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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «journalistes mais nous » (Français → Néerlandais) :
J'ai passé beaucoup de temps en Inde, là-bas, tu es élevé avec ce sentiment qu'on est un être spirituel se trouvant être
un corps physique. Nous, les Occidentaux sommes plus centrés sur le corps physique, puis, à partir d'un certain âge, quand on a de la bouteille, on commence à s'int
éresser à l'esprit. Mais si vous êtes déjà allés au musée de Gandhi, à Delhi, vous avez vu ce qui est écrit au-dessus de la porte, et ce fut d'ailleurs une réponse de Gandhi
à la question d'un journaliste ...[+++]. Gandhi montait dans un train quand le journaliste l'a interpelé : «Gandhi, Gandhi, quel est votre message au monde ? » Gandhi se retourna et dit : « Ma vie. Ma vie est mon message. » Et votre vie aussi est un message. Peut-être pas aussi grand que celui de Gandhi - en tout cas pas le mien - mais votre vie doit être votre message. Sinon, pourquoi sommes-nous ici ?
Ik vertoef vaak in India en in India wordt je grootgebracht vanuit het perspectief dat je een spiritueel wezen bent dat te gast is in een fysiek lichaam, terwijl we in het Westen veel meer uitgaan van ons fysieke lichaam en pas als we oud en rijp genoeg worden, krijgen we inte
resse voor de ziel. Maar, als je ooit in het Gandhi-museum in Delhi bent geweest, zul je weten dat er deze uitspraak boven de deur hangt, een uitspraak die feitelijk een antwoord was van Gandhi
op de vraag van een journalist. Gandhi stapte op de trein en een jour
...[+++]nalist riep hem na: Gandhiji, Gandhiji, wat heb je de wereld te zeggen? waarop Gandhi zich omdraaide en zei: Mijn leven, mijn leven is alles wat ik heb te zeggen. Datzelfde geldt voor jouw leven. Misschien met niet zoveel impact als dat van Gandhi -- het mijne zeker niet -- maar je leven moet je statement zijn. Waarom zou je anders hier zijn?C'est un problème. Je veux dire, comme n'importe quelle petite organisation e
n train de grandir, nous sommes en quelque sorte submergés par notre croissance. Et ça veut dire que nous recevons une énorme quantité de révélations de lanceurs d'alerte d
e très haut niveau, mais que nous n'avons pas assez de monde pour traiter et examiner cette information. CA : Alors, c'est là le goulet
d'étranglement, des journalistes bénévoles et/ou le ...[+++]financement de journalistes salariés ?
Dat is een probleem. Ik bedoel, net als elke groeiende startende onderneming, zijn we een beetje overweldigd door onze groei. En dat betekent dat we een enorme hoeveelheid onthullingen van klokkenluiders krijgen van een hoog kaliber, maar dat we eigenlijk niet genoeg mensen hebben om al deze informatie te verwerken. CA: Dus dat is het belangrijkste knelpunt, het komt neer op vrijwillige journalisten en/of de financiering van journalistieke salarissen?
Et, je suis allé à Dubaï, à une conférence de la Fondation pour la pensée arabe et
j'attendais le bon journaliste à côté du café. Je n'av
ais pas de produit, mais j'avais de l'énergie. Et j'ai trouvé quelqu'un du New York Times. Et je l'ai coincé, et je lui ai donné le pitch. Et je pense que je lui ai fait peur - (Rires) parce qu'il m'a essen
tiellement promis - nous n'avions pas de produit - mais il a dit: Nous vous donnerons un par
...[+++]agraphe dans la rubrique arts si vous partez. (Rires) Alors j'ai dit: Génial . Alors je l'ai appelé quelques semaines après. J'ai dit: Salut, Hesa. Et il dit: Salut. J'ai dit, Bonne année . Il a dit: Merci. Nous avons eu un bébé. J'ai dit: Félicitations. Comme si ça m'intéressait, pas vrai.
