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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «je pense que si nous perdions tous les trisomiques » (Français → Néerlandais) :
Mais je pense que si nous perdions tous les trisomiques, ce serait une perte catastrophique » Karen Robards m'a dit, « Je suis d'accord avec Tom.
maar het zou een ramp zijn als we iedereen met Down zouden verliezen. Karen Robards zei: Ik ben het eens met Tom.
Je pense que nous devons étudier tous les mots, car quand on pense aux mots, ont peut créer des expressions magnifiques à partir d'éléments très modestes.
Ik denk dat we alle woorden moeten bestuderen, want bedenk dat je mooie uitdrukkingen kan maken met heel eenvoudige onderdelen.
Je travaille main dans la main avec elles, je pense que nous en avons tous besoin, et qu'elles sont importantes.
We hebben ze allemaal nodig en ze zijn belangrijk.
Je pense que nous l'avons tous fait.
Ik denk dat we dat allemaal deden.
Depuis lors, oui, je pense que nous le savons tous maintenant C'est essentiellement une sphère de vie autour de la terre, n'est-ce pas?
Ik gok dat we toen allemaal dachten dat het een bol van leven was rond de aarde, ja toch?
Je pense que nous avons sûrement tous.
Ik denk dat we allemaal wel vragen hebben.
Alors, on venait de me demander d'aller tourner le
film Elizabeth . Et nous étions tous en train de parler de cette grande icône anglaise, et nous disions C'est une femme formidable. Elle fait tout. Comment allons-nous la présenter ? Alors nous nous sommes mis autour d'une table avec le studio, les producteur et l'auteur, et ils sont venus me dema
nder Shekhar, qu'en penses-tu ? Et j'ai dit Je pense qu'elle danse. Et je voyais tout le
monde me regarder, quelqu ...[+++]'un a dit Bollywood. L'autre a dit Combien on le paye lui ? Et le troisième a dit Trouvons un autre réalisateur. Je me suis dit qu'il valait mieux que je change. Alors nous avons beaucoup discuté de la manière de présenter Elizabeth, et j'ai dit, Ok, peut-être que je suis trop Bollywood .
Ik werd gevraagd om de film Elizabeth te maken. We zijn in gesprek over dit geweldige Engelse icoon en zeggen: Ze is een fantastische vrouw. Ze doet alles. Hoe gaan we haar voorstellen? We gingen rond de tafel zitten met de studio, de producenten en de schrijver, en ze vroegen mij mening: Shekhar,
wat denk je? Ik zei: Ik denk dat ze danst. Ik kon zien dat iedereen me aankeek. Iemand zei: Bollywood. De andere zei: Hoeveel betalen we hem hiervoor? Een derde zei: Laat ons een andere regisseur zoeken. Ik dacht dat ik maar beter kon veranderen. We discussieerden lang over hoe Elizabeth voorgesteld moest worden. Ik zei: Misschien ben ik te Bol
...[+++]lywood.Nous avons grandi en jouant de la musique - Maman est du Cap-Breton, comme par hasard. Maman et la mère de Natalie se connaissaient.
Nous avons grandi en jouant, et nous avions l'habitude de danser ensemble, oui, c'est vrai. (Rires)
Nous avons grandi en jouant tout un tas de... Nous jouion
s de mémoire, et je pense que c'est important dans notre cas, parce que nous n'étions pas vraiment exposés à beaucoup de différents styles de musique.
Nous avons ...[+++] appris à jouer des instruments, mais nous devions trouver ça en nous-mêmes, parce que nous ne regardions pas la télévision, nous n'écoutions pas beaucoup la radio. Nous allions à l'église, et à l'école, parfois, travaillions à la ferme, et jouions de la musique, nous avons donc pu, je pense, à un âge très critique, développer notre propre style, notre propre personnalité ; ma mère joue, mon père joue, et le style qui est venu de la vallée d'Ottawa, en Ontario, nous l'appelons le style franco-Canadien, mais il trouve son origine dans les camps de bûcherons. Il y a des années, des centaines d'hommes allaient passer l'hiver dans les camps dans le Nord de l'Ontario et au Québec, et ils étaient tous de cultures différentes, et les irlandais, les français, les écossais, les allemand, ils se rencontraient, et bien sûr, la nuit, ils jouaient aux cartes, et dansaient et jouaient du violon, et au fil de nombreuses années, le style de violon de la vallée d'Ottawa a évolué, et la danse de la vallée d'Ottawa a évolue, alors j'ai en quelque sorte commencé avec ce style, et je me suis vite mis à faire mon propre truc, et puis j'ai rencontré Natalie, et j'ai été exposé au style génial du Cap-Breton.
