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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «je vais être assis » (Français → Néerlandais) :
Je connaissais très bien Mr. Dobrynin, et je lui ai dit, “je vais être assis à coté de Mme Gorbatchev ce soir.
Ik kende Dobrynin dus heel goed en ik zei: Ik zit naast Mevrouw Gorbatchov vanavond.
Il y a eu pas mal de coups de feu, pas mal de discussions philosophiques avec les membres du gang. Au matin, le chef du gang est arrivé. Il a considéré Sudhir, est arrivé à la conclusion qu’il n’était pas une menace et ils l’ont lai
ssé partir. Sudhir rentre chez lui. Il prend une douche, fait la sieste. Vous et moi, sans doute, face à cette situation, nous nous
serions dit bon, je vais plutôt écrire mon mémoire sur les Grateful Dead. Je les ai suivis pendant ces trois derniers mois. (Rires) Sudhir, lui, y est retourné directement, s’e
...[+++]st rendu dans les logements sociaux. Est monté à l’étage, le second étage, et a dit : « Salut les gars. J’ai passé un très bon moment à traîner avec vous, cette nuit. Je me demande si je pourrais recommencer ce soir. » Et voilà comment a commencé ce qui est devenu une belle relation qui a fait de Sudhir un résident non permanent du logement social pendant dix ans, à traîner dans des planques à crack, aller en prison avec les membres du gang, avoir les vitres de sa voiture explosées à coup d’armes à feu, avoir des descentes de police dans son appartement avec confiscation de ses disques durs... À peu près tout ce qu’on peut imaginer. Au final, l’histoire s’est bien terminée pour Sudhir, qui est devenu un des sociologues les plus respectés du pays. Et surtout pour moi, qui, assis à mon bureau avec ma feuille Excel ouverte, attendais que Sudhir vienne et me livre les dernières données obtenues du gang. Sans doute une des relations entre co-auteurs des plus inégales... (Rires) ... mais je suis heureux d’en avoir été le bénéficiaire.
Er werd veel geschoten, en hij hield veel filosofische discussies met de bendeleden. Tegen de ochtend kwam de bendeleider langs. Hij keek naar Sudhir, besloot dat hij geen gevaar was, en
ze lieten hem naar huis gaan. Dus Sudhir ging naar huis, nam een douche, deed een dutje. En jij en ik zouden in zo'n situatie waarschijnlijk denken,
ik denk dat ik mijn thesis maar over The Grateful Dead ga schrijven. Ik ben ze de afgelopen drie maanden achterna gereisd. (Zaal lacht) Maar Sudhir ging terug naar het woonproject, ging naar de tweede ver
...[+++]dieping en zei: Hey jongens, ik heb het gister zo met jullie naar mijn zin gehad dat ik mij afvroeg of we dat vannacht nog een keer konden overdoen. En dat was het begin van, naar wat bleek, een mooie vriendschap waarbij Sudhir tien jaar lang zo nu en dan in het woonproject woonde: hij verbleef vaak in crackhuizen, ging naar de gevangenis met de bendeleden, de ramen van zijn auto werden kapot geschoten, de politie brak in in zijn appartement en stal zijn computerschijven, noem maar op. Uiteindelijk had het verhaal een goed einde voor Sudhir, die één van de meest gerespecteerde sociologen van het land werd. En vooral voor mij, zittende in mijn kantoor met Excelspreadsheets geopend, wachtende op Sudhir die mij de laatste data kwam brengen die hij van de bende had gekregen. Het was één van de meest ongelijke co-schrijverschappen ooit (Zaal lacht) maar ik was blij dat ik er de vruchten van kon plukken.Un jour un responsable de la NASA vient
dans mon bureau, s'assied et dit : Pouvez-vous s'il-vous-plaît nous dire, comment chercher de la vie ailleurs que sur la Terre ? Et ça m'a su
rpris, parce que j'avais été en fait engagé pour travailler sur l'informatique quantique. Pourtant, j'avais une très bonne réponse. J'ai dit : Je n'en ai aucune idée. Et il m'a dit : Les signatures biologiques, nous devons chercher les signatures biologiques. Et j'ai dit : Qu'est-ce que c'est ? Et il a dit : C'est tout phénomène mesurable qui nous permet d'
...[+++]indiquer la présence de vie . Et j'ai dit : Vraiment ? N'est-ce pas un peu facile ? Je veux dire, nous avons la vie. Ne pouvez-vous pas utiliser une définition, par exemple une définition de la vie semblable à celle de la Cour Suprême ? Alors j'y ai réfléchi un peu, et j'ai dit : Bon, est-ce vraiment si simple ? Parce que oui, si vous voyez quelque chose comme ça, alors d'accord, je vais appeler ça la vie, c'est indubitable. Mais voici quelque chose . Et il continue : Bien, c'est la vie aussi. Je sais cela . Sauf que si vous pensez que la vie est aussi définie par les choses qui meurent, pas de chance en ce qui concerne cette chose, parce que c'est en fait un organisme très étrange. Il grandit jusqu'au stade adulte comme cela et passe alors par une phase à la Benjamin Button, et régresse en fait encore et encore, jusqu'à redevenir un petit embryon, et en fait recommence alors à grandir, et à rajeunir encore et grandir, comme une sorte de yo-yo, et il ne meurt jamais. Donc c'est vraiment de la vie, mais en fait ça ne ressemble pas à ce nous considérons que devrait être la vie.
