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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «commencer par dire combien je suis reconnaissant » (Français → Néerlandais) :
Anote Tong : Laissez-moi commencer par dire combien je suis reconnaissant pour cette opportunité de partager mon histoire avec des personnes qui s'y intéressent.
Anote Tong: Laat ik beginnen met te zeggen hoe dankbaar ik ben voor de kans om mijn verhaal te delen met mensen die erom geven.
J'aimerais lui dire combien je suis désolé. Je lui dirais qu'en tant que docteur j'ai effectué les meilleurs soins que je pouvais, mais qu'en tant qu'être humain, je n'ai pas été à la hauteur.
Ik zou haar zo graag mijn spijt betuigen. Ik zou haar zeggen: 'Als dokter heb ik u de best mogelijke medische zorg gegeven, maar als mens heb ik u in de steek gelaten.
A
lors, je vais commencer par ceci : il y a deux ans, l'organisatrice d'un évén
ement m'a téléphoné parce que je devais donner une conférence. Elle m'a appelé et m'a dit : J'ai vraime
nt du mal à trouver comment vous décrire sur notre petit p
rospectus. Et je me suis dit : Et bien, où est le problème ? Et elle m'a dit : Et bien, je
...[+++]vous ai déjà vu parler, et je vais vous désigner comme une chercheuse, je crois, mais j'ai peur que si je vous désigne comme chercheuse, personne ne vienne, parce que tout le monde pensera que vous êtes ennuyeuse et hors sujet. (Rires) Ok. Et elle a dit : Mais ce que j'ai aimé dans votre conférence, c'est que vous êtes une conteuse d'histoires. Alors je pense que ce que je vais faire, c'est juste dire que vous êtes une conteuse. Et bien sûr, mon côté universitaire, qui manque d'assurance, a dit : Vous allez dire que je suis quoi ?! Et elle a dit : Je vais dire que vous êtes une conteuse. Et moi : Et pourquoi pas fée Carabosse ? (Rires) J'ai fait : Laissez-moi réfléchir une seconde. J'ai essayé de rassembler tout mon courage.
Ik
begin hiermee: een paar jaar geleden belde een organisator van een evenement me omdat ik een lezing zou geven. Ze belde en zei: Ik weet niet goed hoe ik over jou moet schrijven in de kleine flyer. Ik dacht: hoezo, je weet het niet? Ze antwoordde: Nou, ik zag je spreken en ik ga je een onderzoeker noemen, denk ik, maar ik ben bang dat er dan niemand komt. Ze zullen denken dat je saai en onbelangrijk bent. (Gelach) Oké. Ze zei: Wat ik zo leuk vond aan jouw lezing is dat je een verhalenverteller bent. Dus ik denk dat ik je gewoon een verhalenverteller noem. En de academische, onzekere kant van mij zegt: Je gaat me wàt noemen? Ik ga je ee
...[+++]n verhalenverteller noemen. Ik dacht: Waarom niet de toverfee? (Gelach) Ik zeg: Laat me hier even over nadenken. Ik probeerde diep van binnen de moed te vinden.J
e parle de moi. C'est ce que
je suis : une blogueuse. J'ai toujours décidé que j'allais être une experte en une seule chose, et je suis experte sur cette personne, donc j'écris sur elle. Et -- pour résumer l'histoire
de mon blog : il a commencé en 2001. J'avais 23 ans. Mon travail ne me plaisait pas, parce que j'étais designer, mais ça ne me stimulait pas. J'avais fait des études de lettres à la fac. Elles ne me servaient pas, mais l'écriture me manqu
...[+++]ait. Donc, j'ai commencé à tenir un blog et à inventer des choses comme ces petites histoires. Ceci est une illustration sur mon expérience en colo quand j'avais 11 ans, et comment je suis allée à une colo YMCA -- chrétienne -- et en fait à la fin, j'avais fait en sorte que mes amis me détestent tellement que je me suis cachée dans une couchette. Ils ne pouvaient pas me trouver. Ils ont commencé à faire des recherches, et j'ai entendu des gens dire qu'ils auraient aimé que je me sois suicidée, que j'aie sauté de Bible Peak. Donc -- vous pouvez rire, ça va. C'est ce qui m'a faite -- c'est moi. C'est ce qui m'est arrivé. Quand j'ai commencé mon blog j'avais vraiment cet unique objectif, je voulais -- j'avais compris, je disais que je ne serais jamais célèbre mondialement mais que je pourrais être célèbre sur Internet. Je me suis fixé un objectif. Je me suis dit que j'allais gagner un prix, parce que je n'avais jamais gagné de prix.
