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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «avons-nous rencontré des concurrents » (Français → Néerlandais) :
Quand avons-nous rencontré des concurrents pour les combattre ?
Wanneer komen we concurrenten tegen om te knokken?
Qu'il s'agisse de nos vêtements, de nos voitures, qu'il s'agisse de nos vélos, de nos livres ou de notre musique, il nous est possible aujourd'hui de mettre ces possessions à disposition de gens que nous n'avons jamais rencontrés.
Of het nu om onze kleding, auto's, fietsen, boeken of muziek gaat, we zijn nu in staat om onze bezittingen beschikbaar te stellen aan mensen die we nog nooit hebben ontmoet.
Nous n’avons jamais rencontré un seul être humain dans le monde qui puisse fabriquer un produit, le vendre et s’occuper de l’argent aussi.
We kennen niemand in de wereld die kan produceren, verkopen en het geld beheren.
Nous les avons fait rencontrer la machine à mi-chemin.
En we laten de machine ze halverwege tegemoet komen.
Nous avons tous rencontré des personnes qui réalisaient des choses que les autres pensaient impossible.
We hebben allemaal mensen dingen zien doen waarvan de meeste mensen denken dat die onmogelijk zijn.
Au Bur
undi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je suis allée trouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a d
...[+++]it : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was geen baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advo
caat. Wat kunnen we doen? Advocate ...[+++]n begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...Nous devions ch
anger. Et donc nous avons commencé à penser de manière holistique et non paramilitairement. Nous avons donc pensé différemment. Et nous avons commencé à réaliser que ça ne pouvait pas et ne devait pas être nous contre eux. J'ai donc décidé d'aller à cette interse
ction où je pouvais rencontrer toutes les classes sociales, toutes les races, toutes les croyances, toutes les couleurs ; où je pouvais rencontrer entreprises et organisations religieuses, éditeurs,
médecins, tous ces gens ...[+++] qui constituaient les communautés sur lesquelles j'avais autorité.
Dat moest veranderen. We begonnen holistisch te denken, in plaats van paramilitair. We dachten dus anders en realiseerden ons dat het nooit zo kon zijn, nooit had moeten zijn: wij tegen hen. Ik besloot om op een punt te komen waar ik kennis kon maken met alle klassen, rassen, gezindtes en kleuren; waar ik bedrijven kon ontmoeten en gelovigen, hoger opgeleiden en medici. Ik zou alle mensen leren kennen die deel uitmaakten van de gemeenschappen waar ik over waakte.
Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Parad
is! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De t
...[+++]oute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoo
fd dan een leven in deze hel! In dit leven z ...[+++]ijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...N
ous avons grandi en jouant de la musique - Maman est du Cap-Breton, comme par hasard. Maman et la mère de Natalie se connaissaient. Nous avons grandi en jouant, et nous a
vions l'habitude de danser ensemble, oui, c'est vrai. (Rires) Nous avons grandi en jouant tout un tas de... Nous jouions de mémoire, et je pense que c'est important dans notre cas, parce que nous n'étions pas vraiment exposés à beaucoup de différents styles de musique. Nous avons appris à jouer des instruments, mais nous devions trouver ça en nous-mêmes, parce que nous ne regardions pas
...[+++]la télévision, nous n'écoutions pas beaucoup la radio. Nous allions à l'église, et à l'école, parfois, travaillions à la ferme, et jouions de la musique, nous avons donc pu, je pense, à un âge très critique, développer notre propre style, notre propre personnalité ; ma mère joue, mon père joue, et le style qui est venu de la vallée d'Ottawa, en Ontario, nous l'appelons le style franco-Canadien, mais il trouve son origine dans les camps de bûcherons. Il y a des années, des centaines d'hommes allaient passer l'hiver dans les camps dans le Nord de l'Ontario et au Québec, et ils étaient tous de cultures différentes, et les irlandais, les français, les écossais, les allemand, ils se rencontraient, et bien sûr, la nuit, ils jouaient aux cartes, et dansaient et jouaient du violon, et au fil de nombreuses années, le style de violon de la vallée d'Ottawa a évolué, et la danse de la vallée d'Ottawa a évolue, alors j'ai en quelque sorte commencé avec ce style, et je me suis vite mis à faire mon propre truc, et puis j'ai rencontré Natalie, et j'ai été exposé au style génial du Cap-Breton.
