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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «femmes qui faisaient la queue chaque jour » (Français → Néerlandais) :
Les premières semaines que j’ai passé à l’Hôpital Panzi, je me suis assise avec des femmes qui faisaient la queue chaque jour pour me raconter leurs histoires.
Toen ik mijn eerste week doorbracht in het Panzi-ziekenhuis zat ik bij vrouwen die elke dag in een rij kwamen staan om mij hun verhalen te vertellen.
Un mot gentil ne suffit pas pou
r qu'il dé-batte sa femme. Mais il faut persévérer et croire que ça a de la valeur. P
arce que ça compte. Chaque sourire, chaque fleur, chaque papillon, chaque fusil non armé, chaque respiration, chaque chant d'enfant, a du poids. C'est inéluctable. Mais nous gaspillons notre vie à regretter tout ce qui ne va pas. Tant de choses vont bien, qu'on ne peut les compter. Rachel a écrit : « L'incon
nu et invisible, un jour, viendron ...[+++]t à moi. » Pourquoi à sa mort, rendre son journal immortel ? Ses mots sont des flammes, qui brûlent les portes de nos esprits fermés. Écartant nos paupières d'un regard que nous ignorions posséder, sur une fréquence éblouissante qui nous rendait aveugle.
Spreek een vriendelijk woord en je ziet hem niet zijn vrouw niet-in-elkaar-slaan, en toch moet je geloven dat het ertoe doet, want dat doet het! Elke glimlach, elke bloem, elke vleugel van een vlinder, elke ongeladen kogel, elke adem en zingende baby telt mee, daar is geen ontkomen aan. We verkwisten ons leven aan dingen die verkeerd gaan, terwijl er meer goed gaat dan je bij kunt houden. Rachel schreef: Het onzichtbare, het ongesprokene, op een dag komt het naar me toe . Wordt bij haar dood haar dagboek onsterfelijk? De fakkel van haar woorden brandt onze gesloten geesten open, forceert de leden van een ons onbekend oog, naar een hoogte van helde
rheid waar we blind voor waren ...[+++].E
t les femmes me disent constamment, to
ujours et encore, à chaque voyage : « Je veux pouvoir utiliser cette seringue. » Je leur parle de vaccins pour les enfants, et elles ramènent la conversation à la question : « Qu'en est-il de l'injection que moi je reçois ? » Il s'agissait de l'injection de Depo-Provera, un contraceptif. En rentrant, je parle à des experts en santé mondiale, et ils me disent : « Oh, non, les contraceptifs sont en stock dans les pays en développement. » On a dû fouiller dans les rapports, et voici ce que l'équipe
...[+++]m'a montré, la première chose que les femmes en Afrique veulent utiliser est hors stock 200 jour par an ce qui explique pourquoi les femmes me disaient : « J'ai marché 10 kilomètres sans que mon mari le sache, je suis arrivée à la clinique, et il n'y avait rien là-bas. » Les préservatifs sont en stock en Afrique à cause de l'aide pour le SIDA que les Etats-Unis et d'autres apportent. Mais les femmes vous diront encore et encore : « Un préservatif n'est pas négociable avec mon mari.
En ik hoorde steeds weer, overal waar ik kwam: Ik wil die inenting. Ik was daar om over kindervaccins te praten. Ze veranderden van onderwerp: Maar hoe zit het met mijn inenting? Ze hadden het over de inenting: Depo-Provera. Dat is een voorbehoedmiddel. Ik kwam terug en sprak met gezondheidsdeskundigen. Die zeiden: Anticonceptie is voorradig in ontwikkelingslanden. Je moest wat dieper in de rapporten duiken. Het team liet me dit zien. Het voorbehoedmiddel dat de vrouwen in Afrika graag will
en is 200 dagen per jaar niet op voorraad. Dat verklaart waarom vrouwen mij zeiden: Ik liep 10 km zonder dat mijn man het weet. Kom ik bij de kliniek,
...[+++] is er niets. Er waren voorraden condooms in Afrika vanwege al het aids-werk dat de VS en anderen ondersteunen. Maar vrouwen blijven je vertellen: Ik kan niet over condooms praten met mijn man.venaient de publier que quand une femme meurt d'une crise cardiaque à la différence d'un homme -- nous parlons ici de millions de gens, chaque jour -- les plaques de graisse chez la femme -- voici leurs artères coronaires, principale voie du sang vers le cœur -- chez la femme, ça s'érode, chez l'homme, ça explose.
