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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «amies et mes voisines — pensait que tout allait » (Français → Néerlandais) :
Alors que je pensais que tout était parfait, mon équipe — qui était essentiellement mes amies et mes voisines — pensait que tout allait si bien, nous n'avions aucune idée de la grande opposition qui se dirigeait vers nous.
Ik dacht dat alles in orde was. Mijn team -- dat toen bestond uit vriendinnen en buren -- dacht dat alles zo goed ging. We hadden geen idee dat er ons zo'n grote tegenstand te wachten stond.
En fait, j'ai réussi à
éviter les hôpitaux pendant près de trente ans, c'est peut-être ce dont je suis l
a plus fière. Ça ne veut ne pas dire que j'ai évité
toutes les luttes psychiatriques. J'ai eu mon diplôme de la Faculté de droit de Yale et obtenu mon premier emploi dans le droit, et puis mon analyste de New Haven, le Docteur White
, m'a annoncé qu'il allait fermer son cabi ...[+++]net trois mois plus tard, plusieurs années avant le moment où j'avais prévu de quitter New Haven. White m'a vraiment beaucoup aidée, et l'idée de son départ m'a anéantie. Mon meilleur ami, Steve, sentant que quelque chose n'allait vraiment pas, a pris l'avion pour New Haven pour être avec moi. Je vais maintenant vous citer des passages de mes écrits : « J'ai ouvert la porte de mon studio. Steve m'a dit plus tard que, bien qu'il m'ait vu de nombreuses fois psychotique, rien n'aurait pu le préparer à ce qu'il a vu ce jour-là. Pendant une semaine ou plus, je n'avais presque rien mangé.
Ik heb de ziekenhuizen kunnen ontlopen gedurende bijna drie decennia, wellicht mijn strafste ex
ploot. Dat betekent niet dat ik vrij gebleven ben van elke psychiatrische strijd. Nadat ik was afgestudeerd van de Rechtenfaculteit van Yale en was beginnen werken, kondigde mijn psychiater uit New Haven, Dr. White, aan dat hij zijn praktijk drie maanden
later zou sluiten, meerdere jaren voor de datum van mijn geplande vertrek uit New Haven. White had mij enorm geholpen. De gedachte aan zijn vertrek maakte me kapot. Mijn beste vriend Steve,
...[+++]die aanvoelde dat het helemaal fout ging, vloog naar New Haven om me bij te staan. Ik ga nu citeren uit mijn geschriften: Ik opende de deur van mijn studio. Steve zou me later vertellen dat van alle keren dat hij me psychotisch had gezien, geen enkele hem had kunnen voorbereiden op wat hij toen zag. Ik had al meer dan een week nauwelijks gegeten.Ceci s'appelle La Robe. C'est un poème plus long, À cette époque, cette époque qui existe seulement pour moi comme le souvenir le plus fuyant maintenant, quand souvent le premier son que tu entendais le matin était un orage de chants d’oiseaux, puis le doux clopinement des sabots du cheval qui t
irait le chariot de lait dans la rue, et le der
nier son la nuit en toute probabilité était ton père qui s’arrêtait dans sa voiture, après avoir travaillé tard encore, toujours tard, et descendant pesamment au sous-sol, à la chaudière, pour vide
...[+++]r les cendres et calfeutrer les courants avant de remonter l’escalier et tomber dans le lit; dans ces jours lointains, les femmes, ma mère, les mères de mes amis, nos voisins, toutes les femmes que je connaissais, portaient, souvent presque toute la journée, ce qu’on appelait des robes de chambre, bon marché, à motifs, comme de la pulpe, apparemment et exprès sans forme, des robes légères en coton qu’on portait par dessus de sa chemise nuit, et quand on devait chercher un enfant, étendre du linge sur la ligne, ou descendre à l’épicerie au coin, par dessous un manteau, l’ourlet tordu de la chemise de nuit, toujours plat et jauni, pendant dessous.
Nu volgt Het huisschort . Dit is een langer gedicht. In lang vervlogen tijden die voor mij nu nog slechts als vluchtige herinneringen herleven, tijden waarin je 's ochtends vaak werd gewekt door een aanzwellend vogelkoor gevolgd door het gedempte getrappel van het paard van de melkboer onder aan de straat, tijden waarin je vrijwel iedere avond als laatste je vader in zijn auto hoorde voorrijden, na een werkdag die altijd te lang was, eerst klossend naar de kelder, naar de ketel, om as uit te scheppen en de klep te verzetten, en vervolgens naar boven, waar hij zijn bed in rolde. In die lang vervlogen tijden droegen vrouwen, mijn moeder, de moeders van mijn vri
enden, buurvrouwen, alle ...[+++] vrouwen die ik kende, een groot deel van de dag het zogenaamde huisschort, een goedkope, bedrukte lap, schijnbaar met opzet vormeloze lichtkatoenen hoezen, die je over je nachthemd droeg, en als je naar een kind op zoek ging, was aan de lijn hing, of even iets haalde bij de winkel op de hoek, onder een jas. De verwrongen zoom van je nachthemd stak er dan slap en vergeeld onder uit.Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne s
e fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerion
s pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'un
...[+++]e situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs sprin
gt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n v
rienden zeggen, 'je moet ...[+++] naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak
voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.