Op een dag komt een NASA-manager mijn kantoor binnen, gaat zitten en zegt: 'Kun je ons alsjeblieft vertellen hoe we op zoek kunnen gaan naar leven buiten de aarde?' Dat kwam als een verrassing voor mij, want ik was eigenlijk ingehuurd om te werken aan kwantumberekening. Toch had ik een heel goed antwoord. Ik zei: 'Ik heb geen idee.' hij vertelde me: 'Biosignaturen, we moeten op zoek naar een biosignatuur.' Ik weer: 'Wat is dat?' Hij zei: 'Het is eender welk meetbaar fenomeen dat ons in staat stelt om de aan
wezigheid van leven vast te stellen.' Ik zei: 'Echt waar? Is dat dan niet makkelijk? Ik bedoel, we hebben hier leven. Kun je daar gee
...[+++]n definitie op toepassen zoals bijvoorbeeld een Supreme Court-achtige definitie van leven?' Toen ik er een beetje over had nagedacht, zei ik: 'Is het echt zo gemakkelijk? Want ja, als je zoiets als dit ziet, dan noem ik dat leven - geen twijfel mogelijk. Maar hier is iets.' Hij dan: 'Goed, dat is ook leven. Dat weet ik.' Maar als je denkt dat het leven ook is gedefinieerd door dingen die sterven, dan heb je geen geluk met dit ding omdat dat eigenlijk een heel vreemd organisme is. Het groeit op tot het volwassen stadium, maakt dan een Benjamin Buttonfase door, gaat achteruit en achteruit totdat het weer als een klein embryo is en groeit dan weer terug, terug naar beneden en weer terug - als een jojo. Het sterft nooit. Het is leven, maar geen leven zoals wij het ons voorstelden.Ils ont l'habitude de se voir comme des soutiens de famille,
et ils ont l'air d'être incapables de construire les réseaux sociaux qui leur permettraient d'intégrer l'enseignement supérieur. Pour une raison mystérieuse, les hommes n'arrivent pas à reprendre des études. Et ce qui est encore plus ennuyeux, c'est ce qui se passe avec les jeunes garçons. Cela fait environ une dizaine d'années que l'on fait des recherches sur ce que certains appellent la crise des garçons. La crise des garçons, c'est l'idée que les très jeunes garçons, sans que l'on sache pourquoi, réussissent moins bien à l'école que les très jeunes filles. Il y a des théorie
...[+++]s à ce sujet. Est-ce parce que l'enseignement est trop verbal, et que les petites filles sont plus douées dans ce domaine que les petits garçons ? Ou bien est-ce que l'on demande trop aux enfants de rester assis sans bouger, ce qui place les garçons en situation d'échec dès le départ ? Certains disent que c'est parce que les garçons commencent à abandonner l'école dès la 4ème. Je suis en train d'écrire un livre à ce sujet, je fais encore des recherches, alors je n'ai pas la réponse. Mais en attendant, je vais faire appel à un expert international en éducation, ma fille de 10 ans, Noah, pour vous parler de la raison pour laquelle les garçons de sa classe réussissent moins bien.
