Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «c’était les amis qui nous soutiennent » (Français → Néerlandais) :
C’était les amis qui nous soutiennent et une sœur qui nous adore.
Het waren pleitende vrienden en een betuttelende zus.
Au départ, ou plutôt, vous savez, comme les gens disent, en réalité, les gens les
plus virulents qui soutiennent le modèle innovant occidental déclarent : « Ou sont les Googles, iPods et Viagras indiens, si
les indiens sont si malins que ça ? » (Rires) A
u départ, quand nous avons commencé nos recherches, nous avons rencontré plusieurs cadres, et nous leur avons demandé : « Qu'en pensez-vous ? L’Inde, destination prisée des services
...[+++] informatiques et de back-office, va-t-elle devenir une destination pour l'innovation ? » Ils nous ont ri au nez. Ils ont dit : « Vous savez quoi? Les indiens ne font pas d'innovation. » Les plus polis on dit : « Eh bien, vous voyez, les indiens font de bons programmeurs, et de bons comptables, mais ils n'ont pas la fibre créative. » Des fois, c'était plus enrobé d'un vernis de sophistication, et les gens disaient : « Vous savez, ça n'a rien à voir avec les indiens.
In eerste instantie zeiden mensen, vooral de mensen die fervent geloven in het westerse model van innovatie: 'Als de Indiërs zo verdomd slim zijn, waar zijn dan de Indiase Googles, iPods en Viagra's?' (Gelach) 'Als de Indiërs zo verdomd slim zijn, waar zijn dan de Indiase Googles, iPods en Viagra's?' (Gelach) In de eerste fases van ons onderzoek stelden wij verschillende leidinggevenden de vraag: In de eerste fases van ons onderzoek stelden wij verschillende leidinggevenden de vraag: 'Zal India zich ontwikkelen van een favoriete bestemming voor software- en backoffice-diensten 'Zal India zich ontwikkelen van een favoriete bestemming voor software- en backoffice-diensten tot een bestemming voor innovatie?' Ze lachten. Ze namen ons niet serie
...[+++]us. Zij zeiden: 'Indiërs doen niet aan innovatie.' De beleefden onder hen zeiden: 'Indiërs zijn goede softwareprogrammeurs en accountants, maar van creativiteit hebben zij geen kaas gegeten.' Soms brachten mensen meer verfijnde meningen naar voren: 'Het ligt niet aan de Indiërs zelfC'était le genre de combat et de choix pour lequel tout le monde ici, s'accorde à dire qu'il augmente le coût des soins de fin de vie, et des soins de santé pour nous tous. Et pour moi, pour nous, nous avons poussé le combat jusqu'à la limite, je n'ai jamais eu la possibilité de lui dire ce que je lui dit maintenant tous les jours : « Hey l'ami, c'était un sacré parcours. » Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous dire au revoir.
Het was het soort gevecht en het soort keuzes waarvan iedereen weet dat ze de kosten opdrijven van de zorg rond het levenseinde, en van de gezondheidszorg voor ons allen. En ik, of wij, gingen door tot het bittere einde. Ik heb nooit de kans gekregen om hem te zeggen wat ik nu bijna elke dag tegen hem zeg: Hey, maat, dat was me het ritje wel. We hebben nooit de kans gekregen om afscheid te nemen.
Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne s
e fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois
que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureu
...[+++]se, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. I
...[+++]k kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.C'est effrayant. Vous savez, je continue de parler de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la précision, où l'on ne peut pas simplement raconter une histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces cont
eurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous
donnent des détails dont tout le monde se fiche, du genre : Oh, j'
ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portai
...[+++]t ce jean très moche. Enfin, ce n'était pas vraiment un jean, c'était plutôt comme un, une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging. un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het waren niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.” Dan denk ik: “God!
Cela faisait moins de
deux heures qu'elle était en ligne lorsque j'ai reçu un e-mail enthousiaste de la part du gars qui m'avait envoyé cette carte postale. Il disait: « Frank, il faut que je partage avec toi cette histoire qui vient de m'arriver. » Il a ajouté: « Mes genoux en tremblent encore. Cela fait troi
s ans que ma petite amie et moi avons établi ce rituel du dimanche matin qui consiste à aller visiter le blog de PostSecret ensemble et à lire les secrets à voix haute. Je lui
en lis quelques-uns ...[+++]puis c'est à son tour. Cela nous a vraiment rapprochés au fil des ans. Alors quand j'ai découvert que vous aviez affiché ma demande en mariage surprise au bas de la liste, j'étais fou de joie. J'ai essayé de rester calme, de ne rien montrer. Et, comme chaque dimanche, nous avons commencé à nous lire les secrets à voix haute, chacun à notre tour. Mais cette fois j'avais l'impression qu'elle mettait des heures à lire chacune de ces cartes. » Mais elle y est finalement parvenue. Elle est arrivée au dernier secret, qui était ma demande en mariage.