Toen ging ik naar Dubai, naar een Conferentie van de Stichting Arabische Gedachte, en ik wachtte bij de
koffie op de juiste journalist. Ik had geen product
, maar ik had energie. En ik vond iemand van de New York Times. En ik zette hem klem, en ik pitchte. En ik denk dat ik hem bang heb gemaakt -- (Gelach) want hij beloofde me -- we hadden geen product -- maar hij zei: We geven je een paragraaf in de kunstsectie als je gewoon weggaat. (Gelach) Dus ik zei: Geweldig. Dus ik belde hem een paar weken later. Ik zei: Hoi, Hesa. En hij zei: Hoi. Ik zei: Gelukkig
...[+++]Nieuwjaar. Hij zei: Dank je. We hebben een baby gekregen. Ik zei. Gefeliciteerd! Alsof ik geïnteresseerd ben.Et donc soudain, dans les journaux de Bagdad est apparu un poème qui me comparait à
beaucoup de choses, mais la plus incroyable, à un serpent sans égal. Et donc, j'ai décidé de porter une broche en forme de serpent. Donc, je
la portais lorsque nous avons parlé de l'Irak. (Rires) Et lorsque je suis sortie
pour rencontrer les journalistes ils m'ont foncé dessus et ont dit: Pourquoi portez-vous ce serpent? Et je leur ai dit: Parce que
...[+++] Saddam Hussein m'a comparée à un serpent. Et puis j'ai pensé, c'est drôle. Et alors, je suis sortie et je suis allée acheter beaucoup d'autres broches qui reflèteraient, en effet, ce que je pensais que nous allions faire tel ou tel jour. Voilà, c'est comme ça que ça a commencé. PM: Quelle est la taille de cette collection? MA: Plutôt grande. Elle est actuellement en tournée. En ce moment elle est à Indianapolis, mais avant elle était au Smithsonian. Et elle s'accompagne d'un livre dont le titre est Lisez mes broches (Rires) PM: Quelle bonne idée!
Plots verscheen er een gedicht in de kranten in Bagdad dat me met allerlei dingen vergeleek, onder andere met een serpent zonder weerga. Nu had ik toevallig broche met een slan
g. Die droeg ik dan maar tijdens de onderhandelingen over Irak. (Gelach) Toen ik naar buiten ging om de pers te ontmoeten, kwamen ze op me af en vroegen: Waarom draag je die slangenbroche? Ik zei: Omdat Saddam Hoessein mij daarmee vergeleek. Ik vond dat toen erg leuk. Ik kocht me een heleboel broches die moesten weerspiegelen wat we die dag zouden gaan doen. Dat is hoe het allemaal begon. PM: Hoe groot is je collectie nu? MA: Nogal groot. Ze reist nu rond. Op dit m
...[+++]oment is ze in Indianapolis, maar eerder was ze in het Smithsonian. Er is een boek bij: Lees mijn broches. (Gelach) PM: Dit is een goed idee.Nous nous sommes tous entrainés pour accomplir ces miraculeux exploits de mémoire en utilisant des techniques anciennes, des techniques inventées il y a 2500 ans en Grèce, les mêmes techniques qu'utilisait Cicéron pour mémoriser ces discours, qu'utilisaient les intellectuels du moyen âge pour mémoriser des livres entiers. » Et je me disais, « Wow, comment se fa
it-il que je n'ai jamais entendu parler de ça avant ? » Et nous nous tenions à l'extérieur du hall de compétition et Ed, qui est un Anglais merveilleux, brillant, mais en quelque sorte excentrique, me di
t, « Josh, ...[+++] tu es un journaliste Américain.
