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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «encore autre chose qui rendit » (Français → Néerlandais) :
Maintenant en ce début de 20 ième siècle, il y a encore autre chose qui rendit les choses encore plus compliquées.
Nu is er iets anders dat in het begin van de 20e eeuw alles nog ingewikkelder maakte.
La vidéo dans le coin en haut à droite -- je ne vais pas la montrer par manque de temps -- montre l'auto-réplication, l'arrangem
ent. ainsi, quelque chose peut faire quelque chose d'a
utre qui peut faire encore autre chose. Et nous arrivons à faire ça, sur, peut-être, neuf ordres de grandeurs. Ces idées ont été utilisées pour montrer la ressemblance et le taux de réplication de l'ADN pour faire un organisme. en fonctionalisant des nanoclusters avec des queues de peptides qui codent pour leur ass
...[+++]emblage. Ainsi, tout comme des magnets, mais à des échelles nanométriques. L'usinage laser: des imprimantes 3D qui fabriquent de façon digitale, des systèmes fonctionnels, jusqu'à la construction de bâtiments, non pas avec des plans d'architectes, mais en aillant des briques qui déterminent la forme du bâtiment.
De video rechtsboven toont zelf-replicatie, zodat iets iets anders maakt, dat weer iets anders maakt. Dat doen we nu over negen ordes van groo
tte. Met die ideeën krijg je de beste betrouwbaarheid en stuur je dna aan om een organisme te maken, in het functionaliseren van nanoclusters met peptide-staarten die hun samenstelling coderen -- net als de magneten, maar nu op nanometerschaal. Laser-microfabricage: 3D-printers die digitaal functionerende systemen maken, helemaal tot gebouwen, niet met een blauwdruk gemaakt, maar met onderdelen die zelf de structuur coderen. niet met een blauwdruk gemaakt, maar met onderdelen die zelf de structuur
...[+++]coderen.Voilà où je veux en venir. Les voitures ne sont pas des costumes, les voitures sont un avatar, les voitures sont une extension de vous-mêmes, elles prennent vos pensées, vos idées, vos émotions et elles les multiplient -- votre colère ou encore autre chose. C'est un avatar.
Dat is waar ik toe wil komen. Auto's zijn geen koffer vol kleren, auto's zijn een avatar. Auto's zijn een verlengstuk van jezelf: ze nemen je gedachten, je ideeën, je gevoelens, je woede, en vermenigvuldigen die.
Voici encore autre chose : ce n'est qu'un concept, mais ce concept va bientôt être testé dans une banlieue de Pékin.
Of neem dit: dit is nog maar een idee, maar het is een idee dat binnenkort wordt uitgeprobeerd in een buitenwijk van Peking.
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce
sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et
de leur sa ...[+++]gesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn do
nker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute fa
çon, je préfèrerais encore avoir le ...[+++]paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En
...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Jusqu'à peu, ce que nous connaissions du cerveau c'était
ce que le cerveau d'autres animaux pouvait faire aussi. Ainsi nous pouvions utiliser des modèles animaux. Nous savions comment les cerveaux voient, et comment ils contrôlent le corps, et comment ils entendent et ressentent. Et tout le projet de compréhension de la façon dont le
s cerveaux font des choses spécifiquement humaines, apprendre le langage, et les concepts abstraits, et réfléchir aux pensées des autres, est vraiment très nouveau. Et nous
ne connaissons pas ...[+++]encore les implications de cette compréhension. C.A. : Alors j'ai encore une dernière question. Il y a ce qu'on appelle le problème épineux de la conscience, qui préoccupe beaucoup de gens. La notion qu'on puisse comprendre pourquoi le cerveau fonctionne, peut-être. Mais pourquoi les gens ressentent-ils des choses ?
Tot
voor kort was onze kennis over het brein dingen die elk ander dierlijk brein ook kon doen. Dus we konden het in dierenmodellen bestuderen. We wisten hoe hersenen kijken en hoe ze het lichaam besturen, en hoe ze horen en voelen. En het hele project van begrijpen hoe hersenen de unieke menselijke dingen doen, taal leren, en abstracte concepten, en denken over andermans gedachten, dat is geheel nieuw. En we weten nog niet wat de implicaties zullen zijn van het begrijpen hiervan. C.A.: Ik heb nog een vraag. Er bestaat iets genaamd het moeilijke probleem van bewustzijn, dat veel mensen bezighoudt. Het besef dat je kunt begrijpen waarom ee
...[+++]n brein werkt, misschien. Maar waarom moet iemand iets voelen?Et ce que vous allez découvrir, si vous creusez un peu, vous trouverez que les gens -- c'est ce qui se passe -- les gens vont au travail, et qu'en gros ils échangent leur journée de travail contre une série de moments de travail. C'est ce qui se passe au bureau. Vous n'avez plus une journée de travail, vous avez des moments de travail. C'est comme si la porte d'entrée au bureau était un mixeur, vous y entrez et votre journée est déchiquetée en morceaux, parce que vous avez 15 minutes par-ci et 30 minutes par-là, et p
uis quelque chose d'autre se présente qui vous sort de votre travail, et vous devez faire autre
chose ...[+++], puis vous avez 20 minutes, puis c'est l'heure du déjeuner. Puis vous avez quelque chose d'autre à faire, puis vous avez 15 minutes, et quelqu'un vous prend à part et vous pose une question. Et avant que vous vous en aperceviez, il est 17 heures, et vous faites le bilan de votre journée, et vous vous rendez compte que vous n'avez rien fait. Je veux dire, on a tous vécu ça. On l'a probablement vécu hier, ou le jour d'avant, ou encore avant cela. Vous faites le bilan de votre journée, et vous vous dites, je n'ai rien fait aujourd'hui.