Ik praat over mezelf. Dat is wie ik ben. Ik ben een blogger. Ik besloot ooit dat ik een deskundig
e zou worden in één ding. Ik ben expert in deze persoon en schrijf dus over mezelf. En -- in het kort over mijn blog: ik begon in 2001 op mijn 23e. Ik was niet blij met mijn baan, ik ben ontwerpster werd niet echt gestimuleerd. Ik studeerde Engels en dacht dat i
k er niets mee kon, maar ik miste het schrijven. Dus begon ik te bloggen door korte verhaaltjes te schrijven. Dit was een illustratie van mijn ervaringen op kamp toen ik 11 jaar was
...[+++]. Ik ging op kamp met de YMCA -- een christelijk kamp -- Uiteindelijk had ik het zo bont gemaakt dat mijn vrienden mij haatten en ik mij in een bed verstopte. Ze vonden me niet en startten een zoekactie. Ik hoorde hen zeggen dat ze hoopten dat ik zelfmoord had gepleegd, of van de Bible Peak was afgesprongen. Lachen mag, dat is oké. Dit ben ik. Dit overkwam mij. Toen ik startte met mijn blog, had ik echt maar één doel. Ik zei: “Ik word niet beroemd over de hele wereld, maar ik kan beroemd worden op het internet.” Ik stelde mezelf tot doel een award te winnen omdat ik er nog nooit in mijn hele leven één won.Elles commencent par : Un ami m'a dit, et elles se terminent par : Est-ce vrai? Et la plupart du tem
ps je suis ravie de dire que je peux y répondre. Mais des fois je dois dire : Je
suis vraiment désolée
mais je ne sais pas parce que je suis pas ce genre de médecin. C'est-à-dire, je ne
suis pas clinicien, je
suis spécialiste en biologie comparative e
...[+++]t j'étudie l'anatomie.
Ze beginnen met de woorden: Ik hoorde van een vriend ... en eindigen met de woorden: ... is dat waar? En meestal kan ik ze beantwoorden, maar soms moet ik zeggen: Het spijt me echt, maar ik weet het niet; ik ben geen dokter maar een doctor. Dat wil zeggen: ik ben geen arts, maar een vergelijkend biologe die anatomie bestudeert.
Au Burundi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle
que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je su
is allée t ...[+++]rouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a dit : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevange
nis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was gee
n baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van
het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging n
...[+++]aar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...Parce qu'on en a besoin, on est aujourd'hui au milieu d'un changement de conscience, et vous serez surpris si vous -- je suis toujours surpris quand j'entends combien de fois ces mots de « reconnaissance » et de « gratitude » apparaissent.
We zitten namelijk momenteel middenin een periode van veranderend bewustzijn. Ik ben altijd verrast als ik hoor hoe vaak Ik ben altijd verrast als ik hoor hoe vaak de woorden dankbaarheid en waardering opduiken.
♫ A une conférence à Monterey près du grand, grand, aquari
um, ♫ ♫ je t'ai vue pour la première fois et ça m'a rendu si timide. ♫ ♫ Vous voyez, j'étais un peu paranoïaque, car j'étais sûrement stone. ♫ ♫ Je ne l'avais pas été depuis longtemps, je ne le referai plus. ♫ ♫ Mais c'est une autre histoire. ♫ ♫ Je t'ai toujours aimée et j'ai toujours été une grande fan, ♫ ♫ j'ai même loué le one-woman show Pat . ♫ ♫ J'ai eu assez de courage pour t'approcher, ♫ ♫ mais je ne savais pas qu'un an plus tard on ferait ce show. ♫ ♫ Je chante. Julia Sweeney: Je raconte des histoires. Ensemble: Le show de Jill et Julia. ♫ ♫ Sobule: Des fois ça fonctionne
...[+++]. Sweeney: Des fois non. ♫ ♫ Ensemble: Le show de Jill et Julia. ♫ ♫ Sweeney: A une conférence à Monterey près du grand, grand, aquarium, ♫ ♫ je t'ai vue, je n'étais pas si timide. ♫ Je suis allée direct te voir pour te dire combien j'étais fan. Depuis le jour où j'écrivais ce pilote pour Fox, et Wendy je voulais que tu fasses la chanson principale. Mais le pilote n'est pas allé plus loin et j'étais si triste, mais je suis restée une grande fan. Mais, quand j'ai eu cette énorme, horrible rupture avec Carl je ne pouvais plus me lever du canapé, j'ai écouté ta chanson, ♫ Maintenant que je ne t'ai plus ♫ encore, et encore.