hadden recent een artikel gepubliceerd waarin vrouwen en mannen die hartaanvallen krijgen en sterven, vergeleken werden. Het gaat over miljoenen mensen, elke dag. Vrouwen in hun vetafzetting -- en dit is in hun hartslagader, de hoofdslagader die naar de hartspier gaat -- vrouwen eroderen, mannen exploderen.
Quelle importance cela a-t-il? dirent-elles, Une balle ne fait pas la distinction entre un musulman et un chrétien.
Ce petit groupe de femmes décida de provoquer l'arrêt de la guerre. Et elles choisirent d'utiliser leurs traditions pour exprimer leurs vues. Les femmes du Libéria portent généralement beaucoup de bijoux et des vêtements colorés. Mais non, pour leur protestation, elles s'habillèrent tout de blanc, sans maquillage. Comme le dit Layma, Nous portions le blanc pour indiquer que nous étions en faveur d
e la paix. Elles se tenaient ...[+++] debout le long de la route sur laquelle le convoi motorisé de Charles Taylor passait chaque jour. Elles y furent pendant des semaines, tout d'abord juste 10, puis 20, puis 50 puis des centaines de femmes habillées de blanc, chantant, dansant, disant qu'elles voulaient la paix.
'Wat maakt het uit? zeiden ze: Een kogel maakt geen onderscheid tussen een moslim en een christen. Deze kleine groep vrouwen was vastbesloten om een einde aan de oorlog te
maken. Ze kozen er voor om hun tradities te gebruiken om een punt te maken. Liberiaanse vrouwen dragen meestal heel veel sieraden en kleurrijke kleding. Voor het protest gingen ze allemaal gekleed in het wit, zonder make-up. Zoals Layma zei: We droegen het wit als symbool voor de vrede. Ze stonden aan de kant van de weg waar Charles Taylor zijn colonne elke dag voorbij kwam. Ze stonden daar weken aan een stuk. Eerst slechts met 10, daarna met 20, daarna met 50, vervolg
...[+++]ens honderden vrouwen in het wit, zingend, dansend, verklarend dat ze vrede wilden.C'est en partie vrai. Il n'y a pas tant de femmes importantes dans le monde de la technologie. Voilà mon problème avec cette controverse. Les médias nous rabachent chaque jour ce qui est important, à travers des sujets qu'ils choisissent et comment ils les placent. Cela s'appelle une mise à l'agenda.
Dat is deels waar. Er zijn niet zoveel prominente vrouwen in de technologie. Maar ik heb een probleem met dat argument. De media zeggen ons elke dag wat belangrijk is, door hun keuze van verhalen en van de plek waar die staan. Dat heet 'de agenda bepalen'.
MT: Oh
, 365, le nombre de jours dans une année, le nombre de
jours qui séparent chaque anniversaire. Fais un voeu. (bruit de souffle) Voix : Ne nous le dis pas, sinon il ne se réalisera pas. MT : Et bien, en fait, c'était pour mon sixième anniversaire que j'ai reçu mon premier jeu de cartes, et depuis ce jour là, j'ai voyagé aux quatr
e coins du monde en faisaint des tours de magie pour garçons e
t filles, hommes et ...[+++]femmes, maris et épouses, et même rois et reines. (Applaudissements) Voix : Et eux, qui sont-ils ? MT : Ah, faiseurs d'histoires. Observe.
