Dans un rapport officiel du 13 octobre 1994, le Comité des droits de l'enfant affirmait que peu d'aspects de la loi étaie
nt aussi importants pour l'enfant même, que dans les pays où la législation prévoit expressément une interdiction des punitions physiques, les enfants ont r
eçu un message très clair, que l'interdiction n'a pas donné lieu à un afflux de plaintes, mais a contribué à l'éducation des parents, et qu'elle a mis un term
...[+++]e aux zones d'ombre planant sur les punitions physiques, ainsi qu'aux discussions portant sur le caractère excessif ou non de la violence.