We groeiden op met muziek spelen -- ma komt toevallig uit Cape Breton. Ma en de moeder van Natalie kenden elkaar. We groeiden op met muziek spelen, en we dansten samen, ja, natuurlijk. (Gelach) We groeiden op en we speelde
n op het gehoor. Ik denk dat dat belangrijk voor ons was omdat we niet blootgesteld werden aan veel verschillende muziekstijlen. We leerden de instrumenten te bespelen, maar het moest van binnen komen omdat we geen televisie keken en niet veel naar de radio luisterden. We gingen naar de kerk en soms naar school, we werkten op de boerderij en speelden muziek. Zo waren we in staat om op een erg kritische leeftijd onze eig
...[+++]en stijl te ontwikkelen, ons eigen ik. Mijn moeder speelt, mijn vader speelt, in de stijl die zijn oorsprong heeft in de Ottawavallei in Ontario. Wij noemen het de Frans-Canadese stijl maar het kwam oorspronkelijk uit de houthakkerskampen. Jaren geleden gingen honderden mannen gedurende de winter naar kampen in het noorden van Ontario en in Quebec. Ze kwamen uit verschillende culturen. De Ieren, de Fransen, de Schotten, de Duitsers, ze kwamen allemaal samen, en 's avonds gingen ze kaarten, deden ze aan stepdansen en speelden ze viool. Na velen jaren is de Ottawa Valley-vioolmuziek ontstaan, en ontstond het Ottawa Valley-stepdansen. Dat is hoe ik ongeveer begonnen ben met die stijl. Al snel begon ik mijn eigen ding te doen. Toen ontmoette ik Natalie, en ik kwam in contact met de geweldige Cape Breton vioolmuziek.Comme tous les autres, ils ont dit: «Merci docteur! C'est génial! J'avais besoin d'un nouveau tableau. Je prendrai le troisième.» Nous leur avons expliqué que nous le leur ferions parvenir. Nous avons ramassé notre matériel, nous sommes sortis et avons attendu une demi-heure. De retour à la chambre : « Bonjour, nous revoici. » Les patients nous répondent : «Désolé docteur, j'ai un problème de mémoire, c'est pourquoi je suis ici.
Si je vous ai déjà rencontré, je ne m'en souviens pas.» «Vraiment, Jim, tu ne t'en souviens pas? J'étais ici plus tôt avec les Monet? » «Désolé docteur, je n'en ai aucun souvenir.» Pas de soucis, Jim. J’aimerais
...[+++]simplement que tu classes ces reproductions par ordre inverse de préférence.» Que font alors les patients? Assurons-nous d'abord qu'ils soient réellement amnésiques. Nous demandons à ces patients de nous dire laquelle ils avaient choisie au départ. Résultat: les amnésiques répondent au hasard.
Net zoals alle anderen zeiden ze Hé, bedankt dokter! Dat is fantastisch! Ik kan wel een nieuw plaatje gebruiken. Ik neem nummer drie. We legden ze uit dat nummer drie met de post zou worden toegestuurd. We pakten onze biezen en verlieten de kamer, en telden tot een half uur. Terug in de kamer zeiden we: Hoi, we zijn terug. De patiënten, alle goeds voor hen, zeiden, Oh dokter, het spijt me, ik heb een geheugenprobleem, daarom ben ik hier ook. Als ik je al eerder hebt ontmoet, kan ik het me niet herinneren. Echt waar Jim, weet je het niet meer? Ik was hier zojuist met de Monet posters? Sorry dokte
r, ik heb echt geen idee. Geen probleem Jim. ...[+++] Het enige dat ik van je vraag is dat je deze rangschikt van degene die je het meest waardeert, tot degene die je het minst waardeert. Wat doen ze? Nou, laat me eerst controleren en bevestigen dat ze echt geheugenverlies hebben. We vroegen deze patiënten met geheugenverlies om ons te vertellen welke in hun bezit is, welke ze de afgelopen keer hadden gekozen, welke van hen is. Het bleek dat patiënten met geheugenverlies gewoon gokken. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
avons-nous rencontré des concurrents ->
Date index: 2022-02-06