We groeiden op met muziek spelen -- ma komt toevallig uit Cape Breton. Ma en de
moeder van Natalie kenden elkaar. We groeiden op met muziek spelen, en we dansten samen, ja, natuurlijk. (Gelach) We groeiden op en we speelden op het gehoor. Ik denk dat dat belangrijk voor ons was omdat w
e niet blootgesteld werden aan veel verschillende muziekstijlen. We leerden de instrumenten te bespelen, maar het moest van binnen komen omdat we geen televisie keken en niet veel naar de radio luisterden. We gin
gen naar de kerk en ...[+++]soms naar school, we werkten op de boerderij en speelden muziek. Zo waren we in staat om op een erg kritische leeftijd onze eigen stijl te ontwikkelen, ons eigen ik. Mijn moeder speelt, mijn vader speelt, in de stijl die zijn oorsprong heeft in de Ottawavallei in Ontario. Wij noemen het de Frans-Canadese stijl maar het kwam oorspronkelijk uit de houthakkerskampen. Jaren geleden gingen honderden mannen gedurende de winter naar kampen in het noorden van Ontario en in Quebec. Ze kwamen uit verschillende culturen. De Ieren, de Fransen, de Schotten, de Duitsers, ze kwamen allemaal samen, en 's avonds gingen ze kaarten, deden ze aan stepdansen en speelden ze viool. Na velen jaren is de Ottawa Valley-vioolmuziek ontstaan, en ontstond het Ottawa Valley-stepdansen. Dat is hoe ik ongeveer begonnen ben met die stijl. Al snel begon ik mijn eigen ding te doen. Toen ontmoette ik Natalie, en ik kwam in contact met de geweldige Cape Breton vioolmuziek.Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois
que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, di
...[+++]fficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vi
nd, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grap
...[+++]pige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Donc, ça c'est un problème philosophique. Mais aujourd'hui, pour mon intervention, je vais supposer
que la plupart des personnes dans ce public ont une conscience, et que je n'ai pas besoin de m'en soucier. Il y a un
second problème qui nous est plus familier en tant que parents, professeurs, conjoints, et romanciers. Qui est, Pourquoi est-ce si difficile de savoir ce que l'autre veut ou croit ? Ou peut-être une question plus pertinente, Pourquoi est-ce si difficile de changer ce que l'autre
veut ou croit ? Je ...[+++]pense que ce sont les romanciers qui le disent le mieux. Comme Philip Roth, qui a dit, Cependant, que pouvons-nous faire à propos de ce problème d'une importance si terrible, le problème des autres personnes? Nous sommes tous si mal équipés pour imaginer la vie intérieure et les objectifs invisibles les uns des autres. Alors en tant que professeur, et en tant qu'épouse, c'est, bien sûr, un problème auquel je suis confrontée tous les jours. Mais en tant que scientifique, je m'intéresse à un problème différent au sujet des autres, et c'est celui que je vais vous présenter aujourd'hui.
Dus dat is een probleem in de filosofie. Maar voor vandaag neem ik aan dat velen in dit publiek een geest hebben en dat ik me hierover geen zorgen hoef te maken. Er is een tweede probleem dat ons misschien even bekend voorkomt als ouders en leraren en echtgenoten en schrijvers. En dat is: Waarom is het zo moeilijk om te weten wat iemand wil of denkt? Of misschien, meer relevant, Waarom is het zo moeilijk om te veranderen wat iemand wil of denkt? Ik denk dat schrijvers dit het best stellen. Zoals Philip Roth, die zei: En nu, wat gaan we doen aan deze verschrikkelijk belangri
jke zaak van andere mensen? We zijn allemaal zo slecht uitgerust
om elkaar ...[+++]s interne werking en onzichtbare doelen in te beelden. Dus als een lerares en als een echtgenote, is dit, natuurlijk, een probleem waarmee ik elke dag geconfronteerd wordt. Maar als wetenschapper, ben ik geïnteresseerd in een heel ander probleem van andere geesten, en dat is wat ik vandaag ga introduceren. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
je pense que si nous perdions tous les trisomiques ->
Date index: 2022-08-21