Als je een beetje dieper graaft, ontdek je dat mensen -- dit is wat gebeurt: mensen gaan naar hun werk en ze ruilen in feite hun werkdag in voor opeenvolgende werkmomenten. Dat gebeurt op het kantoor. Je hebt geen werkdag meer; je hebt werkmomenten. Het lijkt erop dat de ingang van het kantoor een foodprocessor is: je dag wordt versnipperd in stukjes, omdat je hier 15 minuten hebt en daar 30 minuten. Er gebeurt iets anders en je wordt van je werk gehaald. Je doet iets anders, daarna heb je nog 20 minuten en het is lunchtijd. Daarna heb je weer iets anders te doen, dan heb je 15 minuten en iemand klampt je aan met een vraag. Voor je het door hebt, is het 17:00 uur. Je kijkt terug op de dag, en beseft je dat je niks hebt kunnen afmaken. We h
...[+++]ebben dit allemaal meegemaakt. Misschien gisteren, eergisteren of de dag daarvoor. Je kijkt terug op je dag en je denkt: Ik heb vandaag niks gedaan .Et les femmes me disent const
amment, toujours et encore, à chaque voyage : « Je veux pouvoir utiliser cette seringue. » Je leur parle de vaccins pour les enfants, et elles ramènent la conversation à la question : « Qu'en est-il de l'injection que moi je reçois ? » Il s'agissait de l'injection de Depo-Provera,
un contraceptif. En rentrant, je parle à des experts en santé mondiale, et ils me disent : « Oh, non, les contraceptifs sont en stock dans les pays en développement. » On a dû fouiller dans les rapports, et voici ce que l'équipe m'a
montré, la ...[+++] première chose que les femmes en Afrique veulent utiliser est hors stock 200 jour par an ce qui explique pourquoi les femmes me disaient : « J'ai marché 10 kilomètres sans que mon mari le sache, je suis arrivée à la clinique, et il n'y avait rien là-bas. » Les préservatifs sont en stock en Afrique à cause de l'aide pour le SIDA que les Etats-Unis et d'autres apportent. Mais les femmes vous diront encore et encore : « Un préservatif n'est pas négociable avec mon mari.
En ik hoorde steeds
weer, overal waar ik kwam: Ik wil die inenting. Ik was daar om over kindervaccins te praten. Ze veranderden van onderwerp: Maar hoe zit het met mijn inenting? Ze hadden het over de inenting: Depo-Provera. Dat is een voorbehoedmiddel. Ik kwam terug en sprak met gezondheidsdeskundigen. Die zeiden: Anticonceptie is voorradig in ontwikkelingslanden. Je moest wat dieper in de rapporten duiken. Het team liet me dit zien. Het voorbehoedmiddel dat de vrouwen in Afrika graag willen is 200 dagen per jaar niet op voorraad. Dat verklaart waarom vrouwen mij zeiden: Ik liep 10 km zonder dat mijn man het weet. Kom ik bij de kliniek,
...[+++] is er niets. Er waren voorraden condooms in Afrika vanwege al het aids-werk dat de VS en anderen ondersteunen. Maar vrouwen blijven je vertellen: Ik kan niet over condooms praten met mijn man.V
oilà un autre exemple. Les économistes parlent de théorie des jeux : pour tout jeu entre deux personnes, il y a un « équilibre de Nash ». En voici la traduction pour les membres de gangs.
Ils expliquent sur quoi repose la décision de ne pas utiliser les armes
à feu ; c’est une chose qui s’avère être une importante tactique économique dans les gangs : si on arrive et qu’on tire en l’air sur le territoire d’un autre gang, tout le monde a peur d’aller y
...[+++] acheter sa drogue. Les gens viendront dans votre quartier. Mais voilà ce qu’il dit pour expliquer pourquoi cela ne se fait pas. Il dit : « Si on se met à jouer avec nos flingues dans le coin », sur le territoire d’un autre gang, « personne, je veux dire, tu vois, personne va se pointer chez eux. Mais faut faire gaffe, parce qu’ils peuvent venir jouer avec leurs flingues ici aussi, et là on est tous baisés ». (Rires) Eh bien c’est exactement le même concept. Mais là encore, les économistes se trompent parfois. Il y a une chose qu’on a observée dans les données, c’est qu’elles semblaient, quant à... Le chef du gang est toujours payé, n’est-ce pas ? Peu importent les problèmes économiques, il est toujours payé.
Hier is er nog één. Economen spreken veel over speltheorie, dat elk tweepersoonsspel een Nash-evenwicht heeft. Hier is de verta
ling die je van een bendelid krijgt. Ze zijn aan het praten over de beslissing om niet te gaan schieten... één ding dat een fantastische zakelijke tactiek is gebleken in de bende, is als je in het
territorium van een andere bende gewoon in de lucht schiet, dan zijn mensen bang om daar hun drugs te kopen en komen ze naar jouw buurt toe. Maar hier is wat ze zeggen over de reden om dat niet t
...[+++]e doen. Hij zegt: Als we daar gaan beginnen met schieten, in het territorium van de andere bende, dan gaat niemand, en ik bedoel, weet je, niemand, een stap op hun terrein zetten. Maar we moeten voorzichtig zijn, want zij kunnen hier ook rond gaan schieten, en dan zijn we allemaal genaaid. (Zaal lacht) Dus dat is precies hetzelfde concept. Maar soms hebben economen het ook mis. Eén van de dingen die we observeerden in de data, is dat de bendeleider altijd betaald kreeg, ok? Het maakte niet uit hoe slecht de economische situatie was, hij werd altijd betaald. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
encore autre chose qui rendit ->
Date index: 2023-02-20