MT: Oh, 365, het aantal dagen in een jaar, het aantal dagen tussen elke verjaardag. Doe een wens. (Blazend geluid) Stem: Niet vertellen, of ze komt niet uit. MT: Op mijn zesde verjaardag kreeg ik mijn eerste kaartenset en sinds die dag breng ik mijn magie de wereld rond voor jongens en meisjes mannen en vrouwen, echtgenoten en echtgenotes, zelfs koningen en koninginnen. (Applaus) Stem: Wie zijn dit? MT: Deugnieten. Kijk.
Nous nous sommes bien amusés, et en 2004, j'ai dit à mes copains, « C'était tellement amusant. Il faut le légitimer pour pouvoir le faire chaque année. » (Rires) Nous y avons réfléchi et nous nous sommes inspirés des femmes qui nous entouraient et de ce qu'elles faisaient pour le cancer du sein.
We hadden veel lol. In 2004 zei ik tegen de jongens: Dat was zo leuk. Laten we dit legitimeren zodat we er elk jaar mee wegkomen. (Gelach) Daar begonnen we over na te denken. Onze inspiratie waren de vrouwen in onze omgeving die zich voor borstkanker inzetten.
151 millions de personnes chaque jour font la queue au supermarché.
150 miljoen mensen staan elke dag in de rij bij de supermarkt.
On le trouve aussi bien sur la côte est que la côte ouest, et les symboles sont souvent très bien conservés, chacu
n de ces symboles a quatre bits -- c'est un mot binaire à quatre bits -- on dessine aléatoirement ces lignes dans le sable, et ensuite on les compte, si le nombre est impair, on fait une marque, et s'il est pair, on en f
ait deux, Et ils le faisaient très rapidement, et je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient en faire -- ils ne dessinaient les lignes aléatoires que quatre fois -- Je ne comprenais pas comment ils obtenaient
...[+++] les 12 autres symboles. Et ils ne voulaient pas me le dire. « Non, non. Je ne peux pas vous en parler », disaient-ils. Et moi de répondre : « Bon, je vous paierai, vous serez mon professeur, et je viendrai chaque jour et je vous paierai. » « Ce n'est pas une histoire d'argent. C'est une histoire de religion », disaient-ils. Et finalement, désespéré, j'ai dit : « Laissez-moi vous expliquer Georg Cantor en 1877. » Et j'ai commencé à leur expliquer pourquoi j'étais en Afrique, et ils devinrent très excités quand ils virent l'ensemble de Cantor. L'un d'eux a dit : « Venez. Je pense que je peux vous aider. » Et donc il me fit passer le rituel initiatique des prêtres bamanas.
Je vindt het op de Oostkust en op de Westkust, en de symbolen zijn vaak goed bewaard, ze hebben elk vier bits -- het is een binair woord van vier bits -- je trekt deze lijnen willekeurig in het zand, en telt dan terug. Is het oneven, dan trek je één lijn, is het even, dan trek je twee lijnen. Ze deden dit heel snel en ik snapte niet waar ze heengingen -- ze deden het willekeurige stuk maar vier keer -- ik snapte niet waar de andere 12 symbolen vandaan kwamen. Ze wilden het me niet zeggen. Ze zeiden: Nee, nee, ik kan het je niet vertellen. Ik zei: Kijk, ik betaal je, je kan mijn leraar zijn en ik zal je elke dag komen betalen. Ze zeiden: Het is geen kwestie van geld. Het is een kwestie van religie. Ten einde raad zei ik: Laat me jullie Georg
...[+++] Cantor in 1877 uitleggen. Ik begon uit te leggen waarom ik in Afrika was, en ze werden opgewonden toen ze de Cantorverzameling zagen. Eén van hen zei: Kom hier, ik denk dat ik je kan helpen. Hij leidde me door het initiatieritueel van een Bamanapriester. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
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Date index: 2021-12-02