Je me suis retrouvé à l'infirmerie des étudiants, où ils ont fait d
es examens et m'ont tout de suite dit : « problèmes de reins. » Avant que je ne m'en rende compte, je me suis retrouv
é embarqué dans six mois de tests, d'épreuves et d'angoisse, face à six médecins, dans deux hôpitaux différents, pris dans un choc des titans de la médec
ine pour déterminer lequel d'entre eux avait ra
ison sur ce qui n' ...[+++]allait pas chez moi. Un peu plus tard, me voilà assis dans une salle d'attente pour un examen aux ultra-sons, et les six médecins se présentent dans la pièce en même temps. Alors je me dis : « Ouh la ! les nouvelles ne sont pas bonnes. » Leur diagnostic était le suivant : « Vous avez deux maladies rares des reins qui vont finir par détruire vos reins ; vous avez des cellules de type cancéreux dans votre système immunitaire que nous devons commencer à traiter immédiatement, et vous ne serez jamais éligible à une greffe de rein, et il est peu probable que vous viviez plus de deux ou trois ans. » La gravité de ce diagnostic apocalyptique m'a immédiatement plombé le moral. Comme si je me préparais, en tant que patient, à mourir conformément à l'échéance qu'ils venaient de me donner. Jusqu'à ce que je rencontre dans une salle d'attente une patiente du nom de Verna, qui est devenue une amie qui m'est chère. Un jour elle m'a pris par le bras et m'a emmené à la bibliothèque de médecine pour faire quelques recherches sur ces diagnostics et ces maladies, et elle m'a dit : « Eric, les gens qui ont cette maladie sont normalement septuagénaires ou octogénaires. Ils ne savent rien de toi. Réveille-toi.
Ik kwam bij de studentengezondheidszorg terecht. Er werden wat testen gedaan en de conclusie was 'nierproblemen
'. Voor ik het wist moest ik 6 maanden lang testen, proeven en beproevingen ondergaan. 6 dokters, verspreid over 2 ziekenhuizen, waren in een medische titanenstrijd verwikkeld over de vraag wie er gelijk had over wat er mis was met mij. Een tijdje later zit ik in een wachtruimte voor een echo en al die 6 dokters komen tegelijk binnen. Dus ik denk: oh oh...slecht nieuws. Dit w
as hun diagnose: Je hebt 2 zeldzame nieraandoeninge
...[+++]n, die op termijn je nieren zullen verwoesten. Je hebt kankerachtige cellen in je immuunsysteem, die direct behandeling nodig hebben. Je komt niet in aanmerking voor een niertransplantatie en je hebt niet meer dan 2 of 3 jaar te leven. Ik werd direct overdonderd door de ernst van deze noodlotsdiagnose. Ik werd direct overdonderd door de ernst van deze noodlotsdiagnose. Alsof ik me als patiënt moest voorbereiden om dood te gaan volgens het schema dat me zojuist was gegeven. Totdat ik in een wachtkamer Verna ontmoette, een patiënt die een goede vriendin werd. Op een dag sleepte ze me mee naar de medische bibliotheek en ging op zoek naar informatie over mijn diagnoses en ziektes. Ze zei: Eric, het zijn voornamelijk mensen boven de 70 die dit krijgen. Wat weten ze nu van jou. Word eens wakker.Ce gamin de 14 ans se disait : « Eh ben dis donc ! » Il al
lait raconter à ses amis : « Regarde tout ce fric que je me suis fait dans le gang. » Ce n’était pas son argent, jusqu’à ce qu’il le dépense. Dans les faits, il avait une dette envers le gang et était temporairement un employé débiteur de celui-ci. Bon, il me reste quelques minutes. Permettez-moi une de
rnière chose. Je ne pensais pas que j’aurais eu le temps de le faire, de vous parler de ce que nous avons appris, p
...[+++]lus généralement, sur l’économie en étudiant les gangs.
Die 14 jarige zou zeggen: Nou... Hij zou tegen zijn vrienden zeggen, Hey, kijk 'es naar al het geld dat ik van de bende he
b gekregen. Het was niet zijn geld, totdat hij het uitgaf. En dan had hij in wezen een schuld naar de bende toe, en was hij voor een tijd een soort van gecontracteerde bediende. Ik heb nog een paar minuten. Laat me nog één laatste ding doen. Ik had niet gedacht dat ik er genoeg tijd voor zou hebben, om het te
hebben over wat we, meer algemeen, hebben geleerd, over de econom
...[+++]ische kant van het bestuderen van de bende.J'ai senti un enterrement
dans ma tête Et les amis du défunt allaient e
t venaient, Continuaient à marcher, jusqu'à ce qu'il me semble
Que ma raison s'en allait. Et quand ils s'étaient tous assis Un office comme un tambour battait, battait, jusqu'à ce qu'il me semblait que mon esprit devenait paralysé. Et puis, je les ai entendus soulever une boîte et traverser mon âme en grinçant, avec encore ces mêmes bo
ttes de pl ...[+++]omb, puis tout s'est mis à sonner, comme si les cieux n'étaient qu'une cloche et l'existence n'était qu'une oreille et moi, et le silence, une espèce d'étrange race anéantie, solitaire, ici. D'un coup, une planche de la raison se brisa, et je tombai, sans arrêt et heurtai un monde, à chaque chute et puis finis alors d'être consciente. » Nous comprenons la dépression à travers les métaphores.
Ik voelde een begrafenis in mijn hersenen, rouwenden liepen heen en weer, liepen, liepen tot ik voelde dat ze
bij zinnen kwamen. Toen ze allemaal zaten, ging een dienst slaan als een trom, slaan, slaan, tot ik voelde dat mijn geest was afgestompt. Dan hoorde ik ze een doos optillen en over mijn ziel kraken met alweer dezelfde loden laarzen. De ruimte begon te tollen alsof de hemelen een klok waren, en het zijn een oor en ik en de stilte een vreemde race, verwoest, eenzaam, hier. Net toen brak een plank in de rede, en viel ik neer en neer en neer en ramde bij elke bots een wereld. Toen hield het weten op. We kennen depressie door metafore
...[+++]n. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
amies et mes voisines — pensait que tout allait ->
Date index: 2023-12-07