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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «fait vivre quelque temps avec ces enfants pour essayer de raconter leur histoire » (Français → Néerlandais) :
J'ai été photographe pendant de nombreuses années. En 1978, je travaillais pour le magazine Time, et on m'a donné une mission de trois jours pour photographier des enfants amérasiens - des enfants qui avaient été engendrés par les GI américains dans toute l'Asie du Sud-Est, puis abandonnés. 40.000 enfants dans toute l'Asie. Je n'avais jamais entendu le mot amérasiens avant. J'ai passé quelques jours à photographier des enfants dans différents pays, et comme beaucoup de photographes et de nombreux journalistes, j'ai toujours espoir que, une fois mes photos publiées elles puissent effectivement avoir un effet sur une situation au lieu de simplement la documenter. Donc, j'étais tellement troublé par ce que j'ai vu, et j'ai été si malheureux de
...[+++] l'article qui a été publié après, que j'ai décidé de prendre six mois de congés. J'avais 28 ans. J'ai décidé de trouver six enfants de différents pays, et d'aller en fait vivre quelque temps avec ces enfants pour essayer de raconter leur histoire un peu mieux que je ne pensais l'avoir fait pour Time Magazine.
Ik ben vele jaren fotograaf geweest
. In 1978 werkte ik voor het tijdschrift Time. Ik kreeg een driedaagse opdracht om Ameraziatische kinderen te fotograferen. Kinderen die verwekt waren door Amerikaanse soldaten, overal in Zuidoost-Azië, en dan achtergelaten -- 40.000 kinderen door heel Azië. Ik had het woord 'Ameraziatisch' nog nooit gehoord. Ik fotografeerde enkele dagen kinderen in verschillende landen. Zoals vele fotografen en journalisten hoop ik altijd dat als mijn foto's gepubliceerd worden, ze daadwerkelijk invloed hebben op de situatie, in plaats van slechts te documenteren. Ik werd zo geraakt door wat ik zag, en ik was zo ontev
...[+++]reden met het artikel dat volgde, dat ik besloot om 6 maanden vrijaf te nemen. Ik was 28 jaar. Ik besloot om met 6 kinderen in verschillende landen wat tijd door te brengen om te proberen hun verhaal wat beter te vertellen dan ik dacht voor Time te hebben gedaan.Et alors,
parce que vous ne savez pas, vous priez l'uni
vers parce que vous priez
l'univers pour que quelque chose -- je vais essayer d'accéder à l'univers de la maniè
re dont Einstein -- dire une prière -- accédait à ses équations -- la même source -- je recherche la même source car la créativité vient exactement de la même sourc
...[+++]e quand vous méditez quelque part hors de vous-même, hors de l'univers. Vous cherchez quelque chose qui vienne vous frapper. Avant d'être frappé, vous ne tirerez pas le premier. Alors que faites-vous ? Kate dit comme ça, Shekhar, que voulez-vous que je fasse ? Et je dis Kate, que voulez-vous que je fasse ? (Rire) Vous êtes une grande actrice, et j'aime donner à mes acteurs. Pourquoi ne pas me montrer ce que vous voulez faire, vous. (Rire) Qu'est-ce que je fais ? J'essaye de gagner du temps. J'essaye de gagner du temps. La première chose que j'ai apprise au sujet de raconter des histoires, et que je suis tout le temps, c'est la panique. La panique est le grand accès à la créativité parce que c'est la seule manière de se débarrasser de son esprit. Débarrassez-vous de votre esprit. Sortez-en. Sortez-le. Et allez vers l'univers car il y a quelque chose là-bas qui est plus véridique que votre esprit, qui est plus véridique que votre univers. [peu clair], vous avez dit ça hier. Je ne fais que le répéter parce que c'est ce que je suis constamment pour trouver le shunyata quelque part, le vide.
Omdat ik het niet weet, bid ik tot het universum. Ik ga proberen toegang te krijgen tot
het universum op de manier waarop Einstein ( zeg een gebed ) - toegang kreeg tot zijn vergelijkingen - dezelfde bron - ik ben op zoek
naar dezelfde bron, want creativiteit komt absoluut van dezelfde bron als meditatie, ergens buiten jezelf, buiten het heelal.
Ik ben op zoek naar iets dat komt en me raakt. Tot het me raakt, begin ik niet aan de e
...[+++]erste opname. Wat doe ik dan? Kate zegt: Shekhar, wat wil je dat ik doe? En ik zeg: Kate, wat wil je doen? (Gelach) Je bent een geweldige actrice, en ik wil geven aan mijn acteurs. Waarom toon jij me niet wat je wilt doen. (Gelach) Wat doe ik? Ik probeer tijd te kopen. Ik probeer tijd te kopen. Dus het eerste wat ik leerde over verhalen vertellen, en ik volg het altijd, is paniek. Paniek is de grote toegang tot creativiteit, want dat is de enige manier om je te ontdoen van het denken. Laat je denken los. Kom eruit los. Breng het naar buiten. Laten we naar het universum gaan, omdat er daar iets is dat waarachtiger is dan je denken, dat waarachtiger is dan jouw universum. [Onduidelijk], je zei het gisteren. Ik herhaal het gewoon omdat dat het is wat ik voortdurend volg om de shunyata te vinden, de leegte.(Rires) Vraiment, c'
est comme un tas de gens assis qui passe un test d
'admission. Je veux dire, le moment le plus dramatique c'est quand quelqu'un comme
nce à se masser les tempes. Et je suis journaliste, j'ai
besoin d'écrire sur quelque chose. Je sais qu'il y a ce truc incroyable qui se passe dans ces esprits, mais je n'y ai pas
...[+++] accès. Et je me suis rendu compte que si j'allais raconter cette histoire, il fallait que je me mette un peu à leur place. Et donc j'ai commencé à essayer de passer de 15 à 20 minutes tous les matins avant de m'assoir pour lire mon New York Times à essayer de me souvenir de quelque chose.
(Gelach) Werkelijk, het is alsof een stel mensen een examen zit te maken. Het meest
dramatische dat er ooit gebeurt, is dat iemand
over zijn slapen begint te wrijven. Ik ben
journalist, ik heb iets nodig om over te schrijven. Ik weet dat er zich ongelofelijke dingen afspelen in hun hoofd maar ik kan daar niet bij. Toen wist ik dat, als ik dit verhaal wilde vertellen, ik in hun schoenen moest gaan staan. Toen ging ik proberen om 15 tot 20 minuten lang, iedere morgen voordat
...[+++] ik de krant ging lezen, gewoon te proberen om iets te onthouden.Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce
sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes
et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regar
dent. Ils ...[+++]discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de
grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen va
n dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door
deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door da
...[+++]t ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Homme 1 : à partir du moment où il
y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De t
...[+++]oute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is
dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Az
zam's dochter was geweest... Alles ...[+++]zins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
fait vivre quelque temps avec ces enfants pour essayer de raconter leur histoire ->
Date index: 2021-08-10