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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «cela dont nous » (Français → Néerlandais) :
Lorsque nous y sommes réellement allés et avons vu réaliser cet acte - et j'expliquerai cela dans une seconde - il était devenu évident qu'il avait une dimension humaine à cela dont ils ne se rendaient pas vraiment compte.
Toen we daadwerkelijk gingen kijken bij zo'n procedure -- dat zal ik zometeen uitleggen -- werd overduidelijk dat er een menselijke dimensie was die niet onder ogen werd gezien.
C'est donc de cela dont nous allons discuter.
Dat is waarover we het hebben.
N'est-il pas possible qu'un aveugle puisse voir par sa langue parce que le cortex visuel est toujours là prêt à travailler, et que c'est de cela dont nous avons besoin ?
Zou het niet kunnen dat een blinde door zijn tong kan zien omdat de visuele cortex er nog is en kan verwerken, en dat dat een noodzaak is?
La toile ne sait pas que c'est en fait une ville, et que c'est spécifiquement la ville où je vis, mais c'est de cela dont nous allons parler.
Het web weet niet dat het eigenlijk een stad is en dat het de specifieke stad is waar ik woon, maar daar gaan we het over hebben.
Cela va changer la façon dont nous procédons en astronomie, la façon dont nous enseignons l'astronomie, et je pense, de manière plus importante, cela va changer la façon dont nous nous percevons dans l'univers.
Het gaat de manier veranderen waarop we aan astronomie doen, waarop we astronomie onderwijzen en, het belangrijkste denk ik, het gaat ons zelfbeeld in het heelal veranderen.
Considérons un instant cette citation de Leduc, il y a cent ans, à propos d'un type de biologie synthétique: La synthèse de la vie, si jamais elle devait se produire, ne sera pas la découverte
sensationnelle que nous avons pour habitude d'associer avec l'idée. C'est sa première déclaration. Donc, si nous créons réellement la vie dan
s les laboratoires, cela n'aura probablement aucun un impact sur notre vie. «Si nous acceptons la théorie de l'évolution, alors les premières lueurs de la synthèse de la vie doivent consister dans la produc
...[+++]tion de formes intermédiaires entre le monde non-organique et l'organique ou entre le monde inerte et le vivant, des formes qui possèdent seulement quelques-uns des attributs rudimentaires de la vie » - et donc, celles dont je viens de parler - « auxquelles d'autres attributs seront ajoutés lentement au cours du développement par les actions évolutives de l'environnement. Nous commençons donc simplement, nous créons quelques structures qui peuvent avoir certaines de ces caractéristiques de la vie, et puis nous essayons de les développer pour qu’elles se rapprochent d'un aspect de vie. Voilà comment nous pouvons commencer à faire une protocellule. Nous utilisons cette idée qu'on appelle l'auto-assemblage. Cela signifie que je peux mélanger des composants chimiques dans une éprouvette dans mon laboratoire, et ces composants chimiques vont commencer à s'auto-associer pour former des structures plus grandes. Disons, des dizaines de milliers, des centaines de milliers de molécules s'unissent pour former une grande structure qui n'existaient pas auparavant. Et dans cet exemple particulier, j'ai pris des molécules membranaires, les ai mélangées dans le bon environnement, et en quelques secondes ces structures plutôt complexes et belles se forment ici. Ces membranes sont également assez semblables, morphologiquement et fonctionnellement, aux membranes de votre corps, et nous pouvons les utiliser, comme on dit, pour former le corps de notre prot ...
D
enk een moment aan deze uitspraak van Leduc, een honderdtal jaren geleden, toen hij nadacht over synthetische biologie: De synthese van het leven, zou het ooit gebeuren, zal niet de sensationele ontdekking zijn die we meestal associëren met het idee. Dat is zijn eerste verklaring. Als we echt leven gaan maken in laboratoria, zal dat ons leven waarschijnlijk niet gaan beïnvloeden. Als we de evolutietheorie accepteren, dan moet het eerste begin van de synthese van het leven bestaan in de productie van tussenliggende vormen tussen de anorganische en de organische wereld of tussen de niet-levende en de levende wereld, vormen die over slechts enkele van de rudim
...[+++]entaire eigenschappen van het leven beschikken - die ik zojuist heb vernoemd - waaraan andere attributen langzaamaan zullen worden toegevoegd in de loop van de ontwikkeling door de evolutionaire acties van het milieu.” We beginnen simpel, we maken een aantal structuren die een aantal van deze kenmerken van het leven hebben en dan gaan we proberen dat te ontwikkelen om meer te gaan lijken op echt leven. Zo gaan we een protocel maken. We maken gebruik van het idee van zelfassemblage. Daarvoor meng ik wat stoffen in een reageerbuis in mijn lab en deze chemicaliën gaan zelfassociëren om grotere en grotere structuren te vormen. Tienduizenden, honderdduizenden moleculen komen samen om een grote structuur te vormen die tevoren nog niet bestond. In dit specifieke voorbeeld, nam ik wat membraanvormende moleculen, mengde die samen in de juiste omgeving en binnen een paar seconden vormen deze die complexe en mooie structuren hier. Deze membranen lijken morfologisch en functioneel op de membranen in je lichaam. We kunnen ze gebruiken om het lichaam van onze protocel te maken. We kunnen ook werken met olie-en-watersystemen. Olie en water mengen niet, maar door zelfassemblage kunnen we een mooie oliedruppel vormen en kunnen die als lichaam voor onze kunstmatige organismen of voor onze protocel gebruiken, zoals we later zullen ...Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autr
es planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à la vie sur Terre? Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humains dans sa riche diversité m
oléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un
...[+++] ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is: Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat het net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch fenomeen. De vraag i
...[+++]s dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen. Nous sommes connectés, dans notre imagination, pour penser le système de santé et l'innovation sanitaire comme un objet qui occupe une place. Toute notre discussion actuelle sur la réforme du système de santé, les T.I. autour de la santé, lorsque nous discutons avec les décideurs, revient à d
iscuter de la façon dont les docteurs vont utiliser les dossiers médicaux électroniques dans le réseau central ? Nous ne pensons actuellement pas à comment nous allons nous diriger du réseau central vers le foyer.
