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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «disait que mes » (Français → Néerlandais) :
Ce n'est qu'à notre époque que la course est devenue associée à la peur et à l
a douleur. Géronimo disait que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo ne disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une semaine ou je dois faire des exercices différents. Je n'ai pas fait de yoga. Je ne suis pas prêt. De tout temps, les humains ont couru encore et encore. Nous
...[+++]sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos ancêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon bestond uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan een vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem de
ze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend. We zijn nu hier. We hebben onze digitale technologie. Al onze wetenschap stamt uit het feit dat onze voor
...[+++]vaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voeten en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien.J'étais vraiment mal à l'aise, et le photographe me disait de me cambrer plus et de mettre mes mains dans les cheveux de ce type.
Ik voelde me ongemakkelijk en de fotograaf zei dat ik mijn rug hol moest maken en mijn hand in zijn haar moest doen.
Du coup, on a un peu parlé, et je lui ai dit : « Écoutez, l'aventure n'a pas besoin d'être aussi extrême pour être intense. » On a un peu parlé, je lui ai dit : « Vous pouvez, par exemple, mettre des ruches dans votre jardin, parce que les abeilles peuvent sauver le monde. » Alors il a installé des ruches. Quelques mois plus tard, j'ai reçu un mail qui me disait, il me racontait les couleurs des ruches, leurs premiers pots de miel, qu'il me gardait gentiment.
We raakten in gesprek en ik zei: Luister, een avontuur hoeft niet zo extreem te zijn om intens te zijn. We praatten nog wat en ik zei: U zou bijvoorbeeld bijenkasten in uw tuin kunnen zetten, want bijen kunnen de wereld redden. Dus heeft hij bijenkasten neergezet, want enkele maanden later vertelde hij me in een mail over de kleuren van de bijenkasten en hun eerste potjes honing die hij heel lief voor me bewaarde.
Le professeur me disait que mes personnages lui ressemblaient trop, à lui, homme instruit et appartenant à la classe moyenne.
De professor vertelde mij dat mijn personages te veel zoals hij waren, een goed opgeleide man uit de middenklasse.
(Rires) Groucho Marx disait : « Pourquoi me soucier des générations futures ?
(Gelach) Groucho Marx zei: Waarom moet ik om toekomstige generaties geven?
Un Indien qui a laissé un commentaire sur notre blog qui disait: Je me sens aussi Européen.
Hij liet een berichtje achter op onze website, waarin hij zei: Ik voel me ook een Europeaan.
Ma mère s'est battue, je suis restée avec elle, et toutes les nuits après la chimio elle me parlait, elle me parlait de ce gouffre devant elle, elle me parlait du froid dans ses os, elle me disait qu'elle avait peur, et elle se battait, et le lendemain, courageusement, elle me disait en se réveillant : « Chaque jour est une vie. » Et voyez-vous, les deux mois au final ont duré six ans.
Mijn moeder heeft zich geweerd. Ik ben bij haar gebleven. Elke nacht, na de chemo, sprak ze met mij. Ze sprak over de afgrond voor haar, over de kou in haar botten, ze zei me dat ze bang was, en ze weerde zich. Toen ze de volgende dag wakker werd, zei ze me dapper: Elke dag is een leven. En zie, die twee maanden duurden uiteindelijk zes jaar.
Et lorsque je m’apitoyais sur moi-même, comme le font les filles
de 10 ans, elle me disait : « Ma chérie, sur l’échelle des plus grandes tragédies du monde, la tienne n'atteint même pas trois. » (Rires) Et quand j’ai posé ma candidature à une école de commerce, en étant certaine de ne pas y arriver, aucune de mes connaissances n’y était arrivé, je suis allé chez ma tante qui avait été battue par son mari pendant des années et avait fini par échapper à un mariage de violences avec seulement sa dignité intacte. Et elle m'a dit : « Ne fais jamais tiennes les limitations des autres. » Et quand je me plaignais à ma grand-mère, une vétéran de
...[+++]la Seconde Guerre Mondiale, qui a travaillé dans le cinéma pendant 50 ans, et qui m’a soutenu dès l’âge de 13 ans, quand je me plaignais d'avoir peur que si je refusais un pont en or chez ABC pour une bourse à l'étranger, je ne retrouverai jamais, jamais un autre boulot, elle me disait : « Ma petite, je vais te dire deux choses. Tout d’abord, personne ne dit non à un Fullbright, et deuxièmement, il y a toujours de la place chez McDonald’s. » (Rires) « Tu trouveras un emploi. Fais le grand saut. » Les femmes de ma famille ne sont pas des exceptions. Les femmes dans cette salle, et celles qui nous regardent à L.A., et partout dans le monde, ne sont pas des exceptions. Nous ne sommes pas un groupe d’intérêt.
