Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «ici mon docteur » (Français → Néerlandais) :
J'ai commencé à me poser des questions : Au fait, pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Mon docteur aurait-il pu me prévenir ? Alors, ce que je voudrais faire ici pendant les quelques minutes que j'ai avec vous, c'est en fait parler de la formule de la vie, et de la bonne santé.
Ik begon mijzelf af te vragen: Waarom ik? Waarom nu? Waarom hier? Had mijn dokter dit kunnen waarschuwen? Dus wat ik nu wil doen hier in deze paar minuten die ik met u heb is praten over wat de formule voor het leven is, en voor een goede gezondheid.
Venez ici. Serrez-moi dans vos bras (Rires) Et voilà ! (Applaudissements) Donc, mon penchant pour étreindre d'autres personnes m'a valu le surnom de Docteur Amour. Je suis heureux de partager un peu plus d'amour dans le monde, c'est génial, mais voici votre prescription du Docteur Amour : huit embrassades par jour.
Kom hier. Geef me een knuffel. (Gelach) Alsjeblieft. (Applaus) Mijn neiging om anderen te knuffelen heeft me de bijnaam 'Dr. Love' opgeleverd. Ik deel met plezier wat meer liefde op de wereld. Het is geweldig. Dit is wat Dr. Love je voorschrijft: acht knuffels per dag.
Et ce qui est tellement frustrant, c'est que ce n'est pas un cas unique ; ça se p
roduit dans tout le monde en développement. 35 millions d'opérations sont tentées chaque année sans anesthésie sûr
e. Mon collègue, le docteur Paul Fenton, vivait cette réalité. Il était le responsable de l'anesthésiologie dans un hôpital au Malawi, un CHU. Il allait travailler tous les jours dans une salle d'opération comme celle-ci, et essayait d'administrer une anesthésie et d'enseigner à d'autres comment le faire en employant le même équipement qui de
...[+++]venait si peu fiable, et absolument pas sûr, dans son hôpital. Et après une énième opération, et vous pouvez imaginer, une tragédie vraiment indicible, il a dit simplement, « C'est bon, j'abandonne. Ça suffit. Il doit y avoir mieux que ça. » Alors il s'est rendu au bout du couloir jusqu'à l'endroit où on jetait toutes ces machines qui les avaient lâchés, je pense que c'est le terme scientifique exact, et il s'est mis à bricoler. Il a pris une pièce d'ici et une autre de là, et il a essayé de fabriquer une machine qui travaillerait dans la réalité à laquelle il était confronté.
Wat zo frustrerend is: dit is geen unieke gebeurtenis. In de ontwikkelingslanden gebeuren elk jaar 35 miljoen operaties zonder veilige anesthesie. Mijn collega, Dr Paul Fenton, maakte dat mee. Hij was hoofdanesthesioloog in een ziekenhuis in Malawi, een academisch ziekenhuis. Hij werkte elke dag in een operatiekamer als deze. Hij probeerde anesthesie te leveren, en ande
ren te leren dit te doen met diezelfde machine die in dit ziekenhuis zo onbetrouwbaar en, eerlijk gezegd, onveilig was. Na talloze operaties en zoals je je kan voorstellen, onuitsprekelijke tragedies, zei hij: Genoeg geweest. Ik ben het zat. Er moet iets beters komen. Hij
...[+++]ging kijken tussen al die machines die er de brui aan hadden gegeven - ik denk dat dat de wetenschappelijke term is - en hij begon daar wat te knutselen. Hij verzamelde wat onderdelen en probeerde een machine te bedenken die zou werken in de realiteit waarmee hij werd geconfronteerd.Parce que les professionnels, ici dans ces organisations fermées -- ils peuvent êtres universitaires, ils peuvent être programmeurs, ils peuvent être docteurs, ils peuvent être journalistes -- mon précédent métier -- disent, Non, non -- vous ne pouvez pas faire confiance à ces gens là. Quand j'ai commencé dans le journalisme -- Financial Times, il y a 20 ans -- c'était très très excitant de voir quelqu'un en train de lire un journal.
Omdat de professionals, hier in deze gesloten organisaties -- het kunnen academici zijn, misschien programmeurs, het kunnen doctors zijn, of journalisten -- mijn vorige beroep -- die zeggen: ¨Nee, nee -- deze mensen hier zijn niet te vertrouwen.¨ Toen ik begon in de journalistiek -- bij de Financial Times, 20 jaar geleden -- was het erg spannend om iemand een krant te zien lezen.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
ici mon docteur ->
Date index: 2024-04-20