Vroeger zagen ze zichzelf als kostwinners, maar nu lijken ze niet in staat de sociale netwerken op te bouwen die ze zouden helpen hun studie af te maken. Om een of andere reden gaan mannen simpelweg niet terug naar school. Wat nog veel verontrustender is, is wat er speelt onder jonge jongens. We hebben ongeveer tien jaar aan onderzoek over wat men wel de 'jongenscrisis' noemt. Die jongenscrisis is het idee dat zeer jonge jongens, om wat voor reden dan ook, het slechter doen op school dan zeer jonge meisjes. Mensen hebben daar theorieën over. Komt het doordat de lessen teveel op taal zijn gericht, en dat meisjes daar beter in zijn dan jongetjes? Of gaan we te ver in onze eis dat kinderen stil moeten zitten, zodat jongetjes zich vanaf het beg
...[+++]in mislukt voelen? Sommigen zeggen dat het komt doordat jongens in de tweede klas schoolverlaters worden. Omdat ik bezig ben met een boek over dit onderwerp, doe ik nog onderzoek, dus ik heb geen antwoord klaar. Maar ondertussen ga ik een beroep doen op een wereldwijde onderwijsspecialist, namelijk mijn tienjarige dochter Noah, om jullie te vertellen waarom de jongens in haar klas het slechter doen.Alors, je vais commencer par ceci : il y a deux ans, l'organisatrice d'un événement m'a téléphoné parce que je devais donner une conférence. Elle m'a appelé et m'a dit : J'ai vraiment du mal à trouver comme
nt vous décrire sur notre petit prospectus. Et je me
suis dit : Et bien, où est le problème ? Et elle m'a dit : Et bien, je vous ai déjà vu parler, et je vais vous désigner comme une chercheuse, je crois, mais j'ai peur que si je vous désigne comme chercheuse, personne ne vienne, parce que t
...[+++]out le monde pensera que vous êtes ennuyeuse et hors sujet. (Rires) Ok. Et elle a dit : Mais ce que j'ai aimé dans votre conférence, c'est que vous êtes une conteuse d'histoires. Alors je pense que ce que je vais faire, c'est juste dire que vous êtes une conteuse. Et bien sûr, mon côté universitaire, qui manque d'assurance, a dit : Vous allez dire que je suis quoi ?! Et elle a dit : Je vais dire que vous êtes une conteuse. Et moi : Et pourquoi pas fée Carabosse ? (Rires) J'ai fait : Laissez-moi réfléchir une seconde. J'ai essayé de rassembler tout mon courage.
I
k begin hiermee: een paar jaar geleden belde een organisator van een evenement me omdat ik een lezing zou geven. Ze belde en zei: Ik weet niet goed hoe ik over jou moet schrijven in de kleine flyer. Ik dacht: hoezo, je weet het niet? Ze antwoordde: Nou, ik zag je spreken en ik ga je een onderzoeker noemen, denk ik, maar ik ben bang dat er dan niemand komt. Ze zullen denken dat je saai en onbelangrijk bent. (Gelach) Oké. Ze zei: Wat ik zo leuk vond aan jouw lezing is dat je een verhalenverteller bent. Dus ik denk dat ik je gewoon een verhalenverteller noem. En de academische, onzekere kant van mij zegt: Je gaat me wàt noemen? Ik ga je een verhalenverteller n
...[+++]oemen. Ik dacht: Waarom niet de toverfee? (Gelach) Ik zeg: Laat me hier even over nadenken. Ik probeerde diep van binnen de moed te vinden.♫Je vais botter le cul de quelqu'un♫ ♫Oh, Je vais botter le cul de quelqu'un♫ ♫ Oh, si vous ne me laissez pas tranquille,♫ ♫ vous allez devoir me renvoyer chez moi ♫ ♫ parce que je vais botter le cul de quelqu'un ♫ ♫ Je vais botter le cul de quelqu'un ♫ ZF : Génial. Donc c'était incroyable. Cette chanson -- (applaudissements ) merci.
Remix: ♫ Ik geef dadelijk iemand een schop onder zijn kont ♫ ♫ Oh, ik geef dadelijk iemand een schop onder zijn kont ♫ ♫ Oh, als je me niet met rust laat ♫ ♫ zal je me naar huis moeten sturen ♫ ♫ Want ik geef dadelijk iemand een schop onder zijn kont ♫ ♫ Ik geef dadelijk iemand --♫ ZF: Fantastisch. Dat was dus ongelooflijk. Dat liedje -- (Applaus) Dank jullie wel.
Il a bu une gorgée de cette bière, et il en a donné à ma sœur, et ils m'en ont proposé. J'ai dit : « Non, non, non. C'est bon. Allez-y. Je ne bois pas de bière. » Mon frère a dit : « Allez. On fait ça aujourd'hui ; tu fais toujours ce qu'on fait. J'en ai bu, ta sœur en a bu, Bois donc de la bière. » J'ai dit : « Non, ça ne me va pas. Allez-y, vous autres, allez-y. » Et puis mon frère a commencé à me regarder fixement. Il a dit : « Qu'est-ce qui te prend ? Bois de la bière. » Puis il m'a regardé très intensément et il a dit : « Oh, j'espère que tu n'en es pas resté à cette conversation que Mamie a eu avec toi. » (Rires) J'ai dit : « Qu'est-ce que tu racontes ? » Il a dit : « Oh, mamie dit à tous ses petits-enfants qu'ils sont spéciaux. » (R
...[+++]ires) J'étais effondré. (Rires) Et je vais vous avouer quelque chose. Je vais vous dire quelque chose que je ne devrais probablement pas vous dire. Je sais que cela pourrait être diffusé largement. Mais j'ai 52 ans, et je vais vous avouer que je n'ai jamais bu une goutte d'alcool.