Als ik medelijden had met mezelf,
zoals 9 of 10 jaar oude meisjes wel eens plegen te doen, zegde ze tegen mij: Liefje, op een schaal van de grote wereldtragedies is jouw geval nog niet eens een drie. (Gelach) Toen ik me inschreef aan de businessschool en er zeker van was dat ik het niet aankon en niemand kende die het had gedaan, ging ik naar mijn tante die jaren door haar man was mishandeld en ontsnapt was aan een huwelijk vol geweld met alleen haar waardigheid intact. Ze vertelde me: Importeer nooit de beperkingen van andere mensen. Ooit ging ik klagen bij mijn grootmoeder, een Tweede-Wereldoor
...[+++]logveteraan die 50 jaar lang voor de film werkte en me steunde van toen ik 13 was. Ik zei dat ik bang was dat als ik een droomjob bij ABC zou afslaan voor een beurs in het buitenland, ik nooit meer een andere baan zou vinden. Ze zei: Kindje, ik ga je twee dingen vertellen. Ten eerste, niemand scheept een Fulbright af en ten tweede, McDonald's werft altijd aan. (Gelach) Je vindt wel een baan. Riskeer het maar. De vrouwen in mijn familie zijn geen uitzonderingen. De vrouwen in deze kamer en toekijkend in L.A. en in de rest van de wereld zijn geen uitzonderingen. Wij zijn geen 'speciale gevallen'.On y parlait de 7 façons d'avoir
de la chance. Et ça disait si vous voulez avoir de la chance, vous savez, v
ous devez avoir des gens positifs autour de vous. Je veux dire, quand j'ai dit à ma femme que tu voulais venir me voir, et me parler, et bien elle a dit, elle bavarde tout simplement, c'est pour être gentille avec toi. Elle ne viendra pas. Et puis tu m'as appelé et tu m'a dit que tu allais venir et m'interviewer, et du coup elle a fait des recherches sur toi sur Internet. Elle m'a dit, regarde qui c'est. Tu ne seras jamais capab
...[+++]le de répondre à ses questions. (Rires) Et elle disait que tu allais me faire passer pour un idiot parce que je n'ai pas fait d'études, et que je n'aurais pas l'air d'un professionnel et tout ça. Je lui ai dit, tu vois,cette femme m'a parlé pendant 4 heures. Vous savez, même si je ne voulais pas parler, et bien elle voulait que je parle, je ne pensais même pas qu'elle viendrait jusqu'ici.
D
aar stond iets in over 7 manieren van geluk hebben. Als je geluk wilt hebben moet je positieve mensen om je heen hebben. Zelfs toen ik m'n vrouw vertelde dat je hier zou komen om met mij te praten, zei ze: Die zegt maar wat, die is gewoon aardig tegen je. Gaat nooit gebeuren. En toen je me belde en zei je dat je me wilde komen opzoeken voor een interview, zocht ze je op op internet. Ze zei: Kijk nou eens wie ze is. Haar vragen zijn vast veel te moeilijk voor je. (Gelach) En ze zei dat je me als een of andere idioot zou neerzetten omdat ik nooit heb gestudeerd en niet praatte op een professionele manier ofzo. Ik zei: Die vrouw heeft anders wel vier uur met m
...[+++]e gepraat. Ik bedoel, als ik niet zo praatte -- weet je, weet je, als ze niet wilde dat ik zo praatte, denk ik niet dat ze hier zou willen komen.J'ai ouvert un studio et j'ai essayé d'être publié. J'envoyais mes livres. J'envoyais des centaines de cartes postales aux éditeurs et aux dire
cteurs artistiques, mais il n'y avait aucune réponse. Et mon grand-père m'appelait tout
es les semaines, et disait : « Jarrett, comment ça avance ? Est-ce que tu as un job ? » Parce qu'il avait investi une grosse somme d'argent dans mes études universitaires. Et je disais : « Oui, j'ai un job. J'écris et j'illustre des livres pour enfants. » Et il disait : « Eh bien, qui te paie pour ça ? » Et j
...[+++]e répondais : « Personne. Personne pour le moment. Mais je sais que ça va arriver. » J'avais l'habitude de travailler le week-end à la programmation saison creuse de Hole in the Wall pour faire un peu d'argent tout en essayant de me lancer, et ce gamin qui était hyper-chargé d'énergie, j'ai commencé à l'appeler « Monkey Boy » (garçon-singe). Je suis rentré à la maison et j'ai écrit un livre appelé « Bonne nuit, Monkey Boy ». Et j'ai envoyé un dernier lot de cartes.
Ik begon een studio en probeerde een uitgever te vinden. Ik verstuurde mijn boeken. Ik stuurde honderden briefkaarten naar redacteuren en art directors, maar die werden niet beantwoord. Mijn opa belde mij elke week, en vroeg dan: Jarret, hoe gaat het? H
eb je al een baan? Want hij had net een grote som geld geïnvesteerd in mijn universitaire opleiding. Want hij had net een grote som geld geïnvesteerd in mijn universitaire opleiding. Dan zei ik: Ja, ik heb een baan. Ik schrijf en illustreer kinderboeken. Hij zei: Maar wie betaalt je daarvoor? Ik zei: Op dit moment nog niemand. Maar ik weet dat het gaat gebeuren. Ik zei: Op dit moment nog n
...[+++]iemand. Maar ik weet dat het gaat gebeuren. Ik werkte in de weekends bij Hole in the Wall in het laagseizoenprogramma om wat bij te verdienen terwijl ik van de grond probeerde te komen. Een van de kinderen was zo hyperactief dat ik hem Monkey Boy noemde (Apenjoch) Een van de kinderen was zo hyperactief dat ik hem Monkey Boy noemde (Apenjoch) Thuisgekomen schreef ik een boek met als titel: Welterusten, Apenjoch . Ik verstuurde een laatste stapel kaarten. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
disait que mes ->
Date index: 2022-03-22