Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Opmerking: sommige video’s zijn vertaald door freelancers die niet altijd professionele vertalers zijn; vertaalfouten zijn bijgevolg niet uit te sluiten. Deze teksten kunnen echter van pas komen, bijvoorbeeld om spreektalige uitdrukkingen te vinden.
U kunt deze boeiende video's ook direct bekijken met de ondertiteling in een taal naar keuze!
Vertaling van "commence à débattre de qui mérite quoi et pourquoi " (Frans → Nederlands) :
La vraie question, c'est quand on commence à débattre de qui mérite quoi et pourquoi.
Het wordt pas echt lastig wanneer het gaat over de vragen wie verdient wat en waarom? .
Connais-tu Britney Spear
s ? » « Quoi ? Non. Pourquoi ? » « Parce que j'ai vraiment envie d'enseigner à Bri
tney Spears comment mémoriser l'ordre d'un paquet de cartes à jouer mélangées sur la télévision nationale Américaine. Ça prouvera au mond
e que n'importe qui peut le faire. » (Rires) J'
ai répondu, « Je ne suis pas Britney Spears, ...[+++] mais tu peux peut-être me l'apprendre à moi. Je veux dire, il faut bien commencer quelque part, non ? » Et ce fut le début d'un voyage très étrange pour moi.
Ken jij toevallig Britney Spears? Ik: Wat? Nee. Waarom? Omdat ik Britney Spears wil leren hoe ze een geschud spel kaarten kan onthouden, op televisie, voor de hele Verenigde Staten. Daarmee is wel bewezen dat echt ieder mens dit kan. (Gelach) Ik zei: Tja, ik ben Britney Spears niet, maar misschien zou je het aan mij kunnen leren. Ik bedoel, je moet toch ergens beginnen? En dat was het begin van een bijzonder vreemde reis voor mij.
Et ce problème est, Pourquoi est-ce si facile de savoir ce que pensent les autres ? Alors pour commencer avec une illustration, vous n'avez besoin de presque aucune information, une photo d'un inconnu, pour deviner à quoi pense cette femme, ou à quoi pense cet homme.
En dat probleem is: Waarom is het zo makkelijk om andere geesten te kennen? Om te beginnen met een illustratie, je hebt bijna geen informatie nodig, een momentopname van een vreemde, om te bedenken wat deze vrouw denkt, of wat deze man.
Cette nouvelle économie culturelle s'appelle la consommation collaborative. Des personnes comme Sebastian en deviennent des micro-entrepreneurs. Ils peuvent donc gagner de l'argent et en mettre de côté par le biais de leurs actifs existan
ts. Le secret de la réussite du marché de la consommation collaborative tel que Airbnb ne réside pas dans l'inventaire ou dans l'argent, mais bien dans la capacité de la technologie à établir des liens de confiance entre des in
connus. Sebastian a commencé à réellement s'intéresser à ce projet durant l
...[+++]es émeutes qui ont eu lieu à Londres l'été dernier. Il se réveilla vers 9h, consulta sa boîte e-mail et vit que plusieurs personnes lui avaient laissé des messages pour vérifier s'il allait bien. Il s'agissait d'anciens invités du monde entier qui s'inquiétaient pour lui car les émeutes s'étaient produites juste en bas de la rue et voulaient savoir s'il avait besoin de quoi que ce soit. Sebastian m'a raconté : « Treize anciens invités m'ont contacté avant même que ma propre mère le fasse ». (Rires) Cette petite anecdote décrit précisément pourquoi je suis si passionnée par le concept de la consommation collaborative et pourquoi j'ai décidé, après avoir terminé l'écriture de mon livre, d'en faire un phénomène global.
