La deuxième condition est que nous avons besoin d’un environnement de sécurité et de soutien de
la part de l’Union européenne, d’un environnement de cohésion politique. En effet, tout au long de cette crise, et notamment ces dernières semaines, nous avons assisté à un dialogue public informel entre les capitales européennes, la Commission européenne et la Banque centrale européenne, avec les agences de
notation de crédit jouant bizarrement le rôle d’arbitre, au sujet de la fameuse participation éventuelle du secteur privé dans le sauv
...[+++]etage grec.