Ze stond er nog
maar een paar uur op toen ik deze uitgelaten e-mail kreeg van de man die me deze kaart had gestuurd. Hij zei: Frank, ik moet dit verhaal met je delen dat ik vandaag beleef. Hij zei: Mijn knieën beven nog steeds. Al drie jaar hebben mijn vriendin en ik een zondagochtendritueel waarbij we samen de PostSecret-blog bezoeken en de geheimen luidop voorlezen. Ik lees er een paar voor haar, zij leest er een paar voor mij. Het heeft ons echt dichter bij elkaar gebracht door de jaren heen. Toen ik ontdekte dat jij mijn verrassingsaanzoek aan mijn vriendin helemaal onderaan had gepost, was ik buiten mezelf. Ik probeerde kalm te zijn
...[+++], niets te verklappen. Net als elke zondag begonnen we elkaar de geheimen luidop voor te lezen. Maar deze keer leek het een eeuwigheid te duren voor ze er doorheen geraakte. Uiteindelijk kwam ze er. Ze kwam bij dat geheim onderaan, zijn aanzoek aan haar.U
n jour, nous étions à l'arrière, dévorant de la nourriture aussi vite que possible, autour d'une table, lors d'une très rare accalmie. Un nouveau gars de la c
uisine arriva — qui était son cousin — et s'assit avec tout le machisme et la bravade que son corps de 20 ans pouvait contenir. (Rires) Il lui demanda, [en espagnol] : « Est-ce qu'Ash a un petit ami ? » Et elle répondit, [en espagnol] : « Non
, elle a une petite amie. » Il dit, [en espagnol] : « U
...[+++]ne petite amie ? » Et elle posa sa fourchette et le regarda droit dans les yeux, et dit [en espagnol] : « Oui, une petite amie. C'est tout. » Son sourire suffisant se transforma en un sourire de respect maternel, il prit son assiette, s'en alla, et retourna travailler.
Op een dag zaten we achter, zo snel mogelijk te eten rond een kleine tafel, tijdens een zeldzame pauze. Een nieuwe jongen uit de keuken kwa
m naar ons toe. Toevallig haar neef. Hij ging zo stoer zitten als zijn 20-jarige lichaam toeliet. (Gelach) Hij zei tegen haar [in het Spaans]: Heeft Ash een vriend? En zij antwoordde [in het Spaans]: Nee, ze heeft een vriendin. Hij herhaalde [in het Spaans]: Ze heeft een vriendin?!? Ze legde haar vork neer, keek hem doordringend aan en zei [in het Spaans]: Ja, een vriendin. Dat is alles. Zijn zelfvoldane lach veranderde snel in een eerbiedige lach, hij pakte zijn bord, liep weg en ging weer aan het we
...[+++]rk.Alors que je pensais que tout était parfait, mon équipe — qui était essentiellement mes amies et mes voisines — pensait que tout allait si bien, nous n'avions aucune idée de la grande opposition qui se dirigeait vers nous.
Ik dacht dat alles in orde was. Mijn team -- dat toen bestond uit vriendinnen en buren -- dacht dat alles zo goed ging. We hadden geen idee dat er ons zo'n grote tegenstand te wachten stond.
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive
». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Plutôt facile. Et puis les choses ont changé, et fin 2009,
ils ont annoncé que nous allions avoir une nouvelle politique, et cette nouvelle politique exigeait des mots de passe d'au moins huit caractères, avec une majuscule, une minuscule, un chiffre, un symbole, vous ne pouviez pas utiliser le même caractère plus de trois fois, et ce ne pouvait pas être un mot du dictionnaire. Quand ils ont mis en place cette nouvelle politique, beaucoup de gen
s, mes collègues et amis, sont venus me voir et ont dit : « C'est vraimen
t inutilis ...[+++]able. Pourquoi nous font-ils ça, et pourquoi ne les en as-tu pas empêchés ? » Et j'ai dit : « Vous savez quoi ? On ne m'a rien demandé. » Mais ça a éveillé ma curiosité, et j'ai décidé d'aller parler aux personnes en charge des systèmes informatiques et de découvrir ce qui les a amenés à introduire cette nouvelle politique, et ils ont dit que l'université avait rejoint un consortium d'universités, et que l'une des exigences pour devenir membre était que nous devions avoir des mots de passe plus compliqués qui respectaient de nouvelles exigences, et ces exigences étaient que nos mots de passe devaient avoir beaucoup d'entropie. L'entropie est un terme compliqué, mais en fait ça mesure la sécurité des mots de passe.
Nogal simpel. Maar toen veranderden ze dat. Tegen het einde van 2009 verkondigden ze dat we een nieuw beleid kregen. Dit beleid eiste dat wachtwoorden minimaal 8 tekens moesten hebben, met een hoofdletter, kleine letter, een cijfer, een teken, je mocht niet 3 dezelfde tekens hebben en het mocht niet in het woordenboek staan. Toen ze dat nieuwe beleid toepasten, zeiden veel mensen, collega's en vrienden me: Poeh, dit is echt niet te doen. Waarom doen ze on
s dat aan en waarom houd je ze niet tegen? Ik zei: Weet je? Ze hebben mij niets gevraagd. Maar ik werd nieuwsgierig en ging praten met onze systeembeheerders en ontdekte waarom ze dit be
...[+++]leid hadden bedacht. Ze zeiden dat de universiteit was gaan samenwerken met andere universiteiten en dat een van de voorwaarden was dat we veiligere wachtwoorden kregen die voldeden aan nieuwe voorwaarden. Die vereisten dat onze wachtwoorden niet voorspelbaar mochten zijn. Onvoorspelbaarheid is een ingewikkelde term. Ze geeft de sterkte van het wachtwoord weer, datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
c’était les amis qui nous soutiennent ->
Date index: 2024-03-30