Deze
economie en cultuur heet collaboratieve consumptie. Het maakt van mensen als Sebastian micro-ondernemers. Zij kunnen zo geld verdienen én besparen door middel van hun bezittingen. Maar de echte magie en geheime bron achter collaboratieve consumptie-markten als Airbnb is niet de inventaris of het geld. Het is het benutten van technologie om vertrouwen te bouwen tussen vreemden. Die kant van Airbnb trof Sebastian verled
en zomer tijdens de Londense rellen. Hij werd rond 9 uur wakker en checkte zijn mail. Hij zag een stel berichten w
...[+++]aarin hem gevraagd werd of alles goed was met hem. Voormalige gasten uit de hele wereld hadden gezien dat de rellen net verderop plaatsvonden, en wilden weten of hij iets nodig had. Sebastian vertelde me: Dertien voormalige gasten contacteerden me voordat mijn eigen moeder belde. (Gelach) Die kleine anekdote raakt aan het hart van waarom ik zo warm loop voor collaboratieve consumptie en waarom ik na voltooiing van mijn boek besloot te trachten hier een wereldwijde beweging van te maken.Je regarde l'image: une image vaut un millier de mots. Vous regardez l'image, vous jetez un œil, et c'est tout. Vous revenez sur moi. Vous vous focalisez sur
moi et sur ce pour quoi je suis tellement super, et pour
quoi vous voulez investir en moi. Et pour
quoi tout ce projet fait sens. Ceci dit, nous n'avons qu'un très court instant. Donc voyons ce que vous devez inclure dans votre présen
tation. Alors, pour commencer, pas une de ces longues diapos de titre avec tout un blab
...[+++]la, et cette présentation est pour untel, à telle date. Je connais la date, je sais qui je suis, je sais que vous faites une présentation. Je n'ai pas besoin de tout ça. Montrez-moi simplement votre logo. Je regarde le logo et il s'imprime dans mon cerveau. Ensuite je reviens sur vous, je suis focalisé sur vous, OK? Vous faites ça, vous me donnez une rapide intro de 15 ou 30 secondes, vous captez mon attention.
Ik z
ie het beeld -- dat zegt meer dan duizend woorden. Je kijkt naar het beeld en krijgt het idee. Dan kom je terug naar mij, en waarom ik zo'n toffe kerel ben en waarom je in mij wilt investeren, en waarom het een zinnig verhaal is. Dat gezegd, hebben we nog weinig tijd over. Dus snel de dingen die in je presentatie moeten zitten. Om te beginnen... Geen dia's met lange titels en blah, blah, ik presenteer aan die-en-die op die-en-die datum. Ik weet de datum. Ik weet wie ik ben, ik weet dat jij presenteert. Niet nodig. Geef me alleen je bedrijfslogo. Ik kijk naar het logo, absorbeer het. Dan kom ik terug naar jou, ik richt me op jou, oké?
...[+++] Geef me dan je snelle 15-seconden of 30-seconden intro, grijp mijn aandacht.Je veux savoir ce qui est mal. Je veux savoir ce que je sais. Ce que Tony voit à ce moment-là, c'est le projet de la philoso
phie, le projet qui commence par l'émerveillement, ce que Kant appelle l'admiration et la crainte devant le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale en moi. Qu'est-ce que des créatures comme nous peuvent savoir de ces choses-là? C'est le projet qui nous ramène toujours à la condition de l'existence, ce qu'Heidegger appelle ce qui est toujours là . C'est le projet d
e questionner ce en quoi nous croyons et pou ...[+++]rquoi nous y croyons, ce que Socrate appelle la vie examinée . Socrate, un homme assez sage pour savoir qu'il sait qu'il ne sait rien.