Hij nam een slok van het bier, en gaf het aan mijn zusje en zij dronk, en toen boden ze het mij aan. Ik zei: Nee, ga je gang. Voor mij geen bier. Mijn broer zei: Kom op. Je doet altijd met ons mee. Ik dronk ervan, je zus dronk ervan. Drink ook! Ik zei: Nee, nee, liever niet. Mijn broer zat me aan te staren. Hij zei: Wat heb jij? Drink van het bier. Toen keek hij me onderzoekend aan en zei: O, ik hoop dat je niet inzit over dat gesprek dat oma met je had. (Gelach) Ik zei: Waar heb je het over? Hij zei: O, oma vertelt alle kleinkinderen dat ze bijzonder zijn. (Gelach) Ik was er kapot van. (Gelach) En ik
zal je iets bekennen. Dit is misschien niet zo sl ...[+++]im om te vertellen. Ik weet dat dit wellicht wijd verspreid gaat worden. Maar ik ben 52 jaar, en ik zal bekennen dat ik nog nooit een druppel alcohol heb gedronken.Et le gars m'a dit : Ce n'est pas possible. Cette grand-mère ne voudra même pas - vous savez, elle ne te laissera jamais rencontrer cette fille qu'elle élève. J'ai pris une traductrice avec moi, et je suis allé dans ce village trouver la gra
nd-mère, je me suis assis avec elle. Et à mon grand étonnement, elle a accepté de me laisser photographier sa petite-fille. Et je payais de ma poche , alors j'ai demandé à la traductrice si c'était d'accord pour que je reste
pour la semaine. J'avais un sac de couchage. La famille avait une petite r
...[+++]emise à côté de la maison, alors j'ai dit: Pourrais-je dormir dans mon sac de couchage le soir? Et j'ai dit à la petite fille, dont le nom était Hyun Sook Lee, que si jamais je faisais quelque chose qui la gênait - elle ne parlait pas un mot d'anglais, même si elle avait l'air très américaine - elle pouvait simplement lever la main et dire: Stop. Et j'arrêterais de prendre des photos. Et puis ma traductrice est partie. J'étais donc là, je ne parlais pas un mot de coréen, et c'était la première nuit que je voyais Hyun Sook. Sa mère était encore en vie. Sa mère ne l'élevait pas, sa grand-mère l'élevait. Et ce qui m'a frappé immédiatement c'était combien ces deux personnes s'aimaient.
De man verzekerde me: Dat gaat je nooit lukken. De oma zal nooit toelaten dat je dit meisje ook maar ziet. Ik nam een tolk mee en ging naar het dorp, vond de grootmoeder, ging bij haar zitten. Tot mijn verbijstering kreeg ik toestemming van haar om haar kleindochter te fotograferen. Ik betaalde dit zelf, dus ik vroeg aan de tolk of ik een week ter plekke mocht logeren. Ik had een slaapzak. De familie had een klein
schuurtje naast het huis, dus ik vroeg: Kan ik daar 's nachts in mijn slaapzak slapen? Ik vertelde het meisje, dat Hyun-Soek Lie heette, dat als ik haar ooit in verlegenheid bracht -- ze sprak geen woord Engels, hoewel ze er Am
...[+++]erikaans uitzag -- ze haar hand kon opsteken en zeggen: Stop . Dan zou ik stoppen met het nemen van foto's. Toen vertrok mijn tolk. Daar zat ik dan, ik sprak geen woord Koreaans. Dit is op de avond dat ik Hyun-Soek ontmoette. Haar moeder leefde nog. Haar moeder voedde haar niet op, dat deed haar oma. Wat me onmiddellijk opviel, was hoezeer deze twee mensen van elkaar hielden.J'étais un enfant à problèmes en grandissant, et ma mère me disait toujours : « Tu sais, si tu n'arranges pas ça, je vais t'envoyer dans une école militaire. » Et je la regardais et lui disais : « Maman, je vais travailler plus dur. » Et quand j'ai eu neuf ans, elle a commencé à me donner des brochures, pour me montrer qu'elle ne plaisantait pas alors je regardais les brochures et je disais : « Maman, je vois que tu es sérieuse, et je vais travailler plus dur. » Et quand j'ai eu 10 ou 11 ans, mon comportement a continué à s'empirer.
Ik had wat problemen toen ik opgroeide en mijn moeder waarschuwde me altijd: Als je je niet herpakt, ga je naar die school. Dan keek ik haar aan en zei: Mam, ik zal beter mijn best doen. Toen ik 9 jaar was, gaf ze me brochures als waarschuwing. Ik keek er dan naar en zei: Oké mam, ik zal beter mijn best doen. Als 10- en 11-jarige bleef mijn gedrag steeds slechter worden.
Maintenant, ce que je vais faire pour les gens de ce côté, c'est que je vais vous montrer ces deux thés, et je vous demande, je vais vous demander, de choisir votre thé.
Ik toon jullie nu de twee soorten thee.
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Date index: 2024-09-10