pour ...[+++]répondre aux demandes existantes du marché, réduire les problèmes sociaux que nous avons maintenant et prévenir de nouveaux problèmes à l'avenir.
Ik denk dat dit nog gaat stijgen. Het is niet de grootste groep mensen, maar ze horen wel bij de duursten. In termen van risico tot huiselijk geweld, drugs- en alcoholverslaving, slechte schoolprestaties van hun kinderen en een slechte gezondheid vanwege stress. Dus deze drie mensen weten geldstromen productief door onze lokale economieën te leiden, om aan bestaande vraag te voldoen, actuele sociale problemen terug te dringen en nieuwe problemen te voorkomen.
Où et comment l'Univers a t-il commencé ? Un groupe d'astronomes du monde entier veut répondre à cette question en regardant aussi loin dans le temps que ce nouveau et grand télescope le leur permettra. Wendy Freedman a guidé la construction du Télescope Géant Magellan, en Amérique de Sud ; à TEDGlobal à Rio, elle partage une vision audacieuse des découvertes que le TGM pourrait faire sur notre Univers.
Wanneer en hoe is het heelal ontstaan? Een internationale groep sterrenkundigen wil die vraag beantwoorden door zo ver terug in de tijd te kijken als een nieuwe reusachtige telescoop toestaat. Wendy Freedman stond aan het hoofd van de creatie van de Giant Magellan Telescope, waaraan gewerkt wordt in Zuid-Amerika. Tijdens TEDGlobal in Rio deelt ze haar gedurfde visie op de ontdekkingen over ons heelal, die de GMT mogelijk zou kunnen maken.
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leurs habitudes aussi lent à répondre ->
Date index: 2025-06-21