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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «commencer à raconter une histoire qui peut mener » (Français → Néerlandais) :
Où commencer à raconter une histoire qui peut mener n'importe où dans le monde, qui peut impacter presque n'importe qui, quelle que soit la langue, et cela parfois sans en connaître les conséquences ?
Hoe moet je beginnen met een verhaal dat kan leiden naar elke uithoek van de wereld dat bijna elke persoon in elke taal kan beïnvloeden, soms op manieren waar ze nog geen weet van hebben.
On ne raconte pas juste des histoires, quand on commence à raconter une histoire.
We vertellen niet alleen verhalen wanneer we ons opmaken om verhalen te vertellen.
Quand les enfants commencent à mentir, ils commencent à raconter des histoires.
Als het kind begint te liegen, begint het verhalen vertellen.
Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fai
t pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéress
ant, et ce ...[+++]la arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelac
h) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige
situatie ...[+++]waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Mai
ntenant, quand j'ai commencé à parler à des socié
tés et je leur ai dit que nous voulions raconter cette histoire, et ils ont dit: «Non, nous voulons que
vous racontiez une histoire. Nous voulons que vous racontiez une histoire, mais nous voulons juste raconter notre histoire. Vous voyez, quand j'étais enfant et que mon père m’at
trapait en train de ...[+++]mentir - il me jetait le regard qu'il m'a souvent jeté -- il disait, Mon fils, il y a trois côtés à chaque histoire.
Toen ik begon te praten met bedrijven en hen vertelde dat we dit verhaal wilden vertellen, zeiden ze: Nee, we willen dat jij een verhaal vertelt. Wij willen dat jij een verhaal vertelt, maar wij willen gewoon ons verhaal vertellen. Toen ik een kind was en mijn vader betrapte op een leugen - daar geeft hij mij de blik die hij me vaak gaf - hij zei: Zoon, er zijn drie kanten aan elk verhaal.
Et quand nous avons commencé à voir les images incroyables et les histoires qui en sortaient de partout dans le monde - c'est évidemment une partie du train d'atterrissage - nous avons vraiment commencé à comprendre qu'il y avait cette symétrie étonnante entre l'événement lui-même, et la façon dont les gens racontaient les histoires de l'événement, et comment nous, nous devions raconter cette histoire.
Toen we de ongelofelijke beelden zagen en de verhalen van over de hele wereld -- dit is een stuk landingsgestel -- begonnen we echt te begrijpen dat er een geweldige symmetrie was tussen de gebeurtenis, de verhalen van de mensen daarover, en hoe we zelf dat verhaal moesten vertellen.
Le débat public sur l'architecture est la plupart du temps centré sur le résultat final, sur l'objet de l'architecture. La tour la plus récent
e de Londres, c'est quoi ? Un cornichon, une saucisse, ou un sex-toy ? Alors depuis peu,
on se demande si on peut inventer une forme qui raconte l'histoire qui se cache derrière les projets. On pourrait allier les images, les dessi
ns et les mots pour ...[+++]raconter des histoires sur l'architecture.
Het openbare debat over architectuur blijft vaak hangen in bespiegelingen over het eindresultaat, het architectonische object. Is de nieuwste toren in Londen een augurkje of een worstje of een seksspeeltje? Daarom vroegen we ons onlangs af of we een opzet konden bedenken om het verhaal achter de projecten te vertellen. Misschien door beelden, tekeningen en woorden te combineren om daadwerkelijk verhalen over architectuur te vertellen.
Le poète palestinien Mourid Barghouti écrit que si l'on veut déposséder un peuple, la façon la plus simple est de raconter leur histoire, en commençant par le deuxièmement . Commencez l'histoire par les flèches des Américains natifs, et non par l'arrivée des Anglais, et vous obtiendrez une histoire complètement différente.
De Palestijnse dichter Mourid Barghouti schrijft dat, als je bezit wil nemen van een volk, de meest eenvoudige manier is om hun verhaal te vertellen, en te beginnen met 'ten tweede'. Begin het verhaal over de Indianen met speren, en niet met de aankomst van de Britten, en je hebt een totaal ander verhaal.
C'est effrayant. Vous savez, je continue de parl
er de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la pr
écision, où l'on ne peut pas simplement raconter une
histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces conteurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous donnent des détails dont tout le monde se fiche, du g
...[+++]enre : Oh, j'ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portait ce jean très moche. Enfin, ce n'était pas vraiment un jean, c'était plutôt comme un, une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging. un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand
die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het war
en niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.”
...[+++]Dan denk ik: “God!« À l'opposé de la dépression n'est pas le bonheur mais la vitalité, et c'était cette vitalité qui semblait me fuire à ce moment là. » Pendant cette conférence éloquente et boulversante à parts égals, Andrew Soloman vous emm
ène aux recoins les plus sobres de son esprit lors de ces années de lutte contre la dépression. Ceci lui a conduit vers un voyage enrichissant à trave
rs le monde afin de mener des entretiens avec d'autres dépressifs — avant de s'apercevoir que, à sa grande surprise, plus il parlait, plus les
gens voul ...[+++]aient lui raconter leurs histoires. (Tourné à TEDxMet)
Het tegendeel van depressie is niet geluk, maar vitaliteit, en het was vitaliteit die me op dat moment leek te ontglippen. In een talk die zowel welsprekend als ontredderend is, neemt schrijver Andrew Solomon je mee naar de donkerste hoeken van zijn geest tijdens de jaren dat hij tegen depressie vocht. Dat leidde hem naar een verhelderende reis over de hele wereld voor interviews met anderen met depressie — om tot zijn verbazing te ontdekken dat, hoe meer hij erover sprak, hoe meer mensen hun eigen verhalen kwijt wilden. (Gefilmd op TEDxMet.)
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Date index: 2023-02-28