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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «leur usage et pose quelques questions gênantes » (Français → Néerlandais) :
Les bombes de défense et les tasers sont de plus en plus utilisés par la police et l'armée. D'autres armes non létales moins connues, comme les rayons de chaleur, sont dans les tuyaux. A TEDxCanberra, le philosophe Stephen Coleman explore les conséquences inattendues de leur usage et pose quelques questions gênantes.
Peperspray en tasers worden in toenemende mate gebruikt door zowel politie als het leger. Nog veel meer exotische niet-dodelijke wapens zoals warmtestralen zijn in ontwikkeling. Op TEDxCanberra verkent ethicus Stephen Coleman de onverwachte gevolgen van hun introductie en stelt een aantal moeilijke vragen.
Et ce que vous allez découvrir, si vous creusez un peu, vous trouverez que les gens -- c'est ce qui se passe -- les gens vont au travail, et qu'en
gros ils échangent leur journée de travail contre une série de moments de travail. C'est ce qui se passe au bureau. Vous n'avez plus une journée de travail, vous avez des moments de travail. C'est comme si la porte d'entrée au bureau était un mixeur, vous y entrez et votre journée est déchiquetée en morceaux, parce que vous avez 15 minutes par-ci et 30 minu
tes par-là, et puis quelque chose d'autre se pr ...[+++]ésente qui vous sort de votre travail, et vous devez faire autre chose, puis vous avez 20 minutes, puis c'est l'heure du déjeuner. Puis vous avez quelque chose d'autre à faire, puis vous avez 15 minutes, et quelqu'un vous prend à part et vous pose une question. Et avant que vous vous en aperceviez, il est 17 heures, et vous faites le bilan de votre journée, et vous vous rendez compte que vous n'avez rien fait. Je veux dire, on a tous vécu ça. On l'a probablement vécu hier, ou le jour d'avant, ou encore avant cela. Vous faites le bilan de votre journée, et vous vous dites, je n'ai rien fait aujourd'hui.
Als je een beetje dieper graaft, ontdek je dat mensen -- dit is wat gebeurt: mensen gaan naar hun werk en ze ruilen in feite hun werkdag in voor opeenvolgende werkmomenten. Dat gebeurt op het kantoor. J
e hebt geen werkdag meer; je hebt werkmomenten. Het lijkt erop dat de ingang van het kantoor een foodprocessor is: je dag wordt versnipperd in stukjes, omdat je hier 15 minuten hebt en daar 30 minuten. Er gebeurt iets anders en je wordt van je werk gehaald. Je doet iets anders, daarna heb je nog 20 minuten en het is lunchtijd. Daarna heb je weer iets anders te doen, dan heb je 15 minuten en iemand
...[+++] klampt je aan met een vraag. Voor je het door hebt, is het 17:00 uur. Je kijkt terug op de dag, en beseft je dat je niks hebt kunnen afmaken. We hebben dit allemaal meegemaakt. Misschien gisteren, eergisteren of de dag daarvoor. Je kijkt terug op je dag en je denkt: Ik heb vandaag niks gedaan .(Rires) Ainsi, ce travail avec les émotions, qui sont fondamentales, nous a ensuite amenés à penser que, peut-être, les raisons fondamentales des réseaux soci
aux humains sont en quelque sorte codées dans no
s gènes. Parce que les réseaux sociaux humains, quand ils sont mappés, ressemblent
toujours à ceci, l'image du réseau, mais ils ne ressemblent jamais à ceci. Pourquoi ne ressemblent-ils pas à ça ? Pourquoi ne formons-nous pas de réseaux sociaux humai
...[+++]ns qui ressemblent à un treillis régulier ? Bon, hé bien, les modèles spécifiques des réseau sociaux humains, leur ubiquité, leur finalité apparente, cela pose la question de savoir si, au départ, nous avons évolué pour avoir ces réseaux sociaux, et si nous avons évolué pour former des réseaux avec une structure particulière. Et remarquez tout d'abord ... Mais, pour comprendre ça, il faut d'abord que nous disséquions un peu la struceture du réseau. Et remarquez que chaque personne dans ce réseau a exactement le même emplacement structurel que n'importe quelle autre.
(Gelach) Dit werk met emoties, die zo fundamenteel zijn, bracht ons op het idee dat de fundamentele oorzaken van sociale netwerken bij mensen misschien op een of andere manier in onze genen gecodeerd zijn. Telkens sociale netwerken bij mensen in kaart gebracht worden, zien ze er altijd zo uit: de tekening van het netwerk, maar ze zien er nooit zo uit
. Waarom zien ze er niet zo uit? Waarom vormen we geen menselijke sociale netwerken die er als een regelmatig rooster uitzien? De opvallende patronen van menselijke sociale netwerken, hun alomtegenwoordigheid en hun duidelijke bedoeli
ng roepen prangende ...[+++]vragen op: zijn we geëvolueerd om in de eerste plaats sociale netwerken te hebben, en: zijn we geëvolueerd om netwerken te vormen met een welbepaalde structuur. Bemerk eerst... om dit te begrijpen moeten we de netwerkstructuur eerst een beetje ontleden. Bemerk dat iedere persoon in dit netwerk precies dezelfde structurele locatie heeft als iedere andere persoon.Ils tombent en esclavage parce que quelqu'un leur a posé cette question.
Ze worden slaven omdat iemand hen een vraag stelde.
C’est les femelles, je pense, qui pondent les œufs. Et ensuite les mâles les fertilisent. Et ensuite ils deviennent des têtards et des grenouilles. » Et elle dit, « Quoi ? Il y a que les femelles qui ont des œufs ? » Et je lui dis, «Bien sûr. » Et elle enchaine « Qu’est ce que fertiliser
? » Je lui dis donc quelque chose du genre, « C’est cet ingrédient en plus dont on a besoin pour créer une nouvelle grenouille à partir de maman et papa grenouille » Et elle me dit, « Oh, est-ce que c’est valable également pour les humains ? » Et j’ai pensé, « ça y est, nous y voilà. » Je ne pensais pas que ça arriverait si rapidement, à huit ans. J’essa
...[+++]yais de me rappeler tous les manuels, Et tout ce dont je me souvenais était, « Réponds uniquement à la question que l’on te pose. Ne donne pas d’autres informations. » J’ai donc dit « Oui » Et elle me dit, « Où, est-ce que les femmes pondent leurs œufs ? » Et je lui réponds, « Et bien, c’est bien que tu le demandes. On a évolué pour avoir notre propre étang.
Volgens mij leggen de vrouwtjes de eieren en daarna bevruchten de mannetjes ze. Zo worden het kikkervisjes en kikkers. Ze zei: Wat? Hebben alleen vrouwtjes eieren? Ja, zei ik. Waarop zij vraagt: Wat is bevruchten? Ik mompel: Oh, dat is een extra'tje dat nodig is om een nieuwe kikker te maken van moeder- en vader-kikker. Ze merkt op: Oh, dus dat gaat ook zo bij mensen? Ik besefte: Goed, daar gaan we
. Ik verwachtte het niet zo snel, ze was acht. Ik probeerde me alle handboeken te herinneren en het enige dat ik nog wist: Antwoord enkel op de gestelde vraag. Geef niet méér informatie. Ik antwoordde dus: Ja. Zij: Waar ... euh waar leggen mens
...[+++]envrouwtjes, dan hun eieren? Ik zei: Tja, grappig dat je dat vraagt. We zijn zo geëvolueerd dat we onze eigen vijver hebben. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
leur usage et pose quelques questions gênantes ->
Date index: 2022-08-18