We hebben onszelf allemaal getraind om deze hoogstandjes te vertonen met ons geheugen door middel van een verzameling technieken uit de oudheid, technieken die 2500 jaar geleden in Griekenland zijn uitgevonden, dezelfde technieken die Cicero gebruikte om zijn toespraken te memoriseren, die middeleeuwse studenten gebruikten om complete boeken van buiten te leren. Toen zei ik: Wow. Waarom heb ik dit nog nooit eerder gehoord? We stonden buiten de hal waar de wedstrijd werd gehouden en Ed, een ge
weldige, briljante, maar enigszins excentrieke Engelse jongeman, zei tegen mij: Josh, je b
ent een Amerikaanse ...[+++]journalist.On dirait de la science-fi
ction, mais pour le journaliste Stephen Petranek, c'est un fait : dans moins de 20 ans, les humains vivront sur Mars. Dans cette conférence provocante, Stephen Petranek défend la thèse que les humains deviendront une espèce qui explore l'espace et décrit à l'aide de détails
fascinants comment nous ferons de Mars notre prochain chez-nous. « Les humains survivront quoi qu'il arrive sur Terre », dit Petranek.
« Nous ne serons jamais les derni ...[+++]ers de notre espèce. »
Het klinkt als science fiction, maar voor journalist Stephen Petranek leidt het geen twijfel: binnen 20 jaar zullen er mensen leven op Mars. In deze provocerende talk legt Petranek uit dat de mens een ruimtevarende soort zal worden en beschrijft hij in fascinerend detail hoe we van Mars ons volgende thuis zullen maken. Mensen zullen overleven, ongeacht wat er op Aarde gebeurt , zegt Petranek. We zullen nooit de laatste van onze soort zijn.
Mais ce qui est vraiment incroyable, c'est que Ida Tarbell, la journaliste, arriva et fit un exposé ambitieux sur Rockefeller et en fait, a obtenu la mise en place de l'intégralité des lois antitrust. Mais à bien des égards, cette image de conspiration est toujours avec nous. Et voilà une des choses que Ida Tarbell a dit. Elle a dit, Il a un nez fin comme une épine.
Maar wat echt verrassend is, is dat de journaliste Ida Tarbell zich ermee bemoeide en een grote verhandeling over Rockefeller schreef. Eigenlijk kreeg zij de antitrustwetgeving voor elkaar. Maar op vele manieren blijft dat beeld van de samenzwering nog altijd bij ons hangen. Eén van de dingen, die Ida Tarbell zei, was: Hij heeft een dunne neus als een doorn.
Nous recevons des informations venant de journalistes mais nous oublions trop souvent comment cette information a été donnée.
Te vaak vergeten we, als journalisten ons informeren, waar die informatie vandaan komt.
E
t nous essaierons d'amener les différentes parties à New York pour qu'elles s'asseyent dans une salle calme dans
un décor privé sans journalistes et qu'elles expliquent en fait ce qu'elles veulent aux membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, et pour que les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU leur expliquent ce qu'ils veulent. Il y a donc ici une conversat
ion, qui ne s'est jamais produite auparavant. Et bien sûr, en décrivant tout cela, n'importe
...[+++]qui d'entre vous qui connait la politique se dira que c'est extrêmement difficile, et je suis complètement d'accord avec vous. Le risque d'échec est très élévé, mais ceci ne peut se produire si nous n'essayons pas de le provoquer.
We zullen proberen deze partijen naar New York te brengen om bijeen te komen in een rustige kamer afgezonderd van de pers en uit te leggen wat ze willen aan de leden van de VN-Veiligheidsraad, en om de leden van de VN-Veiligheidsraad aan hen te laten uitleggen wat zij willen. Zodat er ook echt een gesprek is, wat nooit eerder is gebeurd. En natuurlijk, als je dit zo beschrijft, elk van jullie die bekend is met politiek zal denken dat dit ongelofelijk moeilijk is, en dat ben ik volledig met jullie eens. De kansen op mislukking zijn erg hoog, maar het zal in ieder geval niet gebeuren als wij het niet proberen.
Mais nous nous sommes aperçus que ces gens dans la rue, ils étaient tous nos journalistes, alimentant notre rédaction d'images, de vidéos, et d'informations.
Maar al deze mensen in de straat werden onze reporters, voorzagen onze redactie van nieuws met foto's, met video's en met nieuws.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
journalistes mais nous ->
Date index: 2023-01-16