♫ Tijdens de conferentie in Monterey bij het grote, grote kwallenaquarium, ♫ ♫ zag ik je voor het eerst en werd ik zo verlegen. ♫ ♫ Je ziet, ik had een beetje argwaan. Misschien was ik wel high. ♫ ♫ En ik had dat in jaren niet meer gedaan en ik zal het
niet meer doen. ♫ ♫ Maar dat is een ander verhaal. ♫ ♫ Ik heb altijd van je gehouden en ik ben een grote fan ♫ ♫ van one-womanshows, ik heb zelfs Pat gehuurd. ♫ ♫ Ik vond genoeg moe
d om naar je toe te komen, ♫ ♫ maar ik wist niet
dat we 1 jaar later ...[+++]deze show zouden doen. ♫ ♫ Ik zing. Julia Sweeney: ik vertel verhalen. Samen: De Jill en Julia Show. ♫ ♫ Sobule: Soms werkt het. Sweeney: Soms niet. ♫ ♫ Samen: De Jill en Julia Show ♫ ♫ Sweeny: Tijdens de conferentie in Monterey naast het grote, grote kwallenaquarium, ♫ ♫ zag ik je voor het eerst en ik was niet zo verlegen. ♫ Ik kwam recht naar je toe en vertelde je wat een grote fan ik was, al sinds ik de piloot voor Fox aan het schrijven was, en Wendy en ik wilden dat je de melodie zou zingen. Toen ging de piloot niet door en was ik zo droevig, maar ik bleef een fan van jou. Toen moest ik die grote, vreselijke breuk met Carl verwerken. Ik kon niet uit de zetel komen, en ik luisterde naar jouw liedje, ♫ Now That I Don't Have You ♫, altijd opnieuw en opnieuw en opnieuw.(Rir
es) Vraiment, c'est comme un tas de gens assis qui passe un test d
'admission. Je veux dire, le moment le plus dramatique c'
est quand quelqu'un commence à se masser les temp
es. Et je suis journaliste, j'ai besoin d'écrire sur quelque chose. Je sais qu'il y a ce truc incroyable qui se passe dans ces esprits, mais je n'y ai pas accès. Et je me suis
...[+++] rendu compte que si j'allais raconter cette histoire, il fallait que je me mette un peu à leur place. Et donc j'ai commencé à essayer de passer de 15 à 20 minutes tous les matins avant de m'assoir pour lire mon New York Times à essayer de me souvenir de quelque chose.
(Gelach) Werkelijk, het is alsof een stel mensen een examen zit te maken. Het meest dramatische dat er ooit gebeurt, is dat iemand over zijn slapen begint te wrijven. Ik ben journalist, ik heb iets nodig om over te schrijven. Ik weet dat er zich ongelofelijke dingen afspelen in hun hoofd maar ik kan daar niet bij. Toen wist ik dat, als ik dit verhaal wilde vertellen, ik in hun schoenen moest gaan staan. Toen ging ik proberen om 15 tot 20 minuten lang, iedere morgen voordat ik de krant ging lezen, gewoon te proberen om iets te onthouden.
Et le gars m'a dit : Ce n'est pas possible. Cette grand-mère ne voudra même pas - vous savez, elle ne te laissera jamais rencontrer cette fille qu'elle élève. J'ai pris une traductr
ice avec moi, et je suis allé dans ce village trouver la grand-mère, je me suis assis avec elle. Et à mon grand étonnement, elle a accepté de me laisser photographier sa petite-fille. Et je payais de ma poche , alors j'ai demandé à la traductrice si c'était d'accord pour que je reste pour la semaine. J'avais un sac de couchage. La famille avait une petite remise à côté de la ma
...[+++]ison, alors j'ai dit: Pourrais-je dormir dans mon sac de couchage le soir? Et j'ai dit à la petite fille, dont le nom était Hyun Sook Lee, que si jamais je faisais quelque chose qui la gênait - elle ne parlait pas un mot d'anglais, même si elle avait l'air très américaine - elle pouvait simplement lever la main et dire: Stop. Et j'arrêterais de prendre des photos. Et puis ma traductrice est partie. J'étais donc là, je ne parlais pas un mot de coréen, et c'était la première nuit que je voyais Hyun Sook. Sa mère était encore en vie. Sa mère ne l'élevait pas, sa grand-mère l'élevait. Et ce qui m'a frappé immédiatement c'était combien ces deux personnes s'aimaient.
De man verzekerde me: Dat gaat je nooit lukken. De oma zal nooit toelaten da
t je dit meisje ook maar ziet. Ik nam een tolk m
ee en ging naar het dorp, vond de grootmoeder, ging bij haar zitten. Tot mijn verbijstering kreeg ik toestemming van haar om haar kleindochter te fotograferen. Ik betaalde dit zelf, dus ik vroeg aan de tolk of ik een week ter plekke mocht logeren. Ik had een slaapzak. De familie had een klein
schuurtje naast het huis, dus ik vroeg: Kan ...[+++]ik daar 's nachts in mijn slaapzak slapen? Ik vertelde het meisje, dat Hyun-Soek Lie heette, dat als ik haar ooit in verlegenheid bracht -- ze sprak geen woord Engels, hoewel ze er Amerikaans uitzag -- ze haar hand kon opsteken en zeggen: Stop . Dan zou ik stoppen met het nemen van foto's. Toen vertrok mijn tolk. Daar zat ik dan, ik sprak geen woord Koreaans. Dit is op de avond dat ik Hyun-Soek ontmoette. Haar moeder leefde nog. Haar moeder voedde haar niet op, dat deed haar oma. Wat me onmiddellijk opviel, was hoezeer deze twee mensen van elkaar hielden. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
commencer par dire combien je suis reconnaissant ->
Date index: 2022-09-09