Ik wil weten wat fout zijn is. Ik wil weten wat ik we
et. Wat Tony op dat moment ziet, is het project van de filosofie, het project dat begint met verwondering -- wat Kant noemde verwondering en ontzag voor de sterrenhemel boven ons en de morele wet vanbinnen. Wat kunnen schepselen als wij daarvan weten? Het is het project dat ons steeds terugbrengt naar de conditie van het bestaan -- wat Heidegger noemde wat altijd al daar was . Het is het project van het in vraag stellen wat en waarom we geloven -- wat Socrates het onderzochte leven noemde. Socrates, een man die wijs genoeg was om te
weten dat hij niets ...[+++]weet.C'est gentil mais peut-être un peu présomptueux de dire que tout l'univers est à nous et peut-être que quelqu'un aura quelque chose à y redire plus tard (on en reparlera) Mais bon travail, l'humanité ! Sauf que... ce n'est pas si simple. Car si le traité de l'Antarctique parle un peu du « Patrimoine commun de l'humanité » il n'en parle pas trop
non plus. Voici pourquoi : Les explorateurs ont commencé à arriver en Antarctique pendant le 17ème siècle, ont planté des drapeaux et revendiqué des terres. Mais ces revendications sont un peu
...[+++]creuses car sur l'arbre technologique de la civilisation, l'Antarctique n'était pas encore colonisable. Cependant, comme au Monopoly la stratégie optimale est réclame tout ce sur quoi tu poses le pied .
Wat leuk is, maar ook een beetje naief om te zeggen dat het hele universum van ons is, en misschien zal i
emand daar ooit wel iets op zeggen, verhaaltje voor een andere keer, maar toch. Goed gedaan, mensheid. Alleen, is het nooit zo simpel. Omdat het papierwerk over Antarctica ongeveer zegt; het gemeenschappelijk erfgoed van de mensheid , maar dat klopt niet helemaal. Dit is waarom: Ontdekk
ers begonnen aan te komen in Antarctica rond de 1800s, waren vlaggen aan het planten, en aanspraken aan het maken, al waren deze aanspraken een bee
...[+++]tje waardeloos. want op de lijst van kolonisatie was Antarctica niet koloniseerbaar. Maar toch, zoals Monopoly, is de optimale kolonie-strategie om alles op te eisen waar je landt.A
lors, je vais commencer par ceci : il y a deux ans, l'organisatrice d'un événement m'a téléphoné parce que je devais donner une conférence. Elle m'a appelé et m'a dit : J'ai vraiment du mal à t
rouver comment vous décrire sur notre petit prospectus. Et je me suis dit : Et bien, où est le problème ? Et elle m'a dit : Et bien, je vous ai déjà vu parler, et je vais vous désigner comme une chercheuse, je crois, mais j'ai peur que si je vous désigne comme chercheuse, personne ne vienne, parce que tout le monde pensera
...[+++]que vous êtes ennuyeuse et hors sujet. (Rires) Ok. Et elle a dit : Mais ce que j'ai aimé dans votre conférence, c'est que vous êtes une conteuse d'histoires. Alors je pense que ce que je vais faire, c'est juste dire que vous êtes une conteuse. Et bien sûr, mon côté universitaire, qui manque d'assurance, a dit : Vous allez dire que je suis quoi ?! Et elle a dit : Je vais dire que vous êtes une conteuse. Et moi : Et pourquoi pas fée Carabosse ? (Rires) J'ai fait : Laissez-moi réfléchir une seconde. J'ai essayé de rassembler tout mon courage.
Ik begin hiermee: een paar jaar geleden belde een organisator van een evenement me omdat ik een lezing zou geven.
Ze belde en zei: Ik weet niet goed hoe ik over jou moet schrijven in de kleine flyer. Ik dacht: hoezo, je weet het niet? Ze antwoordde: Nou, ik zag je spreken en ik ga
je een onderzoeker noemen, denk ik, maar ik ben bang dat er dan niemand komt. Ze zullen denken dat je saai en onbelangrijk bent. (Gelach) Oké. Ze zei: Wat ik zo leuk vond aan jouw lezing is dat je een verhalenverteller bent. Dus ik denk dat ik je gewoon een
...[+++]verhalenverteller noem. En de academische, onzekere kant van mij zegt: Je gaat me wàt noemen? Ik ga je een verhalenverteller noemen. Ik dacht: Waarom niet de toverfee? (Gelach) Ik zeg: Laat me hier even over nadenken. Ik probeerde diep van binnen de moed te vinden.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé
en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive
». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Ri
...[+++]chards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belet
te generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
commence à débattre de qui mérite quoi et pourquoi ->
Date index: 2020-12-19