Et le problème avec cela ...[+++], c'est la manière dont nous concevons le système de santé. D'accord ? C'est un système très réactif et tournant autour du concept de crise. On effectue des examens de 15 min sur les patients. C'est basé sur la population. On collecte un paquet d'informations biologiques selon un cadre artificiel. Et nous les remettons sur pieds, encore et toujours, comme un Culbuto, et les renvoyons chez eux, en espérant que nous pourrons peut-être leur offrir la possibilité de consulter une brochure ou un site internet interactif, qu'ils feraient comme demandé et ne reviendraient pas dans le réseau central.
Wij zijn geconditioneerd om over gezondheidszorg en gezondheidszorginnovatie te denken als iets da
t daar gebeurt. Het hele zorghervormingsdebat gaat op dit
moment over gezondheids-IT. Het gesprek met beleidsmakers komt neer op: hoe gaan we artsen zo ver krijgen dat ze hun medische dossiers op een mainframe gaan bijhouden? We denken er niet over na hoe we het van de mainframe naar thuis kunnen overbrengen. Het probleem is de manier waarop we over gezondheidszorg denken. Dit is een zeer reactief, crisis-aangedreven systeem. Patiëntenonderzoeken handelen we af in 15-minuten. Op
...[+++]basis van de bevolking. We verzamelen een hoop biologische informatie in deze kunstmatige omgeving. We lappen ze op, net als Humpty-Dumpty telkens opnieuw, sturen ze naar huis en hopen dat ze, misschien met behulp van een brochure of een interactieve website, doen zoals gevraagd en niet terug in de mainframe geraken.Le langage du corps affecte la façon dont les autres nous voient, mais cela peut aussi changer la façon dont nous nous voyons nous-mêmes. La psychologue sociale Amy Cuddy montre comment les poses de pouvoir — se tenir dans des posture confiantes, même quand nous ne nous sentons pas confiants — peuvent changer les niveaux de testostérone et le cortisol dans le cerveau, et pourraient même avoir un impact sur nos chances de succès.
Lichaamstaal is van invloed op hoe anderen ons zien, maar het kan ook veranderen hoe we onszelf zien. Sociaal psycholoog Amy Cuddy toont hoe 'krachtposes', een houding van zelfvertrouwen, zelfs wanneer wij ons onzeker voelen de testosteron- en cortisolniveau's in de hersenen kan beïnvloeden, en misschien zelfs een impact hebben op onze kans op succes.
Une question de base lors d'un premier rendez-vous devrait simplement être : Quelle est ta folie ? Mais c'est si diffi
cile à savoir... 2. Nous ne comprenons autrui Il est difficile de faire avec la folie des autres. Ils donnent tellement le change –
de prime abord. Ce dont nous aurions idéalement besoin serait de leur faire passer une batterie de tests psychologiques et faire quatre ans de psychothérapie intensive, individuelle et de couple, avant de prendre une dé
cision. D'ici 2100, cela ...[+++] ne sonnera plus comme une blague – les gens se demanderont pourquoi cela a pris si longtemps à l'humanité pour en arriver là. 3. Nous ne sommes pas habitués à être heureux Nous pensons vouloir le bonheur ; mais ce que nous voulons vraiment, c'est ce à quoi nous sommes habitués – ce qui implique souvent bien peu de bonheur. En grandissant, la majorité d'entre nous a vu l'amour être mélangé à des choses plus sombres : être contrôlé, se sentir humilié, être abandonné ou abusé. En résumé, souffrir. Et maintenant, quoi qu'on puisse dire, c'est principalement ce que nous continuons de rechercher.
Een standaard vraag op één van de eerste dates zou simpelweg moeten zijn: 'op welke manier ben jij gek?' Maar het is zo moeilijk om te weten... 2. We begrijpen anderen niet Het is net zo moeilijk om de gekheid van anderen te preciseren als die van onszelf. Ze houden zo'n goed masker voor - aan het begin. Wat we eigenlijk nodig zouden hebben is om allebei een reeks psychologische vragenlijsten te beantwoorden en daarbij vier jaar intensieve psychotherapie (individueel en relatietherapie) voor het maken van een beslissing. In 2100 zal dit niet langer als een grap klinken, mensen zullen zich louter afvragen waarom het zolang duurde voor
dat de mensheid dit punt bereikte. ...[+++] 3. We zijn het niet gewend om gelukkig te zijn We denken dat we geluk willen, maar wat we écht willen is waar we gewend aan zijn - en meestal komt daar niet zo veel geluk bij kijken. Toen we opgroeiden was liefde voor de meesten van ons vermengd met andere, duisterdere dingen: beheerst worden of vernederd, verlaten of mishandeld zijn. Kortom, lijden. En nu is dat, wat we ook mogen zeggen, hetgeen waar we nog steeds het meeste naar opzoek zijn. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
cela dont nous ->
Date index: 2021-12-17